Vaccins et Covid-19 : Aie Confiance !

Publié par le 27 Fév, 2021 dans Blog | 6 commentaires

Vaccins et Covid-19 : Aie Confiance !

Nous acceptons des choses qu’en temps normal, nous aurions refusées fermement ! Car nous n’en pouvons plus des restrictions de liberté que le pouvoir nous impose pour lutter contre la pandémie.

Précédemment, les Français étaient connus comme très réticents à la vaccination. Mais en quelques semaines, la population a basculé de la réticence à l’acceptation majoritaire de la vaccination.

Et pourtant, ces vaccins ont été élaborés dans un temps record et si leur validation est acquise, il est impossible d’avoir des assurances solides sur l’absence d’effets à long terme.

C’est la lassitude de cette situation délétère qui perdure et la peur de la maladie, et pour les plus âgés la crainte de la mort, qui nous fait prendre le risque de nous faire vacciner.

J’ai de nombreuses fois dénoncé ici la stratégie zéro traitement – tout vaccin du gouvernement et il est donc légitime de porter un regard critique sur les vaccins disponibles aujourd’hui.

C’est ce qu’a fait le docteur Thierry MICHAUD-NÉRARD qui nous propose le fruit de ses réflexions, notamment sur le vaccin AstraZeneca :

Aie Confiance !

Huffington post : le vaccin AstraZeneca peut causer de la fièvre et c’est bon signe. Au milieu des ARN messager Pfizer/BioNtech et Moderna, le vaccin AstraZeneca fait figure de vilain petit canard. À compter du 25 février, la campagne de vaccination avec le sérum efficace à 80% après deux doses, s’ouvre pour les salariés âgés de 50 à 64 ans. Les personnes vulnérables de 50 à 64 ans peuvent se faire vacciner chez les médecins libéraux. Mais depuis plusieurs jours, des voix se font entendre pour déplorer les effets secondaires liés au vaccin AstraZeneca à vecteur viral, accessible aux soignants depuis le 6 février.

« Fatigue, maux de tête, frissons, vomissements, et surtout, fièvre… dans son rapport daté du 19 février, l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) relevait 149 patients ayant développé des effets secondaires après une première injection du vaccin AstraZeneca entre le 6 et le 10 février. Si la part de patients ayant développé des effets secondaires est très faible, elle est suffisamment élevée pour entraîner une désorganisation de certains hôpitaux, note l’agence, allant parfois jusqu’à la suspension des vaccinations dans certains centres à Brest, Saint-Lô, Morlaix ou Paris en raison de la mise à l’arrêt d’un nombre trop élevé de soignants ayant développé des symptômes grippaux. Faut-il s’en inquiéter ?

Huffington post : le Les effets (négatifs) montrent que le vaccin fonctionne selon Jean-Daniel Lelièvre, chef de service des maladies infectieuses de l’Hôpital Henri-Mondor à Créteil et expert vaccins à la Haute autorité de santé, contacté par le HuffPost. Car en plus d’être bénins, les effets secondaires montrent que le vaccin fonctionne. Ils correspondent à la mise en place de l’immunité innée (???) poursuit le spécialiste. Pour qu’il y ait une immunité, il faut qu’il y ait des anticorps et des cellules immunitaires qui protègent l’organisme de l’agent pathogène. Moralité : le vaccin pousse le corps à réagir en créant des anticorps immunisants contre le SARS-COV-2. Pour Lelièvre, ces effets (négatifs) ne peuvent être comparés à des effets secondaires plus inquiétants, comme les troubles neurologiques liés à la campagne de vaccination anti-H1N1 en 2013.

Pour Lelièvre, la question, c’est de savoir si vous acceptez d’avoir 24 heures de réaction désagréable pour un produit qui protège. D’autant que les effets indésirables tout à fait normaux et banals étaient attendus et avaient été anticipés lors des essais cliniques. Dans son rapport de pharmacovigilance, l’ANSM pointe des effets identifiés et caractérisés dans les essais cliniques, transitoires et réversibles en 2 à 4 jours.

Moralité : Chaque corps réagit différemment à un produit étranger, prévient Lelièvre. Pourquoi moins d’effets secondaires avec les vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna ? L’AstraZeneca est un vaccin à vecteur viral qui prend comme support un autre virus, un adénovirus commun chez le chimpanzé.

Les vaccins Pfizer et Moderna se servent de l’ARN messager injecté dans les cellules pour qu’elles fabriquent des antigènes du Coronavirus. C’est une réponse plus naturelle qui explique pourquoi on tombe moins malade. Selon Lelièvre, la réponse inflammatoire est plus forte expliquant le nombre plus élevé d’effets indésirables avec AstraZeneca que pour Pfizer/BioNtech ou Moderna. Pour l’infectiologue Benjamin Davido, on développe une réponse plus forte au vaccin lorsqu’on a déjà développé des anticorps. (???)

