Belloubet-Castaner : qui fera la plus grosse bourde ?

Publié par le 17 Juin, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Belloubet-Castaner : qui fera la plus grosse bourde ?

C’est désormais certain ! Le gouvernement de Jupiter a largement dépassé en couacs les gouvernements précédents sous tutelle suprême de Normal 1 er.

Et pourtant le challenge était ambitieux !

C’est une course à l’échalote échevelée qui oppose la copine des Traoré en poste Place Vendôme et le danseur mondain de la Place Beauvau qui suspecte sa propre police de racisme.

Pour le prix de la plus grosse bourde !

Illustrant cette dualité exacerbée, je souhaiterais rapprocher deux articles parus dans La Lettre Patriote :

1 – Vous n’allez pas croire ce que Castaner a imaginé ! (par Julien Michel)

Le sémillant danseur Christophe Castaner a imaginé – probablement entre deux nuits de folie – une solution pour calmer les manifestations faisant écho au #BlackLivesMatter d’outre-atlantique.

Son idée ? Faire s’agenouiller des membres des forces de l’ordre dans la cour du ministère de l’Intérieur !

Son cerveau quelque peu troublé a imaginé des policiers et des gendarmes français, le genou à terre. Inutile de préciser que la proposition – gravissime – a déclenché la fureur des forces de l’ordre en question, mais aussi du palais de l’Élysée voisin !

La question qui reste est néanmoins inquiétante : comment un ministre de l’Intérieur peut-il en arriver à de telles aberrations ?

Ah, j’oubliais, Castaner vient du Parti Socialiste. CQFD.

Julien Michel pour La Lettre Patriote.

2 – L’énormité discriminatoire de Nicole Belloubet par Radu Portocala

C’est un fait bien connu que M. Macron et ses amis ont l’ambition de saisir toutes les occasions pour insulter les Français. Fainéants, alcooliques, réfractaires, etc. – la liste est assez longue, mais, en l’examinant avec attention, on constate que le président ne les a pas encore accusés d’entorses à la bien-pensance.

C’est une de ses ministres, Françoise Nyssen, qui a lancé la première attaque collective de nature politique. Pour elle, trop de Français sont « hautement réactionnaires ». Elle a proposé même un remède: « changer les mentalités sur le terrain » par le biais de l’audiovisuel. Ailleurs et autrefois, on appelait cela rééducation.

L’autre jour, Nicole Belloubet s’est sentie obligée de prendre le relai de sa collègue remaniée.

« Chaque Français a quelque part en lui un risque de racisme »

nous a dit la ministre de la Justice. Il y a un vague relent de Félix Dzerjinski* dans cette affirmation qui fait de chacun d’entre nous un coupable potentiel.

Mais il y a aussi autre chose. Une faute qui, par les temps qui courent, est grave. Car, implicitement, Mme Belloubet crée une distinction entre les Français de souche – seuls à pouvoir être accusés de racisme – et les autres. Elle pense, naturellement, au Français Martin, dont le racisme latent risque de s’exercer contre le Français Ahmed – celui-ci étant, par conséquent, aux yeux de Mme Belloubet, moins Français que celui-là.

Qu’un ministre de la Justice (!) puisse émettre une telle énormité discriminatoire sans avoir à en tirer les conséquences, voilà qui prouve le manque de sincérité (si ce n’est pire) du discours présidentiel et gouvernemental.

Radu Portocala pour La Lettre Patriote.

* Félix Dzerjinski : Lénine considérait Dzerjinski comme un héros de la Révolution russeet le pressentit pour organiser le combat contre les « ennemis de l’intérieur ». Le 20 décembre 1917, le Soviet des commissaires du peuple fonde la Vétchéka, sigle russe pour « Commission panrusse extraordinaire pour combattre la contre-révolution et le sabotage » (plus connue sous le nom de Tchéka). Quand la guerre civile affecte tout le pays, Dzerjinski organise des troupes de sécurité intérieure afin de renforcer l’autorité de sa milice. Lénine lui accorde tout pouvoir dans son combat contre les oppositions (qu’elles soient d’essence démocratique, socialiste, libérale, agrarienne ou nationaliste). Cette guerre prend forme, en particulier, dans la suppression la liberté de la presse (fermeture par la force de tous les organes de presse non bolchéviques à savoir 95 % de la presse russe de 1917), et dans la dissolution de tous les partis politiques autres que le Parti communiste constitué en 1918 par les bolcheviks. (Source Wikipedia)

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