Oui, quel est donc ce pays où l’on refuse de réintègrer des infirmières suspendues parce que non vaccinées mais où l’on rapatrie des femmes djihadistes hyperdangereuses qui ont pris les armes contre la France et ont le sang de nos soldats français au Mali sur les mains ?
C’est la France d’Emmanuel Macron !
Quand on voit l’inefficacité des vaccins anti-covid et la gravité de leurs effets secondaires, on se dit que ces soignants suspendus ont juste été clairvoyants et avisés !
Quand aux femmes djihadistes rapatriées, elles constituent de véritables bombes à retardement qui, tôt ou tard, referont couler le sang des Français.
Voici un communiqué de l’association Damoclès qui dénonce ce danger que fait courir aux Français la décision irresponsable d’un tel rapatriement :
Madame, Monsieur,
Il y a quelques jours, 15 femmes djihadistes et 32 enfants ont été discrètement passés en France par le gouvernement. C’était le mardi 24 janvier 2023.
Ces djihadistes sont extrêmement dangereuses, selon des magistrats et des enquêteurs impressionnés par leurs profils.
Voyez vous-même :
- Des pionnières de l’État islamique, qu’elles ont administré, mariées à de hauts responsables.
- Des guerrières féroces, entraînées au maniement des armes, prêtes à voir leurs enfants mourir, et à mourir elles-mêmes.
- Certaines ont commis des actes de torture. Y compris sur leurs esclaves domestiques.
- Certaines étaient membres de la police islamiste.
- Elles ont éduqué les « lionceaux du califat ».
- Elles sont parfois encore plus ancrées dans la folie meurtrière que les hommes, jusqu’à les galvaniser quand ils flanchent.
- Même prisonnières dans les camps surveillés, elles ont instauré une politique de terreur absolue.
- Elles continueront le « djihad », coûte que coûte.
Voilà les femmes que le gouvernement Macron a fait venir en France. Leur cruauté fait froid dans le dos.
Si elles sont incarcérées, elles ne seront même pas dans des quartiers dédiés de la prison ! Certaines se mêleront aux autres détenues « classiques » et auront tout le loisir de les influencer.
Quant à leurs enfants, ils inquiètent plus encore les autorités que par le passé.
Au total, 295 enfants de djihadistes ont été introduits en France à ce jour.
Un tiers avait 10 ans ou plus en pénétrant sur le territoire. Certains avaient déjà plus de 13 ans.
Ils n’ont pas été biberonnés aux dessins animés de Disney ou aux aventures de Tintin. Leurs mères ne sont pas de douces et tendres mamans qui leur racontent des contes de fées. Dès leur plus jeune âge, elles leur montrent des décapitations et des tortures.
Certains ont pu s’entraîner au combat. Et ils cultivent la haine de la France.
Au début, ils ont été centralisés en Seine-Saint-Denis. Puis ils ont été disséminés dans toute la France. Près de chez vous.
Alors que les Français sont préoccupés par la crise énergétique et le pouvoir d’achat qui les prend à la gorge, le gouvernement fait entrer des ennemis de la France sur votre sol. C’est scandaleux.
Les Damoclésiens ont par le passé déjà fait reculer le gouvernement par la pétition NON au retour des djihadistes en France !
Nous sommes déjà plus de 237 000 signataires.
Il faut maintenir la pression sur le gouvernement.
Si ce n’est fait, signez la pétition en cliquant ici ou sur le bouton ci-dessous :
Et surtout, partagez-la autour de vous.
Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès.
PS. Bien sûr, la moindre des choses serait que ces djihadistes ne soient plus considérées comme des Françaises. C’est l’objet d’une autre pétition Damoclès :
Déchéance de nationalité pour les djihadistes !
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Une réponse à “Quel est donc ce pays ?”
Quand aux femmes djihadistes rapatriées, elles constituent de véritables bombes à retardement qui, tôt ou tard, referont couler le sang des Français.
Quant à leurs enfants, ils inquiètent plus encore les autorités que par le passé.
Au total, 295 enfants de djihadistes ont été introduits en France à ce jour.
Un tiers avait 10 ans ou plus en pénétrant sur le territoire. Certains avaient déjà plus de 13 ans.
Ils n’ont pas été biberonnés aux dessins animés de Disney ou aux aventures de Tintin. Leurs mères ne sont pas de douces et tendres mamans qui leur racontent des contes de fées. Dès leur plus jeune âge, elles leur montrent des décapitations et des tortures.