Benjamin Davido : « La proportion de personnes ayant des effets secondaires après avoir reçu une dose d’AstraZeneca correspond majoritairement à la part de personnes vaccinées qui avaient déjà développé des anticorps mais pas de symptômes« . En clair, des personnes non malades, ayant contacté le virus et développé une réponse immunitaire avec des anticorps mais pas de symptômes, sont rendues malades par la vaccination. Et Benjamin Davido de qualifier l’apparition d’effets secondaires de « non-événement » : « Même en cas d’efficacité réduite du vaccin, vacciner reste la meilleure des solutions pour s’en protéger« . (???) Il veut un déploiement massif d’AstraZeneca dans la population. Sur Franceinfo, l’infectiologue Odile Launay a dit qu’il fallait absolument se faire vacciner, même en cas d’efficacité moindre et d’effets secondaires. (???)

Aie Confiance : Véran veut rassurer les personnes réfractaires au vaccin et à celui d’AstraZeneca.

La Jungle des médias du politiquement correct est inspirée par le serpent à sornettes du Livre de La Jungle ! La Jungle des médias collabos condamne les méchants réfractaires au vaccin qui « salissent » les gentils vaccins d’efficacité moindre et aux effets secondaires qui montrent que le vaccin fonctionne bien ! (???) Pour qui ? Là est la question ! La Jungle des médias regrette que les méchants réfractaires au vaccin présentent les informations d’une manière incomplète en cas d’efficacité moindre et d’effets secondaires.

Aie Confiance : « Il y a une manière de présenter les choses qui change la vérité ! » Ben voyons !

La Jungle des médias du politiquement correct nous chante : Aie Confiance dans les vaccins !

Citation du Livre de La Jungle : « Aie confiance, (dit le serpent à sornettes). « Crois en moi, Que je puisse Veiller sur toi… « Fais un somme, Sans méfiance, Je suis là, Aie confiance, Le silence propice te berce. « Souris et sois complice. « Tu dors, petit ? Aie confiance : « Crois en moi. « Le silence propice te berce… Voilà pourquoi la Jungle des médias du politiquement correct condamne les méchants réfractaires au vaccin ! Et ceux qui ne se soumettent pas, pour qui « la plus grande vigilance » est requise à propos des vaccins !

Honte à tous ceux pour qui les vaccins portent le « sceau de l’Enfer« , car nul n’ignore selon eux que le vaccin à partir de fœtus humains représente « l’idéologie mortifère » dont les avorteurs et les partisans des vaccins font la promotion à visage découvert. Michel Janva, Dr Esther Louis pour Le Salon beige : L’origine des lignées cellulaires humaines utilisées (HeLa, HEK 293, PER.C6). Trois lignées cellulaires sont utilisées dans l’élaboration des vaccins contre le Covid-19. La lignée cellulaire HEK 293, utilisée par AStraZeneca, a été développée, vers 1973, partir de cellules embryonnaires humaines fœtales. La lignée cellulaire PER.C6 a été développée à partir de cellules embryonnaires humaines, obtenues sur un fœtus âgé de 18 semaines.

Cette lignée cellulaire provient d’un avortement volontaire réalisé en 1985 (Wong, 2006).

Pamela Acker biologiste donne à LifeSiteNews des détails sur l’obtention des cellules embryonnaires car le prélèvement des organes doit être réalisé très rapidement. Une méthode possible est que le fœtus est extrait par césarienne (hystérotomie) puis découpé. Pour obtenir ces lignées cellulaires il faut plusieurs fœtus.

Source : Reback, G.L., Fetal Experimentation : Moral, Legal, and Medical Implications, Stanford Law Review, 26, No. 5 (May, 1974), pp. 1191-1207. Disponible sur https://www.jstor.org/stable/1227696?seq=1.

Acker, Pamela, interview réalisée par J.H. Westen, The unborn babies used for vaccine development were alive at tissue extraction, LifeSiteNews, 12/01/2021.

Wong, A., The Ethics of HEK 293 , The National Catholics Bioethics Quarterly, Volume 6, Issue 3, Pages 4773-495, 2006.

Thierry MICHAUD-NÉRARD pour A droite, fièrement !

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6 Réponses à “Vaccins et Covid-19 : Aie Confiance !”

  1. « moins d’effets secondaires avec les vaccins Pfizer/BioNtech et Moderna  »

    Pas franchement!
    Et, de plus, les risques à moyen terme et long termes sont pires que les risques d’Astrazenica, c’est dire!

