Covid : le gouvernement sommé de publier la vérité !

Publié par le 7 Avr, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Covid : le gouvernement sommé de publier la vérité !

De tous les coins du globe, des études scientifiques – les vraies, celles-là ! – dévoilent chaque jour un peu plus la vérité sur la « pseudo-pandémie » de Covid.

De partout, sauf de France !

En France, le gouvernement traine les pieds et la presse se refuse à toute investigation qui pourrait remettre en cause la pensée dominante. Pourtant, tous les chiffres sont là, disponibles, dans les bases de données officielles !

Seuls quelques courageux se risquent à braver la doxa sanitaire du tout vaccin !

On peut citer le statisticien Pierre Chaillot et son livre : Covid-19 : ce que révèlent les chiffres officiels (voir ce précédent article) et la généticienne Alexandra Henrion-Caude, avec son ouvrage : Les apprentis sorciers, (voir cet article) qui font émerger une vérité destructrice pour les pouvoirs politiques et sanitaires.

Ces deux ouvrages cartonnent en librairie mais leurs auteurs sont boycottés par la plupart des médias. Bravo à Pascal Praud et Ivan Rioufol, de CNews, pour les avoir tout deux invités.

Mais rien n’arrêtera plus l’émergence de la vérité !

Je pense que tous les Français se souviennent de ces lugubres et terrifiants points de presse tenus chaque soir par Olivier Véran et une espèce de croque-mort appelé Jérôme Salomon !

Ils avaient alors terrorisé les Français pour leur faire avaler le piétinement des libertés individuelles qui allaient suivre dont les confinements et l’obligation vaccinale.

Mais rien n’arrêtera plus la vérité malgré les coupables dissimulations du gouvernement et la complicité de la presse.

Le Parisien nous en donne un exemple avec l’histoire de ce rapport qu’avait commandé Olivier Véran à l’IGAS (Inspection générale des affaires sociales) et qu’il s’est empressé de cacher en interdisant sa publication :

Contraint et forcé, le ministère de la Santé
publie le rapport choc sur sa gestion du Covid-19

Le Tribunal administratif de Paris a estimé que le rapport de l’Inspection générale des affaires sociales sur la gestion de crise du Covid-19 ne revêtait pas un caractère confidentiel. Il lui a enjoint de communiquer ce rapport et l’a condamné à verser 2000 euros à notre journal pour les frais de justice.

La procédure aura été longue et fastidieuse. Condamné par la justice pour manque de transparence, le ministère de la Santé a publié, mercredi soir, le sévère audit de 205 pages qu’il avait commandé sur sa gestion du Covid-19, à la sortie du premier confinement.

Dans un jugement rendu le 22 février 2023, le Tribunal administratif de Paris a annulé la décision du ministère de ne pas transmettre à notre journal ce rapport de l’Inspection générale des affaires sociales (Igas) portant sur les premiers mois de l’épidémie. La requête initiale du Parisien-Aujourd’hui en France concernant ce document remontait à … il y plus de deux ans, en février 2021. Point savoureux : nous avions réussi à prendre connaissance de ce document en janvier de cette année, avant que ne tombe la décision de justice.

Demandé en juin 2020 par Olivier Véran, alors ministre de la Santé, cet audit intitulé « Retour d’expérience du pilotage de la réponse à l’épidémie de Covid-19 par le ministère des solidarités et de la santé » lui a été remis cinq mois plus tard, en novembre 2020. Mais seul un très petit nombre de personnes, au sein de l’exécutif, ont pu en prendre connaissance. Notre journal avait sollicité lIgas en février 2021, puis la Commission d’accès aux documents administratifs, afin que ce rapport lui soit transmis. En vain. Nous avons ensuite déposé une requête devant le Tribunal administratif de Paris, avec l’aide d’un cabinet d’avocats, allant jusqu’au Conseil d’État, puis retour devant le Tribunal administratif de Paris.

« Pas de caractère préparatoire à une ou des décisions administratives »

Celui-ci a estimé, le 22 février dernier, que

En l’absence de toute précision quant à la nature et l’échéance des décisions qu’il préconiserait d’adopter, le ministre de la Santé ne démontre pas qu’une quelconque décision ait été prise sur son fondement, ni que des décisions seraient en cours d’élaboration et qu’il serait inséparable d’un processus décisionnel.

Les magistrats poursuivent : « Ainsi, il ne revêt pas, contrairement à ce qui est soutenu, le caractère d’un document préparatoire à une ou plusieurs décisions administratives. » Il en résulte que « la décision par laquelle le ministre de la Santé a implicitement refusé de communiquer à Mme Cazes (notre journaliste) le rapport qui lui a été remis le 26 novembre 2020 doit être annulée ». Le Tribunal administratif de Paris enjoint donc au ministre de la Santé de transmettre « ce rapport dans un délai de 14 jours à compter de la notification du jugement ».

