Suis-je le seul à me sentir subversif dans mon pays ?

Publié par le 8 Août, 2022 dans Blog | 0 commentaire

Suis-je le seul à me sentir subversif dans mon pays ?

Je daterai le début de mon décrochage de la défaite de Nicolas Sarkozy face au médiocre François Hollande.

Le succès de la doctrine TSS (Tout Sauf Sarkozy), complaisamment défendue par les médias, qui amena au pouvoir le plus mauvais président qu’ait connu la V e République, fut le début de mon découragement concernant les vertus de la démocratie.

Pas la démocratie dans son principe, mais la démocratie hypocrite qui sous-tend le système politique français, avec un noyautage d’une majorité d’organismes, d’institutions et des médias par la gauche.

Mais Hollande était presqu’un ange, comparé au toxique Macron, dont je rejette toute la politique en vrac excepté, peut-être, sa promotion de l’apprentissage que je salue.

Oui, je me sens subversif face à la politique de Macron !

  • Je condamne toute sa politique sanitaire, que je n’hésite pas à qualifier de criminelle (Interdiction de soigner les malades, achèvement des malades à coup de rivotril, confinements inutiles, passe vaccinal illégitime et liberticide, etc …)
  • Je constate les dégâts immenses de sa politique étrangère (marginalisation de la France dans l’Union européenne abandonnée aux intérêts de l’Allemagne, sanctions économiques contre la Russie totalement contre-productives).

Oui, je me sens subversif quand je constate avec un certain effroi que je me sens plus proche de Vladimir Poutine que d’Emmanuel Macron.

Le premier défend bien plus la civilisation occidentale à laquelle je tiens que le second qui n’aurait jamais dû présider la France tant il la déteste ! Face aux dangers mortels que constituent le wokisme et l’islam radical, je vois bien celui qui les combat et celui qui les laisse nous anéantir.

Concernant la politique de l’Europe en Ukraine, voici un édito de Nicolas Bonnal paru dans le Saker Francophone dont je partage totalement l’analyse :

Poutine coule le Titanic européen

L’euro agonise, Draghi démissionne et l’Espagne de Sanchez (qui semble être plus de gauche que socialiste-suicidaire) refuse le diktat de la cruelle Leyen sur les économies de gaz.

La situation en France va devenir passionnante. Au printemps le très disert et arrogant président de cette république expliquait que « la Russie était en cessation de paiement, que son économie avait dévissé et que son isolement était croissant », toutes informations plus fausses les unes que les autres ; les contre-sanctions de Poutine et les ressources naturelles du pays le plus grand du monde vont au contraire faire de la Russie le PAYS LE PLUS RICHE DU MONDE dans un contexte d’effondrement général, qui frappe aussi bien le moignon US nommé UE que le Pérou ou le Sri Lanka (pays martyr depuis la thérapie de choc décrite par Naomi Klein), effondrement lié à la chute prédite depuis cinquante ans ou plus des matières premières et sources d’énergie.

Qui n’en a pas mourra ; c’est aussi simple que cela ; et qui se fâchera avec la Russie en crèvera plus vite.

Véran qui semble un menteur pathologique est intervenu donc trois mois après Macron pour confirmer le dévissage de l’économie russe (qui attend 400 milliards d’excédent commercial cette année et une monnaie devenue la plus forte du monde) : « il faut en France couper le wifi, baisser (ou éteindre – surtout dans les maisons de retraite) l’air conditionné et puis surtout éteindre la lumière ». Le tout sans rire. Il faudra encore économiser sur les Canadair pour que la France cramée aux ordres qui a quand même réélu Macron dans un fauteuil corresponde au scénario cauchemardesque et dystopique de Davos.

Certains se plaignent de leur aveuglement ; et c’est cet aveuglement, cette incompétence et ce crétinisme qui rendent la victoire de la Russie si aisée ; d’autres se plaignaient de la lenteur des opérations russes en Ukraine ; mais c’est cette lenteur qui fait plier l’occident, grand innocent qui découvre qu’il ne produit plus rien, même pas ces armes et munitions qui ont assuré sa suprématie sur des pays colonisés et pillés depuis des siècles ; la seule chose que sache produire l’occident c’est du signe. Pour le reste il sait encore faire « bonne impression », c’est le cas de le dire, avec ses 30 000 milliards de dollars de dette américaine et autres. Les PNB occidentaux ne veulent plus rien dire à une époque où les USA produisent dix fois moins (mais oui) d’acier que la Chine et où la France produit beaucoup moins d’automobiles que – par exemple – la Thaïlande. Comme dit Craig Roberts qui s’y connait dans ce domaine, l’économie américaine n’est pas une économie. On en reste à une civilisation hallucinatoire (Guénon) à bout de souffle dont le comportement désespérant fait peine à voir, puisque nous coulons avec ce Titanic.

Nicolas Bonnal pour le Saker francophone.

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