Désolé, mais je reviens sur l’ivermectine !

Publié par le 23 Mar, 2021 dans Blog | 4 commentaires

Désolé, mais je reviens sur l’ivermectine !

Il y a trois jours, je relayais un article paru sur le site web Capital.fr et qui se posait la question :

Ivermectine : la France passe-t-elle à côté
d’un médicament efficace contre la Covid-19 ?

Je reviens à la charge avec un fait précis qui montre que la France est en pointe pour bloquer toute tentative de promouvoir un traitement du Covid-19 …

… hormis la vaccination … et le confinement !

Voici un article paru dans le blog yetiblog.org :

Le complot des autorités françaises contre l’ivermectine

Il y a environ deux mois, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a chargé le médecin anglais Andrew Hill de mener une étude sur l’utilisation de l’ivermectine dans un protocole de soin pour lutter contre le coronavirus. Les conclusions rendues par le Dr Andrew Hill sont sans appel :

Cette méta-analyse portant sur 2 282 patients a montré une amélioration de 75 % de la survie, un délai de récupération clinique plus rapide.
Dr Andrew Hill

Une évidente volonté de nuire

C’était sans compter sur la perversité des autorités politico-sanitaires au service des grands labos. Déployant une évidente volonté de nuire, la France se distinguait en dépêchant Mme Dominique Costagliola de l’Inserm, et l’organisation Unitaid dirigée par l’ex-“ministre de la Santé” Marisol Touraine, pour faire pression sur le Dr Andrew Hill afin qu’il ajoute au débotté à sa conclusion la petite phrase assassine suivante :

Les données sont insuffisamment solides pour justifier l’approbation de l’utilisation réglementaire de l’ivermectine.

La balle est dans le camp des citoyens

Et que croyez-vous qu’il advint ? Le Dr Andrew Hill vient de s’exécuter. L’ivermectine va rester au rayon des médicaments indispensables inemployés. Et les thérapies géniques (abusivement appelées “vaccins”) vont continuer à être inoculées à la population au grand bénéfice de BigPharma, sans la moindre étude sérieuse pour les valider.

La balle est dans le camps des citoyens, selon qu’il continuent à aller à l’abattoir comme des veaux, ou qu’ils se décident enfin à ruer dans les brancards. C’est à dessein que nous avons nommé les salopard(e)s. Ça pourra servir lors d’un prochain procès Nuremberg qui leur pend aux nez. Je précise que toutes ces infos ont été rapportées, preuves et citations à l’appui, par le Dr Gérard Maudrux sur Sud Radio :

En Inde, on n’hésite pas !

Le gouvernement indien ne se pose plus de questions et distribue à la population un « kit Covid » contenant du zinc, de la doxycycline et de l’ivermectine (coût environ 2,2 € le kit)

En conclusion …

Les témoignages et les preuves du parti-pris anti-molécules anciennes et bien connues, se multiplient, que ce soit à propos de l’hydrochloroquine du docteur Raoult, de la vitamine D et maintenant pour l’ivermectine.

Tout cela ne serait pas grave si cela ne mettait pas en jeu la vie de milliers de personnes. La justice devra faire toute la lumière sur les tenants et aboutissants de cette politique sanitaire incompréhensible pour les Français mais aussi pour beaucoup de médecins pratiquants !

Pour aller plus loin …

J’ai toujours trouvé bizarre et inacceptable qu’aucun journaliste n’ait jugé bon de faire une grande enquête sur cette politique sanitaire anti-traitement !

Je viens de découvrir sur le site de FranceSoir – cet organe taxé de complotisme et largement censuré par les réseaux sociaux – un article de fond très fouillé et très documenté (plus de 200 références d’articles) sur le sujet.

Je n’ose pas vous accabler d’un autre article. Je me contente juste de vous donner le lien vers l’article de FranceSoir :

Covid-19 : les thérapies proposées s’affinent. Le vaccin, seule issue politique ?
Faut-il aller en justice pour avoir la vérité ?