Par ailleurs, l’État se voit condamné à verser « une somme globale de 2 000 euros à la société Le Parisien Libéré au titre de l’article L. 761-1 du code de justice administrative ».

Le ministère de la Santé « submergé », les résidents des Ehpad oubliés …

Selon la lettre de mission adressée à l’Igas par Olivier Véran, cet audit vise à identifier « les réussites, les difficultés et les lacunes » révélées par l’épidémie. Il décortique donc minutieusement l’organisation des services de l’avenue de Ségur (Paris XVe) et du centre de crise sanitaire entre janvier 2020 et l’été de la même année. Soit la période critique de la première vague du Covid-19. Pas moins de 375 personnes – cadres ministériels, directeurs d’agences régionales de santé (ARS), d’hôpitaux ou d’Ehpad, personnels soignants, préfets, élus, etc. – ont été interviewées dans le cadre de ce « retex ».

Il en ressort le constat d’une organisation de centre de crise sanitaire « peu lisible, en externe comme en interne » et « très mouvante », ainsi que d’un processus de décision « fragmenté ». « L’organisation de la gestion de crise a connu un éclatement tel qu’au cours de la mission, aucun acteur rencontré n’a semblé en avoir une vision claire et exhaustive, quel que soit son niveau hiérarchique », notent les auteurs du rapport.

Confronté à un événement sanitaire de très grande ampleur, à la fois inédit et imprévu, le centre de crise sanitaire de l’avenue de Ségur s’est rapidement trouvé « submergé » et « n’est pas parvenu à s’organiser de manière structurée et durable ». Avec pour conséquence, dans cette ambiance chaotique, plusieurs défaillances : par exemple :

L’oubli durant les premières semaines de la crise des quelque 611 000 seniors résidants dans les maisons de retraite (Ehpad)

ou encore une dispersion en pure perte des efforts de la recherche médicale.

Séverine Cazes pour Le Parisien.

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3 Réponses à “Covid : le gouvernement sommé de publier la vérité !”

  1. Il ne faut pas se faire d’illusions, le covid est passé, et entre l’inflation, la morosité économique, la guerre en Ukraine et ses conséquences, nombreux sont nos concitoyens qui ont tourné la page. Qui donc pour demander des comptes ? les complotistes, voilà ce qu’on dira …
    Et vu l’unanimité de la classe politique quant aux mesures prises, confinements et vaccination quasi obligatoire sous peine de mort sociale, je doute qu’il y en ait qui souhaitent ouvrir la boîte de Pandore.

  2. Le gouvernement a montré son veritable visage, le pays des droits de l’homme a reculer a tel point que l’on ce situe loin du peleton de tete, avec mensonges et manipulations comme jamais dans l’histoire.

    Tout montre que nous serons les derniers a dire la verité et que contraint et forcé.
    Bel exemple de democratie.
    Quand a la securité sociale pour laquelle les français payent si cher, et la premiere du monde, elle c’est largement montrée tres au dessous du niveau attendu, ce qui fait qu’ils nous ont fait payer cher pour rien, et encore durant la pretendu terrible pandemie, 0,0035% de morts et sans « vaccin » efficace, l’etat a fait supprimer 5 000 lits, ce qui est une decision purement criminelle et n’avait aucune raison d’etre.

    Et comment expliquer ce refus d’integrer les soignants non « vaccinés » étant le dernier pays au monde a agir ainsi, et sans raison valable…encore une decision criminelle injustifié.

    Comment expliquer aussi dans notre pays ou les droits humanitaires sont si important, le choix du gouvernement d’avoir pris la decision d’éliminer jusqu’a 30 000 retraités dans les éphads, denoncés par des infirmieres.

    Comment expliquer aussi les centaines de milliers de morts aux urgences, vu sur ce blog et estimée au bas mots jusqu’a 500 000, ou l’etat aurait pu intervenir pour les faire soigner, parce que non « vaccinés »…?

    Tout ceci vous montre la nature du gouvernement, c’est factuel, il n’est pas seul, car tous ceux qui ne l’ont pas denoncés parmi eux sont complices et les ont encouragés par leurs silence.
    Quand au peuple, pas un mot pour le denoncer.
    Pas de coeur, pas de conscience morale, insensible, voila cette classe politique.

  3. Partout dans le monde ca se reveille, sauf en france ou ceux qui osent dire l’inverse de la parole officielle, sont traités de complotistes ou d’extremistes de droate…

    Le gouvenement entretien des fake news et est aux abonnés absent quand a l’ouverture d’esprit et la sincerité.

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