Covid : fin de règne pour les gourous sanitaires !

Publié par le 10 Déc, 2021 dans Blog | 3 commentaires

Covid : fin de règne pour les gourous sanitaires !

« une partie, voire une grande partie des personnes
qui vont s’infecter à partir de maintenant vont être
des personnes vaccinées.

Et ce n’est pas un échec du vaccin ! »

C’est devant les sénateurs que le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy, a tenu ces propos.

Heureusement qu’il avait prévenu son auditoire que ce qu’il allait dire était une notion difficile à comprendre !

Comment pouvons-nous garder confiance dans les vaccins  après ces propos ?

Pour Jean-François Delfraissy le vaccin garde son utilité car il évite les cas graves ou sévères, nous dit-il ? Mais qui va à l’hôpital ? Uniquement les cas graves ? Non ?

Alors pourquoi les hôpitaux craignent-ils d’être débordés ? Et pourquoi la majorité (57 %) des patients hospitalisés sont-ils vaccinés ?

Puis vint le coup de grâce !

Peu de temps après, dans une nouvelle déclaration, Jean-François Delfraissy finissait de ruiner, selon moi, le peu de crédibilité que gardaient encore les pouvoirs sanitaire et politique !

Ecoutez bien :

Oui, vous avez bien entendu !

Le grand gourou du covid annonce une quatrième dose alors que les Français ne sont qu’un sur cinq à avoir reçu une troisième dose du vaccin – hypocritement appelée dose de rappel !

Mais quelle est la crédibilité d’une telle déclaration quand on n’a absolument aucun recul sur l’efficacité de la troisième dose ?

Finalement, le vaccin est-il vraiment un vaccin ou juste un médicament genre Doliprane ?

Monsieur Delfraissy est-il un spécialiste de la santé ou plutôt un représentant de commerce de Pfizer ou Moderna ? Cette question est légitime !

Le docteur Martin Blachier vient, en deux interventions successives sur CNews, de donner le coup de grâce à Jean-François Delfraissy :

1 – Le Pass Sanitaire ne sert à rien !

2 – Jean-François Delfraissy doit être démis de ses fonctions !

Ecoutez Martin Blachier, extrêmement sévère avec le président du Conseil scientifique :

La conclusion de tout ça est terrifiante.

Emmanuel Macron a confié la direction de la lutte contre la crise sanitaire à un ministre de la santé arrogant et sans expérience de terrain et à un scientifique dont l’incompétence apparait chaque jour plus grande.

Et ce sont ces gens là :

  • Qui ont empêché les médecins de ville de soigner leurs patients,
  • Qui ont confiné tous les Français au lieu de ne protéger que les plus fragiles,
  • Qui ont bloqué tous les tests sérieux sur les médicaments existants.

On peut légitimement se demander ce qui se serait passé si on avait laissé les vrais spécialistes des pandémies, ceux ayant une grande expérience de terrain, comme Didier Raoult ou Christian Perronne gérer cette crise.

On peut vraiment imaginer qu’en soignant les gens, on aurait pas pu éviter l’engorgement des hôpitaux et donc pu se passer des confinements généraux, responsables de catastrophes économiques et de dégâts sanitaires (opérations reportées, problèmes de dépression notamment chez les plus jeunes).

Si nous n’étions pas une république bananière, nous pourrions espérer qu’un jour la justice fasse la lumière sur cette crise et condamne éventuellement les responsables.

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3 Réponses à “Covid : fin de règne pour les gourous sanitaires !”

  1. Certes ce monsieur n’est pas compétent mais il faudrait s’interroger sur le pourquoi de la mise sous scellé en « confidentiel défense » de tous les conseils de défenses.

    Je me demande si cet homme n’est finalement pas un simple pantin et que le seul décideur c’est Macron qui n’aime qu’une chose : humilier et rabaisser les français !

    Tout comme pour le pass sanitaire qui n’est qu’une incitation à la vaccination ( Le conseil d’Etat a pourtant bien dit que ça ne devait pas l’être mais pas grave, on continue !)