    C’est un risque de désastre, comme l’a expliqué le Dr Mikovits :

    La syncytine est l’enveloppe endogène du gamma-rétrovirus qui est codée dans le génome humain… Nous savons que si la syncytine… est exprimée de manière aberrante dans le corps, par exemple dans le cerveau, dans lequel ces nanoparticules de lipides iront, alors vous avez la sclérose en plaques […]

    L’expression de ce seul gène fait enrager les microglies, enflamme littéralement et dérègle la communication entre les microglies cérébrales, qui sont essentielles pour l’élimination des toxines et des agents pathogènes dans le cerveau, et la communication avec les astrocytes qui dérègle non seulement le système immunitaire mais aussi le système endocannabinoïde…”

    À plus long terme, elle pense que nous assisterons à une augmentation significative des migraines, des tics, de la maladie de Parkinson, des troubles microvasculaires, de différents cancers, dont le cancer de la prostate, des syndromes de douleur sévère comme la fibromyalgie et l’arthrite rhumatoïde, des problèmes de vessie, des maladies rénales, des psychoses, des maladies neurodégénératives comme la maladie de Lou Gehrig (SLA) et des troubles du sommeil, dont la narcolepsie.

    Selon elle, chez les jeunes enfants, des symptômes semblables à ceux de l’autisme sont susceptibles de se développer également.
    Les crises cardiaques sont un autre effet secondaire documenté. Les proches des défunts ont déclaré sur les médias sociaux que ces décès ne sont pas considérés comme des réactions au vaccin et ne sont donc pas enregistrés comme tels.

    Le Dr Hooman Noorchashm, chirurgien cardiothoracique et chercheur, a écrit une lettre d’avertissement à la FDA.
    Il craint que la protéine de pointe ne provoque une inflammation, la formation de caillots et des crises cardiaques chez les receveurs de ces vaccins qui ont déjà été exposés à SarsCov2 :

    Ainsi, si une personne ayant une infection COVID-19 récente ou active est vaccinée, la réponse immunitaire hautement efficace et spécifique à l’antigène déclenchée par le vaccin attaquera très probablement la paroi interne du vaisseau sanguin et causera des dommages, entraînant la formation d’un caillot sanguin.
    Cela pourrait entraîner des problèmes graves comme des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, du moins chez certaines personnes…
    En outre, si le risque immunologique que je pronostique ici est en réalité important, au cours des prochains mois, alors que des millions d’Américains supplémentaires seront vaccinés, il deviendra très visible pour le public…
    Les complications thromboemboliques, 10 à 20 jours après l’activation d’une réponse immunitaire spécifique à l’antigène induite par le vaccin, chez les vasculopathes âgés et fragiles, ne seront pas enregistrées comme des “complications liées au vaccin” classiques.

    Les représentants de Moderna et de Pfizer se sont vantés que la protéine de pointe entraînera une réduction des symptômes sans présenter de maladie clinique, car seule une partie de SarsCov2 est produite. Le Dr Whelan s’est dit préoccupé par le fait que la protéine de pointe seule est suffisante pour causer des lésions.
    Je suis préoccupé par la possibilité que les nouveaux vaccins visant à créer une immunité contre la protéine de pointe du SARS-CoV-2 aient le potentiel de causer des lésions microvasculaires au cerveau, au cœur, au foie et aux reins d’une manière qui ne semble pas être actuellement évaluée dans les essais de sécurité de ces médicaments potentiels.
    Il existe de nombreuses possibilités de dommages et de mort potentiels, dont beaucoup sont inconnues car cette expérience n’a que quelques mois

    Comme le Dr Raharusun s’est montré optimiste après avoir mené son étude, il a estimé qu’il s’agit d’une solution qui ne coûte que quelques centimes.
    Malheureusement, il a été victime d’un décès prématuré peu de temps après avoir mené son étude.

    Les autorités sanitaires chinoises ont recommandé un moratoire sur ces injections de vaccins à ARNm Covid, après les enquêtes sur les décès dans les maisons de soins en Norvège. Tous les jours, un flot de rapports détaillant les effets secondaires déconcertants qui entraînent des décès se succèdent au fur et à mesure que se déroule cette grande expérience sur l’humanité.

    Le 5 février, la Medical Freedom Alliance britannique a écrit une lettre à Boris Johnson, l’exhortant à s’occuper des décès dus aux vaccins dans les maisons de soins :
    Nous demandons maintenant un audit immédiat et urgent des décès survenus depuis le début du déploiement du vaccin Covid-19, afin de déterminer si les vaccins Covid-19 (en général ou d’une marque en particulier) entraînent un nombre accru de décès (liés ou non au Covid-19), de cas de Covid-19 ou un risque accru de décès dans certains groupes d’âge ou certaines cohortes.

