Le lobby gay est partout … Même au Vatican !

Publié par le 17 Sep, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Le lobby gay est partout … Même au Vatican !

Les gays sont peu nombreux,
mais ils savent se faire entendre !

C’est une des minorités parmi les plus écoutées et les plus influentes, en France et dans de nombreux pays.

On en voudra comme preuve que le passage en force de François Hollande et de Christiane Taubira avec la loi sur le mariage gay malgré les millions de Français descendus dans la rue pour défendre leurs valeurs.

Voici un article extrait du dernier Bulletin d’André Noël n°2575 qui montre que l’influence des gays s’exerce même au Vatican :

Que veut le lobby gay au vatican ?

Qu’il y ait un « lobby gay » au Vatican, autrement dit un groupe de pression influent, n’est pas une révélation de Mgr Vigano. Dans son livre-interview Dernières conversations, Benoît XVI indique que, dans un rapport qui lui a été remis, à l’occasion d’une enquête sur les fuites de documents dans son entourage, on évoque un groupe de prélats homosexuels agissant de façon concertée. François lui-même y a fait allusion dans la fameuse phrase « Si un homosexuel cherche le Seigneur, qui suis-je pour le juger ? » Il répondait à une question de journalistes sur le « lobby gay » en ces termes : « C’est une chose de faire partie d’un lobby gay, c’en est une autre que d’être gay », et c’est là qu’il ajoute : « Si un homosexuel cherche le Seigneur, qui suis-je pour le juger ? » On n’a retenu que la dernière partie de sa phrase.

Il y a toujours des homosexuels dans la société comme dans l’Eglise et à tous les niveaux de la hiérarchie. Il convient d’en distinguer trois sortes aux attitudes et actes différents. Ceux qui sont abstinents qui, comme leurs confrères hétérosexuels, conservent donc la chasteté, ceux qui succombent mais le déplorent et s’en confessent comme d’un péché, enfin, ce qui est plus nouveau : les homos actifs sexuellement et qui veulent que la doctrine de l’Eglise change en avalisant ce type de sexualité qui serait aussi légitime à leurs yeux que l’autre.

Ce sont ceux-là qui forment le lobby gay, ayant de puissants relais au sommet de la hiérarchie de l’Eglise. Benoît XVI, dans son livre, après avoir évoqué ce groupe, ajoutait qu’il aurait tenté à plusieurs reprises d’« influencer les décisions du Vatican. » Mgr Vigano ne dit pas autre chose, il le fait seulement de façon plus virulente, en dénonçant l’existence, autour du pape, d’un « courant homosexuel désireux de subvertir la doctrine catholique sur l’homosexualité » et livre des noms de dignitaires en faisant partie, notamment dans l’entourage de François. Il attribue une grande partie des actes de pédophilie commis dans le cadre de l’Eglise à la présence de prêtres homosexuels.

Monseigneur Vigano

Ce groupe bénéficie d’appuis de cardinaux, d’évêques qui ne sont pas homosexuels mais veulent, comme eux, que la doctrine change. Selon Mgr Vigano, c’est ce qui expliquerait que les sanctions décidées contre le cardinal Mc Carrick, par Benoît XVI n’aient pas été appliquées, la Secrétairerie d’Etat – c’est-à-dire le gouvernement effectif de l’Eglise – y faisant obstruction. On dit que ce fut l’une des raisons pour lesquelles le pape allemand aurait renoncé au pontificat puisqu’il n’avait pas les moyens d’imposer sa volonté, dans ce cas-là mais aussi dans d’autres.

Si le pape François n’est pas homosexuel, pourtant, non seulement il ne combat pas ce « lobby », mais il nomme à la tête de nombre d’organismes ecclésiastiques des homosexuels notoires. Une explication se trouve dans un livre dont la grande presse ne parle pas. Son titre, il est vrai, est rude : Le pape dictateur (Presses de la Délivrance, traduction Jeanne Smits) Certes on aurait tort de s’arrêter à ce titre qui résonne comme une provocation mais qui, en réalité, ne fait que mettre dans une lumière crue l’autoritarisme du successeur de Pierre.

Son auteur, Henry Sire, est un historien sérieux, membre de l’ordre des Chevaliers de Malte, dont il est l’historien. Il a rédigé des ouvrages historiques qui font autorité. Il a appliqué au pape les méthodes rigoureuses qui sont les siennes. On y trouve déjà tout ce qu’écrit Mgr Vigano et beaucoup plus. Sur la raison pour laquelle François s’entoure de membres de ce lobby, l’auteur explique que pour mener à bien les réformes « morales » – du genre autoriser la communion aux divorcés remariés – il a besoin de prélats qui fassent contrepoids aux « conservateurs » de plus en plus nombreux qui s’opposent à lui. Il a en outre un moyen de pression sur ces prêtres homosexuels s’ils ne sont pas assez dociles en laissant révéler leur homosexualité.

C’est une affaire qui, malheureusement, est à suivre, et elle n’est pas « pour la plus grande gloire de Dieu », selon la devise de la Compagnie de Jésus.

Le Bulletin d’André Noël n°2575.

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