    J’espère juste que les français vont finir par se réveiller pour de bon et le le plus vite possible car tout ça n’a que trop durer !

  2. Il faut « virer » tous ces Diafoirus…

    D’urgence !

  3. mardi 8 décembre 2020
    La finalité de la vaccination n’est pas sanitaire !
    La principale finalité de la Campagne de Vaccination anti-Covid n’est pas du tout sanitaire, mais d’injecter une Identité Numérique à chacun !

    Billet d’humeur par Philippe Guillemant 1 décembre 2020

    Aujourd’hui, nous vous proposons pour la troisième fois les écrits de Philippe Guillemant, ingénieur physicien français, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS.
    « Le principal but de la vaccination n’est pas d’ordre sanitaire », selon Philippe Guillemant, Docteur et ingénieur physicien, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS.
    « Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.
    Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.
    Aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.
    La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin.
    Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde. »

    Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d’identité numérique par chaque citoyen.
    Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d’accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu’il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
    Cela permettra également l’introduction d’une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l’argent liquide.
    Il y a deux cas à considérer :
    – Port d’identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main…
    – Port d’identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique…

    Dans le second cas il sera impossible, sauf opération chirurgicale, de se débarrasser de son identité.
    Dans un premier temps, seul le premier cas est à considérer sérieusement.
    Ce n’est que lorsque l’usage d’une identité numérique sera normalisé par l’habitude (de vivre autrement) que le second cas s’imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l’usage.
    Aujourd’hui, ce port d’identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n’en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l’application TousAntiCovid.
    Tout le monde a le droit d’entrer dans n’importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d’avoir un portable.
    D’autre part, le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres.
    On peut considérer que pour l’instant, avoir un portable est inoffensif.
    Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G.
    En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS, mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.

    Le port non lié au corps d’identité numérique, dans un environnement peuplé d’objets connectés (maisons, voitures, routes, villes…) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :
    – Vérification d’autorisation d’accès pour les vaccinés
    – Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
    – Identification de toutes sortes d’infractions à la conduite
    – Identification des personnes avec qui l’on déjeune
    – Mémorisation de tous les déplacements
    – Calcul de temps de travail ou temps de présence…
    – Détection de déplacement inhabituel…
    – Etc

    Il convient de préciser qu’aucune loi ne pourrait empêcher l’implémentation des algorithmes correspondants, mais seulement en interdire l’usage.Toutefois, il serait extrêmement difficile de détecter qu’un tel usage n’est pas effectué.
    Seule son exploitation pourrait être rendue visible, mais cela laisse une grande place à une exploitation inavouée, par exemple par une société d’assurance où le calcul des droits est déjà réalisé de façon informatique. Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :
    – Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues…)
    – Analyse d’activités privées (dormir, lire, faire l’amour…)
    – Surveillance de l’activité des enfants
    – Analyse des interactions familiales
    – Analyse de situation (repos, activité, chute…)
    – Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive…)
    – Détection et mémorisation des habitudes
    – Etc

    J’en oublie certainement, sachant qu’il est difficile d’imaginer d’avance tout ce que la quatrième révolution industrielle pourrait nous inventer.
    Je ne parle ici que d’un transhumanisme très doux, presque acceptable, sans faire référence à quoi que ce soit d’intrusif comme une puce dans le cerveau, des nanorobots dans nos veines ou une vision artificielle et connectée.
    Mais il va de soi que l’acceptation de ces technologies intrusives est conditionnée à l’acceptation de l’usage d’identité numérique.
    La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d’acceptation du vaccin.
    Il est en effet peu probable que l’on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50% de la population n’est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation.
    Par contre, si seulement 5% de la population n’est pas vaccinée, il est fort probable qu’on entrera dans ce nouveau monde.
    La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n’a d’autre but que d’éveiller aux véritables enjeux.
    Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus.
    Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu’une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.
    Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu’on n’entrera pas dans ce nouveau monde.

    Philippe Guillemant, le 24 novembre 2020

    Pour en savoir plus sur l’auteur : http://guillemant.net
    Sa biographie, ses articles, ses livres et dvd, ses conférences, ses réalisations technologiques, sa revue de presse et ses publications.

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