Merci de tweeter cet article :





4 Réponses à “Désolé, mais je reviens sur l’ivermectine !”

  1. Les conclusions rendues par le Dr Andrew Hill sont sans appel :

    Cette méta-analyse portant sur 2 282 patients a montré une amélioration de 75 % de la survie, un délai de récupération clinique plus rapide.
    Dr Andrew Hill
    .
    .
    Le pseudo gouvernement qui n’est pas expert en medecine, impose une vaccination dont les effets peuvent etre mortel,
    ou sans reel effet puisque malgres tout ces personnes vaccinées doivent toujours porter le masque…

    La pseudo justice a deux balle, ne fera rien… ou fera semblant.

    Par contre au mois de mai, la pseudo justice remettra N Sarkozy a nouveau en proces sur l’affaire de …bygmalion, pour la 4 ou 5 eme fois sur ce sujet potilique.

    Pour ça on peut compter sur la pseudo justice progressiste a deux balle et a la moralité a geometrie variable comme les progressistes et la goche.

  2. Richard Mauden dit:

    FranceSoir : Ivermectine : l’EMA déconseille son utilisation pour la prévention ou le traitement du Covid-19
    Dans un communiqué de presse du 22 mars 2021, l’Agence européenne des médicaments annonce déconseiller l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention ou le traitement de la Covid-19.
    Au total, ce serait plus de 46 documents qui auraient été consultés pour l’établissement de cette recommandation sans que le détail de l’analyse ne soit donné : « L’EMA aurait examiné les dernières preuves sur l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention et le traitement du Covid-19 et a conclu que les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour la Covid-19 en dehors d’essais cliniques bien conçus ».
    L’usage de l’ivermectine : Dans l’UE, les comprimés d’ivermectine sont approuvés pour le traitement de certaines infestations de vers parasites, tandis que les préparations cutanées à l’ivermectine sont approuvées pour le traitement d’affections cutanées telles que la rosacée. L’ivermectine est également autorisée à usage vétérinaire pour un large éventail d’espèces animales pour les parasites internes et externes.
    Les médicaments ivermectine ne sont pas autorisés pour une utilisation dans le Covid-19 dans l’UE, et l’EMA n’a reçu aucune demande pour une telle utilisation.
    Rappelons cependant que Me Teissedre a saisi le Conseil d’Etat pour que l’ANSM s’autosaisisse d’une étude pour une recommandation temporaire d’utilisation pour le traitement ivermectine. Lors de l’audience au Conseil d’état, le représentant de l’ANSM avait mentionné n’avoir reçu aucune demande des fabricants pour une RTU pour ce médicament, mais que l’ANSM allait solliciter les laboratoires détenteurs de RTU en rance – Ils seraient sept en apparence.
    L’ivermectine dans les médias : Dans la suite de son communiqué, l’EMA écrit : À la suite de récents rapports des médias et de publications sur l’utilisation de l’ivermectine, l’EMA a examiné les dernières preuves publiées issues d’études de laboratoire, d’études observationnelles, d’essais cliniques et de méta-analyses. Des études en laboratoire ont montré que l’ivermectine pouvait bloquer la réplication du SRAS-CoV-2 (le virus responsable du COVID-19), mais à des concentrations d’ivermectine beaucoup plus élevées que celles obtenues avec les doses actuellement autorisées. Les résultats des études cliniques étaient variés, certaines études ne montrant aucun bénéfice et d’autres rapportant un bénéfice potentiel. La plupart des études examinées par l’EMA étaient de petite taille et présentaient des limites supplémentaires, notamment des schémas posologiques différents et l’utilisation de médicaments concomitants. L’EMA a donc conclu que les preuves actuellement disponibles ne sont pas suffisantes pour soutenir l’utilisation de l’ivermectine dans le Covid-19 en-dehors des essais cliniques ».
