Covid : l’Europe veut effacer toute trace de son forfait !

Publié par le 17 Oct, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Covid : l’Europe veut effacer toute trace de son forfait !

J’avoue avoir hésité deux jours avant de relayer cette info !

Je la trouvais trop énorme, trop scandaleuse !

Le fait qu’on ne trouvait cette info dans aucun des grands médias n’était pourtant pas une raison de la prendre à priori pour une Fake News, tant ces derniers nous ont habitués à pratiquer l’omerta et la censure au sujet de la vaccination. Car oui cette info porte sur les vaccins et sur le tabou suprême de leurs graves effets secondaires !

En effet, l’Agence européenne du médicament (EMA), qui est sous la tutelle de la Commission européenne a demandé à certains professionnels de santé …

… de détruire toutes leurs données sur les effets secondaires des vaccins ARN Messager utilisés contre le covid !

Aujourd’hui, cette information est validée par plusieurs sites web et a même été reprise par Pascal Praud dans l’Heure des pros !

La Gazette du Tocsin dont je reprends régulièrement les interviews s’est emparée du sujet en interviewant l’une des professionnelles qui a reçu cette demande de l’EMA, Emmanuel Darles.

Voici cette interview :

Voici le témoignage d’un autre chercheur, Vincent Pavan, qui a reçu la même lettre menaçante de l’EMA et qui est interrogé par André Bercoff :

Pendant quelques années, on a fait pas mal de statistiques sur les effets indésirables des vaccins en utilisant les données de l’’Agence Européenne du Médicament et d’UVARs, il y en avait 1 toutes les 100 injections, ce qui est effrayant ! Aujourd’hui, nous avons reçu une lettre très menaçante nous demandant d’effacer nos résultats sur les effets indésirables.

Voici la vidéo de l’interview du chercheur par André Bercoff :

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Une réponse à “Covid : l’Europe veut effacer toute trace de son forfait !”

  1. C’est aussi ce que dénonce Florian Philippot.
    C’est dire le nombre de mensonges qu’il y a sur cette affaire.
    Alors plutot que de risquer de payer cher, ils préfèrent détruire les preuves attestant de sa dangerosité, mais n’en continuent pas moins de vouloir encore l’injecter, et pour y pousser, appelle le virus Frankestein, comme par hasard, ils jouent sur la peur qui a si bien réussi au départ.

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