    En Inde, La Central Drugs Standard Control Organisation du pays a formé un comité d’experts en matière de vaccination qui s’est réuni le 3 février pour discuter de la proposition de Pfizer concernant l’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin expérimental contre le Covid-19.
    « Le comité a noté que des incidents de paralysie, d’anaphylaxie et d’autres événements indésirables graves ont été signalés après la commercialisation et que la causalité des événements par rapport au vaccin fait l’objet d’une enquête »

    Il y en a 7 pages… je ne vous copie pas le reste, d’autant que j’ai oublié de noter le lien.

  2. j’ajoute, hors sujet;;;
    Le Dr Louis Fouché a tout compris sur la Psychologie profonde qui anime nos Zélus, les tyrans de l’oligarchie mondialiste : « Cette crise est là pour que ça (la Civilisation) s’effondre !!! » (vidéo)
    Publié le 27 Février 2021
    http://imposture-bibliotheque-de-combat.over-blog.com/2021/02/le-dr-louis-fouche-a-tout-compris-sur-la-psychologie-profonde-qui-anime-nos-zelus-les-tyrans-de-l-oligarchie-mondialiste-cette-crise

  3. 27 février 2021
    Le professeur Perronne appelle à résister à la “vaccination anti-Covid’
    « Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe »
    https://bonsens.info/christian-perronne-a-propos-des-vaccins/

    Je ne présenterai pas le Professeur Christian Perronne, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (92) qui fait partie de la trop petite cohorte de médecins qui ont eu très tôt le courage de dire la vérité sur la crise de la covid-19 et qui est maintenant persécuté pour cela par son administration, sa fac, le Conseil national de l’Ordre des médecins, les médias et de nombreux journalistes dont les connaissances en infectiologie bien minces ne les qualifient pourtant pas pour leurs diatribes coutumières.

    Sachez seulement que c’est un homme rigoureux, honnête et consensuel, très compétent sur les vaccins qu’il a défendus durant toute sa carrière. Il a présidé la Commission des maladies transmissibles du Haut Conseil de la Santé Publique, et a été vice-président du groupe “European Advisory Group of Experts on Immunisation” qui conseille la politique vaccinale européenne de l’Organisation Mondiale de la Santé. En tant que médecin, il place le serment d’Hippocrate et l’intérêt de la santé des Français au-dessus de sa carrière professionnelle, comme en témoignent ses déclarations précédentes et la mise en garde solennelle suivante :

    « Chers amis,

    La France, qui vit un cauchemar depuis des mois, se réveille.

    Dans beaucoup de villes de notre beau pays, le peuple est en marche pour retrouver sa liberté, pour exiger le retour de la démocratie.

    En tant que médecin, spécialiste des maladies infectieuses et ayant été président de nombreuses instances ou conseils de santé publique, y compris sur les vaccins, je mesure chaque jour les incertitudes générant la peur et le désarroi croissant de nos concitoyens. Je prends le risque d’être à nouveau qualifié de « complotiste » ou mieux de « rassuriste », termes désignant ceux qui critiquent ou challengent la pensée unique. Je finis par être fier de ces appellations, mes propos exprimant la vérité n’ayant jamais changé depuis le début de l’épidémie.

    Je considère donc qu’il est de ma responsabilité de m’exprimer à nouveau ce jour sur l’ensemble du volet médical de la Covid-19 et en particulier sur le sujet vaccinal, désormais l’élément central et quasiment unique de la politique de santé de l’État.

    Beaucoup de Français ont été hypnotisés par la politique de la peur. Depuis septembre 2020, on nous avait annoncé une deuxième vague terrible de l’épidémie, pire que la première.

    Le Ministre de la Santé, le Dr Olivier Véran, le Président du Conseil scientifique de l’Elysée, le Pr Jean François Delfraissy, le Directeur Général de la Santé, le Pr Jérôme Salomon, l’Institut Pasteur nous ont annoncé des chiffres catastrophiques avec une augmentation exponentielle du nombre de morts. Les hôpitaux devaient être saturés et débordés.

    Même le Président de la République, lors d’une allocution télévisée récente annonçant le reconfinement, nous a prédit pas moins de 400.000 morts, renchérissant sur les 200.000 morts estimés peu de temps auparavant par le Pr Arnaud Fontanet de Pasteur. Ces chiffres irréalistes n’avaient qu’un but, entretenir la peur pour nous faire rester confinés, sagement masqués. Pourtant l’usage généralisé des masques en population générale n’a aucun intérêt démontré scientifiquement pour enrayer l’épidémie de SARS-CoV-2. L’utilisation des masques devrait être ciblée pour les malades, leur entourage (surtout les personnes à risque) et les soignants au contact.

    Or l’épidémie régresse et n’a entraîné aucune apocalypse. La dynamique de la courbe montrait depuis des semaines le profil d’un rebond épidémique saisonnier qui s’observe avec certains virus, une fois la vague épidémique terminée. Cela témoigne de l’adaptation du virus à l’homme et est aussi le reflet de l’immunité collective qui progresse dans la population et qui nous protège naturellement. Les souches de virus qui circulent actuellement ont perdu de leur virulence.

    Les autorités ne pourront pas dire que c’est grâce au confinement car la tendance à la baisse avait commencé avant même sa mise en place. La régression de l’épidémie avait même commencé, dans certaines agglomérations, avant l’instauration du couvre-feu.

    Malheureusement, il y a encore des décès qui surviennent chez des personnes très âgées, des grands obèses ou des personnes souffrant d’un diabète sévère, d’hypertension artérielle grave, de maladies cardiorespiratoires ou rénales déjà invalidantes. Ces personnes à risque sont parfaitement identifiées. Les mesures sanitaires devraient donc être ciblées pour les protéger, les dépister et les traiter le plus tôt possible dès le début des symptômes par l’hydroxychloroquine et l’azithromycine dont l’efficacité et l’innocuité sont largement confirmées, si on donne le traitement précocement.

    Beaucoup de décès auraient pu être évités. Or on a dissuadé les médecins généralistes et les gériatres de traiter. Dans ce contexte, continuer à persécuter nos enfants derrière des masques inutiles reste incompréhensible.

    Toutes ces mesures sont faites pour que les Français réclament un vaccin. Or quel est l’intérêt d’un vaccin généralisé pour une maladie dont la mortalité est proche de 0,05% ? Aucun. Cette vaccination de masse est inutile. De plus, les risques de la vaccination peuvent être plus importants que les bénéfices.

    Le plus inquiétant est que de nombreux pays, dont la France, se disent prêts à vacciner dans les semaines qui viennent, alors que la mise au point et l’évaluation de ces produits se sont faites à la va-vite et qu’aucun résultat de l’efficacité ou de la dangerosité de ces vaccins n’a été publié à ce jour. Nous n’avons eu le droit qu’à des communiqués de presse des industriels fabricants, permettant de faire flamber leurs actions en bourse.

    Le pire est que les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme. Et si les cellules de certains « vaccinés » fabriquaient trop d’éléments viraux, entrainant des réactions incontrôlables dans notre corps ? Les premières thérapies géniques seront à ARN, mais il existe des projets avec l’ADN.

    Normalement, dans nos cellules, le message se fait de l’ADN vers l’ARN, mais l’inverse est possible dans certaines circonstances, d’autant que nos cellules humaines contiennent depuis la nuit des temps des rétrovirus dits « endogènes » intégrés dans l’ADN de nos chromosomes. Ces rétrovirus « domestiqués » qui nous habitent sont habituellement inoffensifs (contrairement au VIH, rétrovirus du sida par exemple), mais ils peuvent produire une enzyme, la transcriptase inverse, capable de transcrire à l’envers, de l’ARN vers l’ADN. Ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement.

    Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants. Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes. Nous ne voulons pas devenir, comme les tomates ou le maïs transgéniques des OGM (organismes génétiquement modifiés).

    Un responsable médical d’un des laboratoires pharmaceutiques fabricants a déclaré il y a quelques jours qu’il espérait un effet de protection individuelle, mais qu’il ne fallait pas trop espérer un impact sur la transmission du virus, donc sur la dynamique de l’épidémie. C’est bien là un aveu déguisé qu’il ne s’agit pas d’un vaccin. Un comble.

    Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale.

    Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant.

    Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

    La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus.

    Christian PERRONNE

    Christian Perronne : à propos des vaccins…

    Tout est dit, je vous conseille de lire et relire cette lettre, de la méditer et de la diffuser aussi largement que possible par mail, tracts (comme au temps de la Résistance) dans les boîtes aux lettres etc. pour tenter d’ouvrir les yeux à nos concitoyens, qu’ils cessent de se faire tester avec les tests PCR faux et attaqués en justice, et n’acceptent pas de se faire isoler pour une épidémie de cas et non de malades.
    Résistons.

    Gérard Delépine

    • Desolé d’autant charger, mais comme c’est tres important, voici cette autre information:

      dimanche 28 février 2021
      Bilan de la Vaccination au Royaume-Uni au 75e jour !
      Bilan, au 75e jour, de la très importante Campagne de Vaccination Anti-Covid au Royaume-Uni !

      27/02/2021

      Par Dr Gérard Delépine

      [Voir aussi sur ripostelaique.com]

      La Grande-Bretagne est le second champion de la vaccination. Le suivi de l’épidémie dans ce pays permet ainsi de prévoir ce qui risque d’arriver chez nous si la vaccination se généralise. Cela explique l’intérêt d’une nouvelle analyse avec 2 mois et demi de recul.

      Les succès de la campagne de vaccination et ses contreparties discutables !
      Aujourd’hui la campagne de vaccination progresse avec près de 11 millions de Britanniques qui auraient reçu au moins une dose de vaccin, dont la majorité des personnes âgées de 70 ans et plus auraient reçu leurs deux doses.

      Cette campagne de vaccination n’a été réalisée que grâce à une propagande massive prétendant que les résultats des vaccins sont connus et rassurants, alors que l’essai pivot n’incluait qu’une poignée de personnes très âgées avec comorbidité.

      Pertinence des critères d’évaluation !
      Les médias proclament le succès d’après les pourcentages de vaccinés ou les taux prétendus de protection que le vaccin conférerait d’après les communiqués du fabricant ou des organismes chargés de la vaccination.

      Mais un examen objectif d’une campagne de vaccination doit se focaliser uniquement sur deux points précis : le vaccin prévient-il les transmissions du virus ? Diminue-t-il la gravité de la maladie et tout particulièrement le risque d’en mourir ?

      On dispose pour ces critères d’une source fiable, accessible par internet et indépendante des acteurs de la vaccination : les données OMS quotidiennement mises à jour sur son site officiel consultable en tapant https://covid19.who.int/. Il précise chaque jour, pour chaque pays, le nombre de contaminations et le nombre de décès attribués au Covd-19. C’est donc sur ces données que nous baserons notre analyse.

      Évolution du nombre quotidien des contaminations !
      D’après les courbes OMS du 25 février 2021, la vaccination commencée le 4 décembre a été suivie d’une augmentation considérable (+300 %) des contaminations journalières, leur nombre dépassant les pics de la vague précédente malgré un confinement strict.

      Avant la vaccination et après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 1 674 138 contaminations. En deux mois et demi post-vaccination, ce chiffre est passé à 4 134 843 (+150 %).

      Cette évolution immédiatement très défavorable après vaccination, avec augmentation considérable des contaminations quotidiennes, suggère que le vaccin est incapable de diminuer la transmission de la maladie.

      La chute des contaminations depuis janvier pourrait faire croire à l’efficacité de la vaccination après six semaines, mais cette diminution du nombre quotidien de contaminations n’a été observée que depuis le reflux mondial de l’épidémie apparue le 8 janvier 2021 dans tous les pays, vaccinés ou pas, confinés ou pas.

      Évolution de la mortalité quotidienne !

      En Grande-Bretagne, malgré le confinement, la vaccination a été suivie d’une augmentation considérable de la mortalité journalière. Le 4 décembre, avant la vaccination, après neuf mois d’épidémie, le Royaume-Uni comptait 60 113 morts attribuées au Covid-19. En deux mois et demi post-vaccination, ce chiffre a doublé passant à 121 305 (+100 %).

      Les mois de décembre 2020 et janvier 2021 ont établi les records mensuels de la mortalité, regroupant à eux deux plus de 50 % de la totalité des morts depuis le début de l’épidémie dans ce pays.

      La vaccination, loin de diminuer le risque létal de la maladie, paraît au contraire l’avoir exacerbé !

      Ce phénomène paraît très inquiétant chez les seniors en institution.
      Lorsqu’on a reçu la première dose de vaccin, le Covid-19 paraît se révéler plus grave et plus susceptible d’entraîner la mort. Heureusement, le franc recul mondial de l’épidémie depuis janvier diminue le risque d’attraper la maladie après la première injection de vaccin et donc minore le risque d’en mourir.

      Cette décrue mondiale de l’épidémie ne paraît due ni à au confinement ni à la vaccination, puisqu’elle est plus intense dans les pays non confinés et peu vaccinés tels que la Suède.

      Que peut-on conclure pour l’instant ?
      En Grande-Bretagne, les suites immédiates de la vaccination ont été marquées par une recrudescence très importante des contaminations et de la mortalité quotidiennes alors que c’est une franche diminution qui en était espérée.

      En février, il y avait plus de nouveaux cas de Covid-19 par jour qu’avant le début du confinement et de la vaccination. L’émergence de différents variants du Covid-19 l’explique peut-être, mais cette émergence a peut-être elle-même été favorisée par la vaccination.

      Dans une lettre au BMJ [1] le Pr Delfraissy s’inquiète :

      « des études suggèrent que l’émergence et la propagation des variants du SRAS-CoV-2 sont corrélées à l’absence de protection immunitaire robuste après une première exposition à des virus… voire à un vaccin. Cette évolution, associée à l’émergence de mutants, a non seulement été observée avec le SRAS-CoV-2, mais également avec d’autres virus… facilitant l’émergence d’un variant avec une transmissibilité accrue… de nouvelles variantes émergent et l’évasion immunitaire réduit l’efficacité de la vaccination à court et moyen terme. »

      L’accroissement important de la mortalité depuis la vaccination est peut-être dû à un phénomène d’anticorps facilitants [2] dont le risque, illustré par la catastrophe vaccinale récente du Dengvaxia aux Philippines, avait été rappelé par l’Académie de médecine [3].

