Après les forcenés du genre,
voici les décoloniaux déjantés !

Publié par le 11 Fév, 2021 dans Blog | 2 commentaires

Après les forcenés du genre, voici les décoloniaux déjantés !

Décidément, on vit une époque formidable !

Formidable au sens propre, c’est à dire redoutable ! Car les mesures exigées et obtenues par les bataillons avancés du progressisme ont de quoi effrayer.

Hier, je dénonçais les tenants de la théorie du genre qui interdisaient aux femmes de « donner le sein » en leur enjoignant de « donner la poitrine » !

Et aujourd’hui, je tombe sur l’article suivant de Boulevard Voltaire qui nous informe que du côté des décoloniaux on s’active pour revisiter l’histoire et les grands personnages de l’histoire :

La censure au nom de la tolérance : des lycéens anglais
font disparaître les noms de Churchill et J. K. Rowling

J. K. Rowling, l’auteur de Harry Potter, et Winston Churchill coulaient des jours heureux dans un lycée anglais. Leurs noms ornaient quelque fronton du bâtiment et, malgré la différence d’âge et des faits d’armes sans commune mesure, le couple filait le parfait amour. Jusqu’au jour où… patatras ! Les élèves imbibés jusqu’à la moelle de la propagande progressiste décident que ces deux personnages ont des opinions intolérantes. L’un pour avoir « promu le racisme et les inégalités, emprisonnant et torturant injustement », comme il fut écrit sur une lettre envoyée aux parents, l’autre, la maman de Harry Potter, pour ses commentaires sur la communauté trans. Des noms porteurs de tant de méchancetés ne devaient plus figurer sur les murs de la Seaford Head Scool. L’intolérance devenait intolérable. La fameuse embrouille des censeurs agissant au nom du bien. Le concept qui a fait ses preuves.

Un parent, qui a souhaité garder l’anonymat – la crainte du camp de redressement -, fait aimablement remarquer à ces ados culs bénis du politiquement correct que Churchill « nous a aidés à combattre le mal de l’Allemagne nazie. Il mérite sûrement d’être honoré pour cela. » Ach! Gross dissident ! La voix de Gérard Jugnot, le collabo de Papy fait de la résistance, résonne à nos oreilles. Le lycéen extrêmement gauchiste endosse le manteau de cuir noir de Ramirez et fait régner la terreur intellectuelle sur son environnement scolaire. Spectateur assidu de Harry Potter dans sa tendre enfance mais censeur de sa créatrice dès les premiers boutons éclos. Antifacho résolu mais chasseur de celui qui contribua à leur anéantissement. Pas à un contresens près. Totalement perturbé par le bourrage de crâne en vigueur, l’ado se fait suiveur non comprenant. Concept également très en vogue.

Dans l’Angleterre de 2021, malgré quelques réticences, le résistant file doux. Après avoir formulé son désaccord en termes choisis : « Ces icônes représentent parfaitement l’éthique de notre école, un ensemble de valeurs que nous tenons comme importantes et centrales dans nos croyances », la direction s’exécute et fait disparaître les noms de ces deux personnalités honnies par ce qui n’est sans doute qu’un mini-groupuscule d’élèves agités du bocal.

Et la question revient inlassablement, toujours la même : de quoi les décideurs ont-il peur ? Quelle foudre menace de s’abattre sur la tête de ceux qui refuseraient de se plier à ces injonctions tout droit sorties d’un asile psychiatrique ? Julien Rochedy traitait ce thème avec pertinence dans l’une de ses vidéos. En la matière, constatons, une fois de plus que la terreur ne règne que par la lâcheté de ceux qu’elle entend faire taire. Winston Churchill et J. K. Rowling n’auront pas d’enfants.

Jany Leroy pour Boulevard Voltaire.

On peut rapprocher ce fait divers lamentable de ce qui se passe à San Francisco où le tiers des écoles vont être débaptisées parce que leurs noms sont ceux d’hommes politiques qui ont vécu du temps de l’esclavage.

Les pères fondateurs sont même visés puisque Abraham Lincoln, George Washington et Thomas Jefferson font partie des personnalités attaquées !

Il s’agit, selon les autorités :

De purger le district de l’hommage rendu à des personnages controversés pour avoir répondu aux critères suivants :

  • Avoir été engagé dans la subjugation et l’asservissement d’être humains ;
  • avoir opprimé des femmes ;
  • avoir empêché le progrès social ;
  • s’être rendu coupable d’actions menant au génocide ;
  • ou avoir contribué à freiner de manière significative le droit à la vie, à la liberté et à la poursuite du bonheur d’autres individus.

Juger des actes ou des personnes, plusieurs siècles plus tard, avec nos yeux, nos règles, nos us et nos coutumes d’aujourd’hui est tout simplement inepte !

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2 Réponses à “Après les forcenés du genre,
voici les décoloniaux déjantés !”

  1. Vu l’antisémitisme ambiant de certaines populations, un lycée Adolf Hitler serait dans l’ordre du possible, quoique Mohammed Amin al-Husseini soit plus approprié et moins connoté.

  2. Dans un climat de debile,
    les debilent profitent de cette situation pour deverser leur propagandes, leurs mensonges, leurs haines, sur des pretextes meme tres eloignée de la realité.

    Ces zozos vivent dans une semi realité, ou realité imaginaires, comme la goche…

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