A la fac, la gauche fait l’apologie des crimes du Hamas

Deux fléaux détruisent progressivement nos universités :

– le wokisme,

– l’islamogauchisme

Venue des campus américains, l’idéologie mortifère du wokisme pollue les têtes de nos étudiants. On voit déjà dans les entreprises les dégâts causés par ces nouveaux cadres dirigeants (dé)formés par cette idéologie qui va à rebours des valeurs de la civilisation judéo-chrétienne.

Alors qu’on avait mis des siècles à lutter contre le racisme, à en finir même avec la notion de race, avec le wokisme les races et les orientations sexuelles reviennent au centre de tout !

Le second fléau qui corrompt nos universités c’est l’emprise de la gauche qui s’est transformée, depuis quelques années, en un islamogauchisme qui met en péril la cohésion du pays.

Les événements terribles survenus en Israel ont bien sûr été l’occasion de débordements par les organisations syndicales d’étudiants qui règnent en maitre dans les universités.

L’UNI, un des rares syndicats de droite, tente de survivre dans cet environnement hostile et dénonce dans un communiqué l’apologie du terrorisme perpétré par le Hamas :

L’UNI dénonce l’apologie du terrorisme palestinien dans nos universités !

La terrible attaque terroriste lancée par le Hamas
qui a frappé Israël a résonné partout dans le monde. 

En France, et notamment dans nos universités, elle a rappelé l’ampleur de l’antisémitisme et de la complaisance avec le terrorisme islamique dans les mouvements de gauche et d’extrême-gauche. 

L’UNI a recensé les prises de positions de syndicats étudiants soutenant la « lutte armée de la résistance palestinienne« , sans qu’il n’y ait un mot pour les nombreuses victimes civiles israéliennes. 

Tout cela est dans un intérêt électoral, islamogauchiste et clientéliste.

L’Union étudiante, la Fédération Syndicale Étudiante, le Poing Levé ou encore Solidaire ont affiché leur soutien aux terroristes dans de nombreuses universités ou écoles (Nanterre, Sciences Po, l’ENS, Paris 8, Bordeaux Montaigne, Poitiers, Paris-Cité, ou encore Lyon 2). 

Ces dernières ont parfois été complaisantes : Sciences Po n’a rien trouvé de mieux que d’accueillir Mélenchon le 18 octobre pour la promotion de son nouveau libre, en livrant au passage ses analyses géopolitiques.

À titre d’exemple, l’ensemble des étudiants de l’École des Hautes Études en Sciences Sociales ont reçu un communiqué de presse de Solidaire, envoyé et soutenu par une chercheuse du CNRS et enseignante dans cette école, appelant à soutenir la « résistance palestinienne » dans « toutes ses modalités et formes de lutte, y compris la lutte armée.« 

De plus, comment ne pas s’indigner lorsque l’université Lyon 2 laisse s’exprimer lors d’une conférence sur le même thème une représentante du FPLP, organisation classée terroriste par l’Union européenne ?

Ces faits ne sont pas sans conséquences : des étudiants de confession juive nous ont confié avoir la peur au ventre de se rendre sur certains campus depuis le début de ces manifestations et rassemblements haineux.

Face à cela, l’UNI agit et ne laisse pas le terrain universitaire aux amis et porte-drapeaux des terroristes. Nos militants ont par exemple fait pression sur l’université de Poitiers qui avait accepté la tenue d’un rassemblement en faveur de cette « résistance » palestinienne, et ils en ont obtenu  l’annulation !

Nous exigeons le retrait de toutes les subventions de ces syndicats étudiants et qu’ils ne puissent plus occuper les locaux universitaires. La dissolution des groupes les plus radicaux et récidivistes doit aussi être engagée.

L’UNI.