      « Dans le contexte actuel de recrudescence épidémique (…) le risque individuel d’aggravation par anticorps facilitants doit être évoqué quand l’infection survient chez une personne ayant un faible taux d’anticorps neutralisants. »

      Un débat vaccinal serein est actuellement impossible en Grande-Bretagne car complètement pollué par des considérations politiques.

      Reconnaître l’échec de la vaccination porterait en effet un coup sévère à Boris Johnson et aux autorités sanitaires anglaises qui l’ont très fortement conseillée et qui viennent d’annoncer « une première injection de vaccin Pfizer réduirait de 57 % le risque de souffrir de Covid-19 chez les plus de 80 ans », sans expliquer ni les hausses d’incidence et de mortalité observées, accusant seulement des variants, ni les apparitions de clusters mortels dans les Ehpad de nombreux pays rapportés dans les journaux peu de temps après la vaccination Pfizer [4].

      Il faut donc s’attendre à ce que le gouvernement, les organismes qui ont conseillé et réalisé la campagne de vaccination et les médias qui leur sont proches continuent de clamer la victoire de la vaccination contre le virus, de refuser d’expliquer les chiffres d’incidence et de mortalité post-vaccination et de traiter ceux qui émettent des doutes de complotistes.

      Car comme le remarquait un panel de scientifiques dans le BMJ [5], quel que soit le pays, « quiconque ose dire la vérité au pouvoir est antipatriotique, déloyal ou radical ».

      La démocratie en danger !
      En absence de débat démocratique permettant d’évaluer rationnellement les conséquences de la vaccination, nous ne pouvons que conseiller aux Français d’attendre pour se faire vacciner.

      Il n’y a en effet aucune urgence au vaccin, le risque de la maladie étant infime pour les moins de 65 ans. La vaccination altruiste ne peut être conseillée puisque le vaccin paraît incapable d’empêcher la transmission de l’épidémie. Dans quelques mois, un bilan plus objectif pourra être tiré et la décision de se faire vacciner ou pas pourra alors reposer sur des données consolidées.

      C’est certainement ce que veut éviter le ministre de la Santé, avec sa volonté d’imposer le port d’un passeport vaccinal sur le modèle israélien pour obliger nos compatriotes à se faire vacciner.[6]

      Pour un senior qui se souvient de la guerre de 1939-1945 ou bien des témoignages terribles de la génération de ses parents ou grands-parents, l’obligation du port d’un badge de couleur (heureusement ni étoile, ni jaune !) est incroyable, consternant, invraisemblable, insupportable et les héritiers du grand Churchill doivent se retourner dans leur tombe. Il est vrai que certains veulent déboulonner sa statue, donc on ne peut s’étonner de rien. Le passeport vaccinal prévu est néanmoins plus discret mais tout autant liberticide.

      Il ne faut jamais oublier les avertissements des survivants de la Seconde Guerre mondiale et singulièrement de la Shoah : la mise en garde de Bertolt Brecht et de Margaret Steffin dans la résistible Ascension d’Arturo Ui « le ventre est encore fécond d’où est sortie la bête immonde » et les leçons d’Hannah Arendt sur la banalité du mal.

      « le mal ne réside pas dans l’extraordinaire mais dans les petites choses, une quotidienneté à commettre les crimes les plus graves. »

      Espérons que la majorité de la population, qui n’a probablement pas la mémoire courte, saura RÉSISTER à cet effroyable et monstrueux pied de nez de l’Histoire.

      Alors que de nombreux gouvernements, dont le nôtre, essaient de faire croire que le passeport vaccinal nous libérerait des chaînes qu’ils nous ont imposées et qu’ils resserrent chaque jour pour nous faire accepter l’insupportable, rappelons que l’épidémie disparaît partout dans les pays peu ou pas vaccinés indépendamment des mesures liberticides imposées ou pas. Sur l’ensemble de la planète le nombre de contaminations a régressé de 60 % durant les 5 dernières semaines.

      Comme depuis des millénaires, les virus vivent leur vie et les épidémies finissent assez brutalement comme celles du MERS et du SRAS pour les deux cousins de notre Covid-19, n’ayant laissé aux labos ni le temps de trouver ni d’imposer un vaccin.

      Espérons que la poursuite de cette évolution spontanément favorable du virus viendra clore cet épisode funeste à tous égards et en particulier de la vaccination avec son cortège de nombreux effets secondaires dont des cécités, des troubles oculaires bien détaillés dans le site du gouvernement anglais (gov.UK) [7] [8].

