Macron cède aux racialistes et aux décoloniaux !

Publié par le 23 Déc, 2020 dans Blog | 3 commentaires

Macron cède aux racialistes et aux décoloniaux !

Quand je regarde une série TV, que ce soit sur Netflix ou à la télévision, je me surprends à jouer au jeu des quotas …

Si au bout d’un quart d’heure, je n’ai pas vu un Beur ou une Beurette, je suis mal à l’aise …

Pas de femmes ou d’hommes de couleur au casting, je commence à stresser grave …

Une fois les quotas ethniques satisfaits, je cherche du côté des moeurs, car je sais que le lobby LGBTIQ++ guette !

Mais où se cache la lesbienne de service ? Toujours pas de trans ? Ah, enfin, la commissaire vient d’embrasser sa campagne à pleine bouche ! Je peux enfin me concentrer sur l’action !

Lors de sa prestation sur le média numérique Brut, Emmanuel Macron a cru devoir proposer de rechercher 400 à 500 noirs ou arabes pour les mettre en avant dans l’espace public ! On n’avait pas encore vu un président de la République se livrer à la discrimination positive avec tant de provocation !

C’est Aïssa Maïga, Rokhaya Diallo, Danièle Obono et Houria Bouteldja qui vont pavoiser !

Et l’on avait encore rien vu ! C’est ce que nous raconte Quentin Hoster dans Le Club de Valeurs actuelles :

Racialiste, anti-flics, décolonial : l’inquiétant pedigree
du comité Macron sur les noms de rue d’étrangers

A la demande du Président, un comité d’experts planche sur une série de personnalités issues de l’immigration, dont les noms pourraient bientôt orner nos rues. Ses membres, marqués à gauche, côtoient pour certains les thèses du racisme d’Etat et de la violence systémique.

« Il y a toute une part de notre histoire collective qui n’est pas représentée. Toute une partie de la jeunesse qui est noire […] maghrébine, ils ont leurs héros, simplement, on ne les a pas reconnus, on ne leur a pas donné une place ».

Dans un entretien controversé, donné au média en ligne Brut, le 4 décembre dernier, Emmanuel Macron s’était dit favorable à ce que « 300 à 500 noms » de personnalités, « issues des quartiers ou de l’immigration », soient apposés aux rues, places et établissements publics de France. Pensé comme un vecteur d’intégration, quelques mois après des débats houleux sur le déboulonnage des statues des idoles françaises, le geste du Président de la République a indigné une partie de la classe politique.

« C’est du communautarisme. Quand on est attaché au modèle français, on choisit des noms pour l’exemple, par pour leur couleur de peau », s’est ému le sénateur LR Bruno Retailleau. « Pour moi, c’est du séparatisme, c’est du racialisme », s’est tout simplement emportée Marine Le Pen.

Depuis le mois d’octobre, un « comité scientifique », constitué de 18 personnalités engagées, issues de la société civile, est chargé de la création de cette liste. Son coordinateur, l’historien Yvan Gastaut, assume une « discrimination positive », qui « permettrait de redonner une forme de fierté aux habitants des quartiers périphériques ». La ministre de la Ville, Nadia Hai, qui chapeaute le comité, défend quant à elle, auprès du Figaro, un enrichissement de l’histoire, non une réécriture : « On veut montrer que la République ne s’arrête pas qu’à de Gaulle ou Jean Moulin. Il y a aussi des étrangers qui se sont battus pour la République, qui incarnent ses valeurs, et qui méritent d’être honorés. »

La diversité pour la postérité

Faite de fiches biographiques détaillées, la liste des 440 noms retenus, mise en ligne début 2021, aura vocation à encourager les collectivités en panne d’inspiration à honorer des figures du répertoire culturel et historique français : Louis de Funès, Pablo Picasso, Lino Ventura, Alexandre Dumas, mais aussi des personnalités de la diversité : Joséphine Baker, Pape Diouf, ou Kylian Mbappé. D’autres encore méconnues sont proposées, telles que Raphaël Elizé, premier maire noir de France, mort en déportation en 1945. Si on ne peut contester l’accès à la postérité de ces quelques figures iconoclastes, le profil des membres de la commission qui les ont proposés interroge.

