Mais où sont les vraies valeurs de la France ?

Publié par le 15 Mai, 2019 dans Blog | 0 commentaire

Mais où sont les vraies valeurs de la France ?

L’actualité est pleine de collisions improbables !

Au moment où le représentant de la France à l’Eurovision – l’ambigu Bilal Hassani – va s’envoler pour Tel Aviv, on apprend qu’une pétition née outre-atlantique, mais largement relayée en France, veut interdire la remise d’une Palme d’Or d’honneur à Alain Delon à l’occasion du festival de Cannes.

D’un côté, nous avons ce qui, parait-il, s’appelle un(e) « queer » ce qui selon Wikipedia désigne « une personne appartenant à une minorité sexuelle et de genre : personnes non-conformes aux normes de genres, non-monoamoureuses, non-dyadiques, transgenres. » Bilal Hassani est un chanteur et vidéaste français qui s’est fait connaître grâce à sa chaîne YouTube.

Et de l’autre, nous avons un « monstre sacré », comme on dit, du cinéma français dont la carrière a commencé il y a …69 ans avec des films qui ont marqué comme Plein Soleil, Rocco et ses frères, Le Guépard, Le Samouraï, La Piscine, Le Clan des Siciliens, Le Cercle rouge, Borsalino, Monsieur Klein ou Notre histoire.

Tandis que la gauche féministe se déchaine contre Alain Delon qui n’a jamais caché ses sympathies pour Jean-Marie Le Pen – aveu impardonnable ! – et qui s’est laissé aller à dire une fois ce qu’il pensait de l’homosexualité (« une pratique contre-nature« ), Anne Hidalgo recevait Bilal Hassani dans les salons de l’Hôtel de ville, où il put faire la promotion de son dernier disque : Kingdom, aux frais du contribuable parisien (voir la vidéo sur le site fdesouche.com).

Mais quelles sont donc ces « valeurs communes » que va représenter Bilal Hassani à l’Eurovision ? En quoi Bilal Hassani rend-il « très fière  » Anne Hidalgo de l’avoir pour candidat ?

Sont-ce ses qualités de chanteur ou bien l’étendard LGBT qu’il brandit qui l’ont propulsé (ou propulsée, on ne sait plus !) à l’Eurovision ? A t-on pensé que la France aurait plus de chances de remporter le concours de l’Eurovision en marchant sur les traces de Conchita Wurst ?

Le magazine Têtu avait déjà tranché en 2018 en le désignant comme : « faisant partie des « 30 LGBT+ qui bougent la France ». Le magazine le décrit comme « une icône pour la jeunesse LGBT+ française ».

En février 2019, le chanteur fait le couverture du magazine Technikart, qui le qualifie « d’égérie LGBT des millennials »

Me voila habillé d’homophobie pour l’hiver ! Mais ma participation aux rassemblements de la Manif pour tous avait déjà fortement atteint ma réputation !

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