      Le passeport vaccinal ne constitue, comme le masque et le couvre-feu, qu’un outil d’asservissement sans intérêt sanitaire. L’accepter serait signe de soumission au projet de société à la chinoise que rêvent de mettre en place les dirigeants actuels. Mais si ce modèle leur convient, qu’en penseront les Français une fois réveillés de leur cauchemar covidien ? Les camps d’internement, passeport vaccinal, isolement autoritaire auxquels nous préparent les médias seront-ils acceptés sans bruit et sans violence ?

      Méditons la tirade d’Antonio Guterres, Secrétaire Général de l’ONU devant le Conseil des droits de l’homme :

      Brandissant la pandémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et adopté des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG”. ” Des défenseurs des droits humains, des journalistes, des avocats, des militants, et même des professionnels de la santé, ont fait l’objet […] de poursuites, et de mesures d’intimidation et de surveillance pour avoir critiqué les mesures – ou le manque de mesures – prises pour faire face à la pandémie. Les restrictions liées à la pandémie servent d’excuses pour miner les processus électoraux, affaiblir les voix des opposants et réprimer les critiques.”

      Devrons-nous regagner dans la rue nos libertés fondamentales ignoblement confisquées ?

      Et à l’occasion de cette revue du vaccin au Royaume-Uni qui pose les mêmes questionnements dans le monde occidental dont la France, rappelons la conférence de Mary Holland, professeur de droit devant l’ONU au sujet de l’opportunité de la vaccination obligatoire chez l’enfant.

      Elle rappelle en 2016 : ” en 2005, l’UNESCO (Éducation Science et Culture) qui a abordé cette question a adopté la Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme avec un consensus de 193 pays. Les pays participants ont espéré que cette Déclaration, comme la Déclaration universelle des droits de l’homme, devienne un ensemble de principes directeurs.

      Sur la question du consentement, la Déclaration stipule que toute intervention médicale préventive ne doit être effectuée qu’avec le consentement préalable, libre et éclairé de la personne concernée, et fondé sur des informations suffisantes. Elle note également (en son article 2) que « le seul intérêt de la science ou de la société » ne doit pas prévaloir.

      Cette déclaration est une extension du serment médical attribué à Hippocrate il y a 2 500 ans, et qui stipule que les médecins doivent œuvrer pour le bien de leurs patients et ne jamais faire de mal. Sous forme abrégée « D’abord ne pas nuire », ce credo incarne le principe de précaution en médecine, en mettant clairement les intérêts des patients au-dessus des intérêts de la collectivité ou du « troupeau ».

      Ce principe de précaution en médecine mène directement à l’idée que les politiques de vaccination doivent être recommandées et non rendues obligatoires.

      Le Dr Leo Alexander, chef médical consultant américain au procès de Nuremberg, a averti en 1949 que « c’est à partir de débuts insignifiants que les valeurs d’une société entière peuvent être renversées ». Il a souligné que bien avant l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, un changement dans la culture médicale s’était déjà produit « ouvrant la voie à l’adoption d’un point de vue hégélien utilitariste » avec une littérature traitant de l’euthanasie et de l’extermination des personnes handicapées dès 1931.

      Elle paraphrase le discours d’adieu du Président Eisenhower aux États-Unis en 1961, quand il faisait allusion aux risques que pouvait comporter le « complexe militaro-industriel », substitue le terme « médico-industriel » aux paroles du Président parce que ce « complexe médico-industriel » présente de nombreux risques que le Président avait prédits dans son discours :

      « Le potentiel d’une montée désastreuse du pouvoir existe et persistera. Nous ne devons jamais permettre que ce complexe mette en danger nos libertés ou notre processus démocratique. Nous ne devons rien prendre pour acquis. Seuls des citoyens éveillés et bien informés peuvent contraindre l’énorme machinerie industrielle et médicale à respecter nos méthodes et nos objectifs pour que la sécurité et la liberté puissent prospérer ensemble… En gardant l’œil sur la recherche et les découvertes scientifiques, comme il nous appartient de le faire, nous devons aussi rester attentifs au danger égal et opposé qui conduirait la politique à devenir elle-même captive d’une élite scientifique et technologique ».

      Dr Gérard Delépine

      Dr Fouché sur les vaccins « Vous êtes l’objet d’une expérimentation à grande échelle » (Quartier libre 25 Fév. 2021) #Pfizer #JeNeMeConfineraiPas #confinement #ConfinementParis
      Voir video dans le lien:
      https://twitter.com/Infirmier00/status/1365286996105650180?ref_src=twsrc%5Etfw%7Ctwcamp%5Etweetembed%7Ctwterm%5E1365286996105650180%7Ctwgr%5E%7Ctwcon%5Es1_&ref_url=https%3A%2F%2Fnouveau-monde.ca%2Ffr%2Fbilan-de-la-vaccination-au-royaume-uni-au-75e-jour%2F

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