    Rappelons que lors du debriefing avec le Dr Andrew Hill, ce dernier avait déclaré « que les études n’étaient peut-être pas l’étalon or des études mais qu’il était satisfait de la validité des résultats. » Cette étude a depuis fait l’objet d’un debunkage avec l’ingérence de Dominique Costagliola de l’Inserm qui est mentionnée comme ayant eu des échanges avec le Dr Hill à ce sujet alors qu’elle n’est pas auteur sur la méta-analyse du Dr Hill.
    Une fraude supplémentaire qui ne manquera pas de faire parler et rappelle le traitement réservé à la bithérapie Raoult à base d’hydroxychloroquine et d’azithromycine.
    A ce jour il y a sept méta-analyses qui montrent l’efficacité du traitement et l’absence d’effets secondaires est notoire pour ce traitement qui a été découvert par le Pr Omura, prix Nobel de médecine et pourtant l’EMA écrit : « Bien que l’ivermectine soit généralement bien tolérée aux doses autorisées pour d’autres indications , les effets indésirables pourraient augmenter avec les doses beaucoup plus élevées qui seraient nécessaires pour obtenir des concentrations d’ivermectine dans les poumons efficaces contre le virus. La toxicité lorsque l’ivermectine est utilisée à des doses supérieures aux doses approuvées ne peut donc pas être exclue ».
    L’EMA a donc conclu que l’utilisation de l’ivermectine pour la prévention ou le traitement du Covid-19 ne peut actuellement pas être recommandée en dehors des essais cliniques contrôlés. D’autres études randomisées bien conçues sont nécessaires pour tirer des conclusions sur l’efficacité et l’innocuité du produit dans la prévention et le traitement du Covid-19. Cette conclusion ne manquera pas de faire sursauter les médecins qui ont utilisés ce médicament. Rappelons que l’Inde, le Japon, la Tchéquie, la Slovaquie, le Mexique, l’Argentine utilisent ce médicament avec succès. Il est donc surprenant que l’Inde l’utilisant dans son « pack covid » n’ai pas été consulté par l’EMA. Rappelons que l’EMA a autorisé le remdesivir pour moins que cela et qu’elle a émis un avis favorable sur les anticorps monoclonaux avec des données moins favorables que celles de l’ivermectine. De plus l’EMA ne prend toujours pas en considération les dernières études parues sur l’efficacité de la bithérapie Raoult. Ce deux poids deux mesures devient de plus en plus visible et amène une dimension dépassant l’aspect sanitaire.
    Sur VigiAccess voila les données de pharmacovigilance : l’ivermectine avec 16 décès, soit moins d’un décès par an depuis son utilisation et 4673 effets adverses est bien plus sure que tous les autres traitements y compris l’aspirine. De son côté le Remdesivir qui a obtenu une autorisation temporaire de l’EMA a connu 467 décès déclarés en un an et 5763 effets adverses enregistrés. Les vaccins Covid enregistrent 2400 décès depuis leur tilisation, sur quelques mois. De quoi se poser des questions.
    Samedi 20 mars, le Pr Satoshi Omura, prix Nobel de médecine nous disait : « La problématique n’est pas nécessairement reliée à la science ». Cette décision n’est pas sans rappeler le sort réservé au soldat hydroxychloroquine l’été dernier. Visiblement les traitements précoces n’ont pas la cote quand il s’agit de la présomption d’efficacité. Comme l’ont fait la Tchéquie et la Slovaquie, cet avis peut être annulé par chaque pays membre.

  3. Christian je ne sais pas si j’ai déjà posté ce lien donné par Raoult dans une récente vidéo : il regroupe toute les études sur le Covid. C’est en anglais.

    https://c19study.com/

  4. Bien sur que c’est un complot, de meme contre la chloroquine et ceux qui la defendent, et apres le complotisme est une affabulation, voila qui les arrangent fort bien pour continuer a imposer leur maudit soi disant vaccins qui cause morts et maladies…mais de cela, motus des medias.

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  1. Interdire l’ivermectine contre le Covid, c’est comme s’opposer à la pénicilline au moment de sa découverte ! | A droite fièrement ! - […] dans le combat CONTRE toutes les formes de traitements contre le Covid (voir cet article : “Désolé, mais je…

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