Tous ancrés à gauche, voire à l’extrême-gauche, certains côtoient un radicalisme duquel auraient émergés certains noms sujets à de vives discussions internes, au sein du comité.

Nadia Hathroubi-Safsaf, écrivaine et journaliste, est l’une de ces personnalités controversées. « Régulièrement traitée de féministe de merde et islamogauchiste », s’honore-t-elle dans sa biographie Twitter, la rédactrice en chef du Courrier de l’Atlas, qui « traite de l’actualité du Maghreb en Europe », mettait à l’honneur Assa Traoré, en décembre 2019, sur sa couverture, héroïne d’un dossier dénonçant « une violence systémique face à laquelle il convient de s’organiser ». La médiatique tête de gondole de la haine anti-flics s’y épanchait dans une interview complaisante : « Ce système répressif et raciste a tué mon petit frère ». Dans un article publié en juin dernier, l’éminente représentante du comité d’experts, Nadia Hathroubi-Safsaf, l’assurait : « On ne peut hélas égrener tous les noms de victimes policières. Il faudrait y consacrer un magazine entier », dénonçant même « la recrudescence des crimes sécuritaires et des meurtres racistes qui touchent alors les quartiers populaires », déclencheurs, selon elle, de la « Marche des beurs », en 1983. Dans une interview au ton victimaire, la journaliste se vantait encore d’avoir rappelé à des policiers l’interdiction du contrôle au faciès alors qu’ils contrôlaient des « jeunes calmes et qui ne rechignaient pas ». Rien de surprenant de la part d’un soutien au « député communautariste Aurélien Taché [qui] estime qu’il existe en France un ‘racisme systémique’ », comme le relevait l’hebdomadaire Marianne.

Aïssata Seck et Salah Amokrane, deux éléments politisés du comité à vocation « scientifique » voulu par Emmanuel Macron, sont tous les deux engagés à Génération.s, le mouvement de Benoît Hamon. Contempteur des « violences policières », M. Amokrane estime que la « dernière grande lutte contre le racisme reste, pour l’instant, la manifestation en novembre 2019 contre l’islamophobie », modèle de séparatisme soutenu par des élus de gauche, en la matière. Qualifiant Valeurs actuelles de « torchon », à la suite de l’entretien donné au journal par Manuel Valls, l’ancien candidat à la mairie de Toulouse et voix des quartiers, déplorait alors un « discours d’extrême-droite », porté par l’ancien Premier ministre, à l’image du mouvement de gauche laïciste Le Printemps républicain. Preuve s’il en fallait d’une berlue idéologique sévère.

Des militants de la prétendue répression étatique engagés… par l’État

Soutien de Ségolène Royal en 2007, et du vote des étrangers en 2012, l’historien Nicolas Bancel participera lui aussi à l’élaboration et à la rédaction de la liste de noms. Ses travaux sur la « Fracture coloniale » – titre de son ouvrage éponyme co-écrit avec l’autre membre du comité Pascal Blanchard – ont pourtant valu à leurs auteurs de sévères observations de la part de leurs confrères historiens. « Une image militante du passé colonial qui altère gravement la réalité historique de la colonialité, en la schématisant à l’extrême », accusait l’historien Michel Renard. Des « visions idéologiques obstinées et concurrentes », abondait sa consoeur Catherine Coquery-Vidrovitch. Dans un entretien à L’Humanité, où il appelle à la « décolonisation des imaginaires », Nicolas Bancel se compromet, lui aussi, dans la généralisation des comportements délictueux d’une partie de la police à l’ensemble de la profession, prétexte à sa stigmatisation. Il existerait un « contexte de violences policières qui ont causé les morts de Lamine Dieng, Adama Traoré ou Ibrahima Bah » regrettait-il, oubliant que pour ces deux dernières affaires, les investigations n’ont pas pu conclure à des bavures policières.

L’historien-chroniqueur sur France Inter, Pascal Blanchard, était lui aussi dénoncé pour ses biais idéologiques et le manque de sérieux de ses études « post-coloniales », dans une tribune pour L’Express – signée notamment par Laurent Bouvet, du Printemps Républicain – au titre éloquent : « Les bonimenteurs du postcolonial business en quête de respectabilité académique ».

« Dans notre pays, une personne noire ou d’origine maghrébine a peu de chance de diriger une entreprise cotée au CAC 40, ou encore de parvenir à de hauts postes dans la fonction publique d’État ». Cette sortie, qui fait mine de ne pas comprendre que les personnes de couleurs sont moins représentées dans les hautes sphères car elles sont à l’image de la société française, minoritaires, est signée de Laëtitia Helouet, rapporteure à la Cour des comptes… et membre du comité. Dans Le Parisien, l’intellectuelle, présidente du Club du XXIe siècle, se félicitait de voir certains policiers mettre un genou à terre, durant l’affaire Floyd, comme de la coprésidence de son cercle de réflexion, partagée entre une « personne blanche et une personne noire ». Chassez le racialisme, il revient au galop…

A la haine de Valeurs actuelles, partagée par Salah Amokrane, la sociologue Catherine Wihtol de Wenden, elle aussi membre du comité, ajoute le mépris, si révélateur, d’Éric Zemmour. « Il sème la confusion et aggrave les choses plus qu’il ne les explique. Tenir de tels discours sert à nourrir les peurs et à provoquer le trouble dans les esprits. Il alimente les idées de l’extrême-droite », s’éplorait la chercheuse au CNRS dans une tribune sur le site de L’Observateur.

Le pedigree de certains rédacteurs de la liste de noms, tantôt racialistes, tantôt anti-flics, jusqu’à la mouvance décoloniale, a lui de quoi alimenter le trouble, de manière bien réelle. En espérant qu’il ne rejaillira pas sur les murs de nos villes et villages, qui eux, sont éternels.

Quentin Hoster dans Le Club de Valeurs actuelles.

Tous ces progressistes – dont Macron est la tête de pont – qui veulent favoriser, voire nous imposer un vivrensemble fantasmé, ne voient-ils pas qu’à chaque fois qu’ils prennent une mesure pour favoriser les minorités, ils prennent le risque de durcir, de radicaliser les extrêmes ? Ou pire de faire basculer les modérés chez les extrêmes !

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3 Réponses à “Macron cède aux racialistes et aux décoloniaux !”

  1. On nous parle constamment de discrimination, que les personnes de couleur en sont victimes c’est faux
    je constate qu’à la télé, les personnes de couleurs sont de plus en plus représentées.
    Que les asiatiques sont discriminés ça par contre c’est vrai, mais ça gène personne et ils ne se victimisent pas
    Que les blancs sont discriminés dans les emplois de vigiles,(un blanc ne sera jamais embauché) dans le sport foot et athlétisme et personne pour s’en plaindre

  2. Le baissage de froc en regle ( normal ) pour la pseudo bien pensance.

  3. Si tous ne sont pas complices …………..

    Un type tue 3 gendarmes, le proc le présente comme catho trés pratiquant presque extrémiste…….(entendre extrême droite).

    Je ne vois pas ce que la confession vient faire dans l’affaire……

    Ce matin les grands titres même VA qui aujourd’hui baisse son froc depuis qu’il a présenté des excuses:

    “Sale fils de blanc, je vais te montrer ce qu’est un vrai rebeu” : un musulman fils de policier agressé pour avoir fêté Noël

    Bon ben voilà quant on nous rabâche que les musulmans sont les premiéres victimes……….et les catho des extrémises!
    Tout est orchestré pour l’attester comme le fait micron et sa clique à longueur de discours!
    2022 approche!

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