Entre indemnités et liberté de la presse,
les journalistes du JDD ont choisi !

Publié par le 2 Août, 2023 dans Blog | 7 commentaires

Entre indemnités et liberté de la presse, les journalistes du JDD ont choisi !

Quand on pense que le passage de Geoffroy Lejeune de la direction de la rédaction de Valeurs actuelles à celle du JDD, provoque mille fois plus de réactions outragées que le transfert de Nicolas Demorand de Libération à France Inter, on mesure le biais idéologique profond des médias.

C’est d’autant plus scandaleux que d’un côté on parle d’organes de presse privés alors que France Inter est une radio de service public soumise à un cahier des charges qui lui impose le pluralisme, à mon sens, incompatible avec une matinale confiée à un tel militant de gauche.

Et ce n’est pas son acolyte du matin, Léa Salamé, qui pourra équilibrer l’orientation politique de cette matinale !

Les journalistes du JDD ont été prompts à rejeter l’arrivée de Geoffroy Lejeune en se mettant en grève. Mais après un mois sans parution du JDD, Vincent Bolloré a sorti son carnet de chèques, et les convictions politiques de nombre de ces journalistes semblent s’être dissoutes …

Entre indemnité de départ et liberté de la presse, ils ont choisi !

Voici un article de Boulevard Voltaire qui nous raconte cette triste histoire qui témoigne, une fois de plus, de l’intolérance qui règne dans les médias :

Le « saignement » prétendu des journalistes du JDD :
une fiction démasquée !

Face à l’arrivée de Geoffroy Lejeune au JDD, la presse de gauche, à l’instar de Libération, cherche à susciter l’effroi par des termes mal choisis et des allégations infondées.

En réalité, loin d’être « saignés », les journalistes du JDD qui choisissent de partir recevront un traitement non négligeable lié à leur statut. Si le terme choisi par Libération est provocateur et évoque un assassinat silencieux de la rédaction, la réalité sera autre. Ainsi, Mediapart de révéler, ce mardi, que les journalistes décidant de partir seront non pas saignés mais soignés…

La journaliste de Libération Alexandra Schwartzbrod proposait de marquer ce jour d’une « pierre noire dans l’histoire de la presse ». Peut-être serait-elle bien inspirée de reconsidérer sa vision des choses au regard des conditions accordées à ces journalistes par l’actionnaire qu’ils critiquent si ardemment ?

Selon Mediapart, concrètement, les conditions de départ évoquées seront généreuses, allant jusqu’à deux mois de salaire par année d’ancienneté, avec un plafond de quinze ans. Et pour ceux qui ont récemment rejoint la rédaction, un plancher de trois mois est également prévu. À titre comparatif, le licenciement d’un salarié en CDI prévoit au minimum un quart de mois de salaire mensuel par année jusqu’à dix ans, puis un tiers de salaire par année supplémentaire. En outre, les journalistes quittant le navire bénéficieront d’une dispense d’activité de trois semaines avec rémunération maintenue.

Des conditions juteuses qui n’ont pas échappé au journaliste d’extrême gauche Nils Wilcke. « Pas mal », commente-t-il sur Twitter.

Pour terminer voici une vidéo qui se croit à charge contre Geoffroy Le jeune mais qui, pour nous, à droite, le rend encore plus sympathique :

Merci de tweeter cet article :





7 Réponses à “Entre indemnités et liberté de la presse,
les journalistes du JDD ont choisi !”

  1. Force est de constater que le chèque l’emporte sur l’idéologie, c’est rassurant.

  2. Les journalistes-grévistes du JDD sont cons comme la lune, en plus d’être gangrénés par l’idéologie gauchiste ou extrême-centriste : se réclamant de la liberté d’expression, ils en appelaient, en toute bonne conscience, à une intervention de l’Etat, pour éloigner le spectre de la bête immonde.

    On ne mord pas la main (de l’Etat) qui vous subventionne..

  3. comme disait Lucchini : « je ne peux pas être de gauche, ça demande tellement d’abnégation … »
    C’est toujours le même scénario entre les pipole qui menaçaient de quitter la France en cas d’élection de Sarkozy, puis qui y sont restés, pour de basses question d’argent, les employés de la mairie de Bézier ou de Perpignan qui refusaient de « servir des fachos » à l’arrivé de Ménard ou Alliot, puis finalement …
    Tout a un prix, et on dirait que l’honneur des gauchistes est assez décoté ces temps ci.

  4. Dans l’ensemble, plus on creuse, plus cela sent mauvais, jusqu’au niveau des égouts, qui touche les partis politiques, les medias et une parti de la pretendu justice, le tout forme un systeme destiné a reduire avec le temps les choix du peuple, jusqu’a la dictature, toujours pour leur bien qu’on leur dira, ( on l’a vu en parti avec la pandemie ) mais jusqu’au vont-ils nous mener si on laissait faire … ? avec en plus les ideologies mortiferes, le lavage de cerveau des enfants avec la pouriture, ce qui n’est pas de leur age pour assimiler tout cela, le grand remplacement…la dette qui explose pour rien avec le confinement stupide, la destruction volontaire de notre industrie avec Alstom, Essilor, Lafarge, bradé, et 300 industries strategique vendu ou un simple veto du gouvernement les auraient sauver.

    Tout tourne avec eux pour le mal, et ne font que le mal, en faisant semblant d’etre des sauveurs pour mieux tromper le peuple, enfin ceux encore non reveillés.

    C’est un systeme de salauds qui est en place.

  5. L’honneur des gochiste c’est du vent, d’abord l’honneur c’est une valeur de droite, donc… ça peut pas marcher avec les gochistes debiles.

    La goche, les debiles mentals ( pleonasme ) nagent comme toujours a travers moulte mensonges, ideologie a deux balle qui ne coute rien,
    pseudo justice a deux poids deux mesure selon la personne accusée,
    refus de toute responsabilitées,
    intolerance debile,
    connerie invraisemblable,
    Le niveau du canniveau presque permanent…

    Meme staline les trouverait completement idiots.

    Ces cretins congenitaux detruisent la france, meprise les francais, la nation etc…
    mais ne crachent pas sur le fric.

  6. J’attendais au moins que nos résistants en chambre mettent leurs actes en accord avec leurs idées et démissionnent, pour la beauté du geste.
    Mais ils ont été rien moins qu’héroïques, selon les voeux de Garrido, se bornant à négocier avec leur employeur leurs indemnités de départ, comme des petits épiciers..

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *