« Au secours, la droite revient ! »

Publié par le 29 Sep, 2020 dans Blog | 0 commentaire

« Au secours, la droite revient ! »

C’est le cri désespéré de la gauche !

Cette gauche qui depuis des années a noyauté – d’aucuns diraient infesté – les médias, les syndicats, la justice, l’Education nationale et le monde de la culture !

Mais quand l’attaque vient de France Inter, et plus généralement de l’audiovisuel public, dans lequel on n’a pas vu le moindre journaliste de droite depuis une quarantaine d’années, on en reste médusé !

C’est ce que nous raconte Valeurs actuelles dans un article intitulé :

Une journaliste de France Inter somme le patron du CSA de lutter contre la “droitisation des plateaux” de télévision

Sur la radio publique, lundi 28 septembre, Sonia Devillers a jugé que le gendarme de l’audiovisuel française devait mener une réflexion “urgente” sur le sujet.

Largement orientés à gauche, dans leur grande majorité, les médias publics français s’indignent : les voix, disent-ils, se font entendre à droite. Le CSA doit les faire taire, assure Sonia Devillers, journaliste… à France Inter.

« Ces gens-là ne sont pas encartés »

Dans ce qu’elle nomme une « droitisation des plateaux de chaînes d’info en continu », la journaliste a demandé, lundi 28 septembre, au patron du CSA, de comptabiliser le temps de parole des personnalités de droites. « Autour de ces plateaux, ce ne sont ni des militants, ni des soutiens, ni des patrons de partis, ce sont des éditorialistes, des Michel Onfray, des Zineb El Rhazoui, des Jean-Claude Dassier, des Rokhaya Diallo, des Gabrielle Cluzel… Et ces gens-là ne sont pas encartés, pourtant leur parole est éminemment polémique et politique », a-t-elle énuméré, prenant soit de mentionner Rokhaya Diallo, seule intervenante de gauche dans la liste.

« Si une de ces personnalités, en période électorale, devait prendre parti pour un camp, le CSA serait tout à fait en droit de comptabiliser ce temps de parole au titre du temps de parole qu’il soutiendrait », a explique Roch-Olivier Maistre, président du Conseil supérieur de l’audiovisuel. « On avait eu le cas au moment des élections européennes, quand Steve Bannon est venu en France, a soutenu explicitement Marine Le Pen, on a comptabilisé le temps de parole de Monsieur Bannon dans le temps de parole de Marine Le Pen », a-t-il aussi rappelé.

« L’écrasante hégémonie de la gauche dans les médias de service public »

Des personnes mentionnées par Sonia Devillers, Roch-Olivier Maistre a précisé qu’il s’agissait « d’éditorialistes, de personnes qui ne sont pas engagées en tant que tel dans une formation politique ». Or, a poursuivi le patron du CSA, « notre comptabilité se fait au regard des représentations telles qu’on les connait au Parlement mais c’est un sujet sur lequel on va ouvrir une réflexion ». Et la journaliste de France inter d’achever la phrase de son invité, après l’emploi du terme « réflexion » : « urgente ». « Cette appréciation du pluralisme, il faut la faire peut-être plus, finalement », a conclu Roch-Olivier Maistre.

Sur Twitter, l’avocat Gilles-William Goldnadel s’est adressé directement à la journaliste de France Inter. « Chère Sonia Devillers, responsable média de la radio publique. Quel bonheur de vous savoir soudainement éprise de souci de pluralisme s’agissant de CNews. Chiche ! Nous comptabiliserons désormais tous les intervenants non encartés de gauche sur France Inter, à commencer par vous », a-t-il écrit sur le média public. « Il y a peut être une droitisation des chaînes infos mais que dire de l’écrasante hégémonie de la gauche dans les médias de service public ? Je suis pour le pluralisme imposé par le CSA s’il s’étend a France Inter », a abondé, également sur Twitter, la journaliste du Figaro Eugénie Bastié.

Edifiant ! Comment une gauchiste comme Sonia Devillers peut-elle déclarer l’urgence du pluralisme dans les médias alors qu’elle-même et ses amis ont dédié France Inter au seul service de la gauche et des progressistes ?

Ceci dit, reconnaissons que la chaine CNews est en train de révolutionner l’information à la télévision car on y entend une autre musique, jouée par d’autres musiciens que ceux qu’on entend depuis des décennies sur les autres chaines.

Bravo à la direction courageuse de CNews et à Vincent Bolloré et Serge Nedjar, qui ont maintenu à l’antenne, malgré les cris d’orfraie de la bien-pensance, les Eric Zemmour, les Pascal Praud, les Charlotte d’ornellas, les Gilles-William Goldnadel et les Guillaume Bigot.

Les succès et les audiences sans cesse en augmentation les rendront bientôt intouchables !

A lire cet expérience de Pierre Cretin qui, pour Causeur,  s’est dévoué pour écouter France Inter entre 9 et 10 . On compatit :

La France inter éternelle

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