Les réseaux sociaux : censure et compagnie !

Publié par le 22 Jan, 2021 dans Blog | 1 commentaire

Les réseaux sociaux : censure et compagnie !

Dans ces colonnes, nous avons déjà largement fustigé la censure scandaleuse perpétrée par les chaines de TV américaines et par Facebook, Twitter, Amazon, Google, Apple à l’encontre de Donald Trump et de ses partisans.

Mais leur censure ne s’applique pas exclusivement dans le domaine politique en stigmatisant les opposants à la doxa progressiste.

Elle sévit également dans le domaine sanitaire où certaines opinions de médecins différentes de la politique de santé officielle sont interdites de s’exprimer sur les réseaux sociaux.

Voici le témoignage d’un médecin urgentiste paru sur le site de FranceSoir :

Dr Simone Gold est une médecin urgentiste qui a pris position avec un groupe de docteurs américains en faveur de la liberté de prescrire pour traiter les patients du Covid 19.  Elle a écrit le petit livre blanc sur l’hydroxychloroquine qui a été publié comme Tribune sur FranceSoir.  Le docteur Simon Gold a aussi fait l’objet de censure sur ses comptes Twitter, Facebook ainsi que d’autres médecins.  La vidéo a été doublée en français et est visible ici.  Elle a répondu à nos questions :

FS : Vos messages et actions ont été soumis à la censure aux États-Unis. Pouvez-vous nous expliquer ?

SG : Il y a eu une énorme campagne de désinformation au sujet de l’hydroxychloroquine, et la censure des médecins qui refusent de cautionner cette désinformation. Lors de notre conférence de presse à Washington D.C. nous avons eu 18 millions de vues en huit heures et puis tous les médias sociaux nous ont supprimés. Facebook, YouTube, Twitter, Instagram, LinkedIn ont retiré nos vidéos. Vous pourrez les trouver sous peu sur le site www.AFLDS.com

FS : Combien de médecins forment ce groupe ?

SG : Nous n’avons pas le nombre exact. Nous nous sommes tous rencontrés via les médias sociaux et il y en a des milliers. Je suis personnellement connecté avec quelques centaines. 18 d’entre eux sont venus à Washington D.C. de manière indépendante sur base du volontariat et ont tous payé leurs propres dépenses. Comme il y a actuellement une restriction sur les attroupements pour éviter la propagation du virus, entre l’équipe vidéo, les médecins et les réseaux sociaux, nous avons volontairement restreint le groupe à 20 personnes. 

FS : Quelles sont vos prochaines actions ? Avez-vous plus de personnes qui vous rejoignent ?

SG : Nous savions que beaucoup d’Américains seraient intéressés, mais l’intérêt a été bien supérieur à nos attentes. Nous continuerons d’exercer des pressions pour avoir la liberté de prescrire, notamment l’hydroxychloroquine, et pour que les Big Tech (ndlr : GAFAM) arrêtent leur censure. Nous avons discuté du problème de la censure avec de nombreux membres du Congrès et nous continuerons à faire pression sur eux pour qu’ils prennent des mesures contre les entreprises de Big Tech qui la pratiquent. La censure est si flagrante et si évidente dans ce cas, que tout le monde peut s’en rendre compte.

FS : Je crois savoir que vous avez été soumis à beaucoup de pression. De qui ? Sous quelle forme ?

SG : J’ai été diffamé agressivement dans les médias. Mark Zuckerberg (Facebook) a diffamé notre groupe, tout comme la plupart des médias. Mes droits à la liberté d’expression, qui sont dans la Constitution des États-Unis, et qui est un aspect important de la vie américaine, ont été violés. 

FS : Est-ce exact que vous avez été licenciée ?

SG : J’ai été licenciée des hôpitaux où je travaille comme médecin urgentiste.

FS : Comment voyez-vous l’évolution de la situation aux États-Unis lorsque le remdesivir a obtenu un EUA (ndlr : autorisation temporaire d’utilisation) ?

SG : En tant que médecin, je suis en faveur de tous les médicaments qui fonctionnent pour toutes les maladies. Remdesivir semble légèrement utile. Cependant il semble être bien inférieur à l’hydroxychloroquine avec un bon degré de certitude. Que le Remdesivir ait une autorisation temporaire d’utilisation l’hydroxychloroquine non, est la perversion même.

FS : Comment voyez-vous l’évolution de la situation aux États-Unis pour donner suite au commentaire de la FDA que la décision de prescription se passerait entre le patient et le médecin ?

SG : J’ai personnellement soulevé cette question avec le vice-président Pence et je suis heureux qu’à la suite de cette conversation, le commissaire de la FDA, le Dr Hahn, ait déclaré fermement que les décisions médicales se passent entre un patient et un médecin. C’est évidemment regrettable d’avoir besoin de préciser cela, mais nous en sommes à ce point dans le pays.  J’espère que d’autres changements seront faits.

FS : Avez-vous quelque chose d’autre à ajouter ?

SG : Nous ne succomberons pas à la censure et nous croyons que la majorité des Américains nous soutiennent. Restez à l’écoute !

FranceSoir.

Je poste à nouveau la vidéo de la minute Ricardo qui pose les trente questions pertinentes que les autres journalistes ne posent pas :

Je me permets enfin de relayer un appel au don de FranceSoir, journal totalement indépendant qui semble en avoir besoin :

En tant que sympathisants de droite, nous ne nous reconnaissions pas dans les médias et en particulier à la télévision. Les réseaux sociaux nous avaient offert la possibilité d’exprimer et de promouvoir nos idées.

Si les réseaux sociaux nous lâchent, que devons nous faire ? Basculer la table pour mettre ou pouvoir des gens qui nous écoutent ?

Mais, à la lumière des présomptions réelles de fraude dans les élections américaines, fraudes totalement niées par les médias, pouvons-nous encore faire confiance aux élections ?

Il nous reste le coup d’état … Moi, j’dis ça, j’dis rien …

J’ajoute cette nouvelle preuve de la censure des GAFA (en l’occurrence Youtube/Google) qui a censuré la vidéo de l’interview de la généticienne Alexandra Henrion-Caude par la chaine TVLibertés (source l’Observatoire du journalisme) :

Cliquez sur l’image

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Une réponse à “Les réseaux sociaux : censure et compagnie !”

  1. C’est ça la bien pensance, empecher les gens d’emettre une opinion.

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