Le progressisme ne respecte rien, surtout pas les enfants!

Publié par le 22 Sep, 2021 dans Blog | 1 commentaire

Le progressisme ne respecte rien, surtout pas les enfants!

Le progressisme, c’est le règne de l’individu.

Tout pour l’individu, rien pour le collectif !

Les valeurs se sont inversées puisque il y a encore quelques années, c’est la droite qui défendait l’individu et la liberté individuelle, et la gauche le peuple dans sa globalité.

Quand j’écris « tout pour l’individu » – jusqu’au caprice, ajouterait Eric Zemmour – il vaudrait mieux parler d’individu adulte, car les droits de l’enfant n’ont pas droit de cité chez les progressistes ! Et ceci, en viol total du principe constitutionnel de précaution !

  • Les progressistes ont privé chaque enfant adopté par un couple homosexuel d’un père ou d’une mère,
  • Avec la PMA pour toutes, les progressistes créent de fait des enfants sans père,
  • Bientôt avec la GPA, les progressistes feront des enfants un simple produit de consommation qu’on achètera sur catalogue.

Et il y a pire !

Sous prétexte du « droit à l’autodétermination de genre » que les progressistes forcenés veulent donner aux enfants, on va lancer des enfants dans des expérimentations de la théorie du genre qui peuvent dévaster toute leur vie.

En Ecosse, on vient d’autoriser les enfants, dès le primaire, à changer de nom d’usage et de sexe à l’école primaire sans le consentement de leurs parents, et même sans en informer leurs parents !

Mais des médecins et des psychologues ont décidé de dénoncer ce scandale comme nous le rapporte L’Express dans cet article :

Changement de sexe chez les enfants:
« Nous ne pouvons plus nous taire face à une grave dérive »

Associées à l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent, collectif de professionnels de l’enfance et de chercheurs (médecins, psychiatres, psychanalystes, juristes, magistrats, enseignants de l’Education nationale, philosophes, sociologues…), une cinquantaine de personnalités s’insurgent contre les discours sur « l’autodétermination » de l’enfant qui légitiment selon elles une forte augmentation des demandes de changement de sexe particulièrement chez les adolescents. 

Nous ne pouvons plus nous taire sur ce qui nous apparait comme une grave dérive commise au nom de l’émancipation de « l’enfant-transgenre » (celui qui déclare qu’il n’est pas né dans le « bon corps »). Sur l’argument de seuls ressentis érigés en vérité, des discours radicaux légitiment les requêtes de changement de sexe. Mais c’est au prix d’un traitement médical à vie voire chirurgical (ablation des seins ou des testicules) sur des corps d’enfants ou d’adolescents. C’est ce phénomène et son fort retentissement médiatique qui nous interpelle et non les choix des adultes transgenres. 

Pensant peut-être apporter une réponse, le gouvernement écossais a émis, depuis le 12 août, de nouvelles directives d’inclusion LGBT , selon lesquelles des enfants dès l’âge de l’entrée en primaire auront la possibilité de changer de nom d’usage et de sexe à l’école sans le consentement de leurs parents. Sans leur consentement et même sans que ceux-ci en soient informés si l’enfant en fait la demande. 

On fait croire aux enfants qu’une fille pourrait devenir un garçon et inversement parce qu’ils l’auraient décidé sans même l’avis des adultes, et ce, de plus en plus jeune.  

L’exposition d’un enfant dans une telle émission, aux fins de propagande, crée chez moi un fort malaise.

Ce qui se passe chez nos voisins pourrait très vite arriver en France : la diffusion protéiforme de ces croyances se traduit depuis quelques années par une inflation considérable de demandes de changement de sexe chez les enfants et plus particulièrement chez les adolescentes. Selon Jean Chambry, pédopsychiatre responsable du CIAPA (Centre Intersectoriel d’Accueil pour Adolescent à Paris), il y a près de dix ans, on avait environ dix demandes par an, en 2020, c’est dix demandes par mois (uniquement pour la région Ile-de-France). Il parle d’une accélération inquiétante des réponses médicales à ces demandes de transition. 

Des discours banalisés prétendent qu’on pourrait se passer du réel biologique, de la différence sexuelle entre hommes et femmes au profit de singularités choisies fondées sur les seuls « ressentis ». Ces discours mensongers relevant de l’idéologie sont transmis sur les réseaux sociaux où de nombreux adolescents en mal d’identité viennent chercher des solutions à leur malaise. Au nom de l' »autodétermination » – véritable slogan qui séduit tous les progressistes – je suis libre de choisir le corps que je veux – des enfants et des adolescents sont convaincus qu’ils peuvent changer de sexe à l’aide de traitements hormonaux voire de chirurgies mutilantes. Cette rhétorique répandue par des militants dans nombre de pays occidentaux, fait usage de sophismes destinés à tromper. 

Lire la suite sur le site de l’Express.

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Une réponse à “Le progressisme ne respecte rien, surtout pas les enfants!”

  1. D’autant que ces ideologie sont fait sur des tres jeunes incapable de se diriger d’eux meme, et donc influençable par n’importe quel individu…

    Du progressiste progressiste fou aux violeurs d’enfant…

    C’est la porte ouverte a la pedophilie, aux violeurs, et tous les salauds qui abuseront de la naïveté de l’enfant.

    Je n’ai pas entendu MLP sur ce sujet… la gochiste d’extreme droite…

    Quand a edouard macron et les fêles du gouvernement, inutile de leur demander quoi que se soit… Ils sont pour !

    Les ecolos fous sont pour ces changements, comme tres probablement melachon alias…je suis la republique…

    Reste une partie de la vraie droite et E zemmour.

    Pour le reste des fous, on a deja donné.

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