Le Camp du Bien porte bien mal son nom !

Publié par le 26 Mai, 2022 dans Blog | 3 commentaires

Le Camp du Bien porte bien mal son nom !

Comment le Larousse définit-il le «  Bien » ?

« Conformément à la morale, à la forme sociale »

Exemple : Il a bien agi.

Le « Camp du Bien » ou sa variante le « Camp des Bien-pensants » serait donc le groupe de ceux qui agissent bien, de ceux qui se conforment à la morale.

Et c’est là que se fait la disjonction entre le Le « Camp du Bien » et le « Camp des Bien-pensants » car ces derniers prennent bien, avant de s’engager à agir moralement, le soin de définir la « morale ».

Pour ce faire, ils se regardent le nombril, examinent leurs propres opinions, leur idéologie et la posent comme modèle ou référence du « Bien ».

Par exemple, ils sont européistes et donc l’Europe c’est le Bien. Critiquer l’Europe c’est donc mal !

Même si au fond d’eux-mêmes ils voient les dégâts d’une immigration incontrôlée, leur « morale » leur fait dire que « l’immigration est une chance pour la France ». Et donc quiconque critique l’immigration et en décrit les effets négatifs, est juste un raciste.

Cette gauche finit toujours par fonctionner comme une secte qui rejette ses adversaires au nom de la morale. Et quand elle combat ses adversaires, elle oublie tous les canons reconnus de la morale.

Sa notion de liberté d’expression se limite au droit à exprimer des opinions conformes aux opinions de gauche.

Cela la conduit à un comportement parfaitement sectaire qui la conduit à rejeter celui qui ne pense pas comme elle alors qu’elle clame partout la nécessité de l’inclusion, notamment des minorités.

Mais pour elle l’inclusion ne va pas jusqu’à la droite.

La Lettre patriote, dans cet article, nous rapporte un exemple patent du sectarisme de la gauche, ici, dans le monde de la culture, où, c’est connu, il est quasi impossible, de faire carrière en se disant de droite :

Recalée d’un entretien d’embauche à l’Opéra de Paris
pour avoir fait un stage à Valeurs actuelles

Adélaïde, stagiaire chez Valeurs Actuelles depuis cinq mois, a été recalée d’un entretien d’embauche à l’Association pour le rayonnement de l’Opéra national de Paris (AROP) en raison de son passé dans la presse “d’extrême droite”.

La responsable me demande de me présenter. Enthousiaste et honorée d’être là, au cœur de cette institution réputée dans le monde entier, je me lance : 

Je m’appelle Adélaïde. J’ai 23 ans. Après une double licence histoire-science politique à la Sorbonne, j’ai effectué un master 1 et un master 2 de science-politique spécialisé en communication politique et institutionnelle toujours dans le même établissement. 

Elle sourit et semble contente de constater que je sors de cette université parisienne. Je poursuis en évoquant longuement ma passion pour l’art et notamment le ballet. Je montre à mon interlocutrice que je connais bien les rouages de l’Opéra de Paris et que je suis quotidiennement son actualité.[…]

Camille confie m’avoir fait venir à cet entretien pour que je m’explique.

Vous pensiez vraiment qu’avec un tel CV vous pourriez être embauchée dans le monde de la culture ? 

me dit-elle, sardonique, tout en me concédant une certaine forme de courage (j’aurais pu passer sous silence mes expériences dans la presse d’opinion). 

On va s’arrêter là pour ne pas vous faire perdre votre temps et le mien,

finit-elle par lâcher, visiblement lassée par son propre sadisme. Tout est clair : elle avait aucunement l’intention de prendre sérieusement en compte ma candidature.

Étonnée par la tournure que prend l’entretien, je lui dis posément : 

Attendez Madame, avant de partir j’aimerais revenir sur un point. Tout cela est bien paradoxal. Vous prônez à juste titre la diversité et l’inclusion, mais vous fermez vos portes à une jeune femme compétente seulement parce qu’elle n’a pas les mêmes convictions politiques que celles de votre équipe et des vôtres.

Camille me répond en souriant : 

Mais Madame, le racisme n’est pas une opinion, c’est un délit.

Sophie Mestral pour La Lettre patriote.

On se rappelle que Pap Ndiaye, le nouveau ministre controversé de l’Education nationale, avait rendu un rapport sur la diversité à l’Opéra, strictement orienté sur la discrimination raciale positive qu’il proposait.

Pourrait-on lui suggérer à Pap Ndiaye d’oeuvrer pour la diversité des opinions dans le monde de la culture qui me semblerait plus conforme au Bien et la la Morale que se limiter à la diversité des couleurs de peau.

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3 Réponses à “Le Camp du Bien porte bien mal son nom !”

  1. Voila pourquoi le pretendu camp du bien, pour detruire en douce :

    IL EXPOSE LE PLAN DES GLOBALISTES ! Ce sénateur balance du lourd sur le projet mondialiste de l’OMS, et désigne Emmanuel Macron et la plupart des dirigeants des grandes puissances occidentales comme des « marionnettes » au service de l’organisation.

    À ne pas louper : https://lactudissidente.com/le-senate

  2. En macronie on est toujours dans le deux poids deux mesures.
    Les biens pensants et les autres, la bonne presse (de gauche) et la mauvaise, les classements sans suite et les non lieux dans les affaires de justice pour les proches de macron et les tribunaux pour les opposants.

  3. 13 idées pour vivre et progresser Libres et Réputés En Marche vers le succès.

    blob:https://odysee.com/c5fa52ec-c99d-4931-9a96-94daccc568e4

    Bon, c’est au pays de troudeau… mais au pays de macaron, je pense que les conseils peuvnt aussi fonctionner.

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