Eric Zemmour dézingue les « commissaires politiques »
du service public de l’audiovisuel !

Publié par le 18 Jan, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Eric Zemmour dézingue les « commissaires politiques » du service public de l’audiovisuel !

Je reviens une nouvelle fois sur l’émission Face à l’info dans laquelle, quatre jours par semaine, CNews nous régale d’une passionnante et authentique émission d’information et de débat.

La vedette en est Eric Zemmour qui impressionne par sa culture politique et historique. Les débats sont animés mais toujours courtois et personnellement j’y apprends beaucoup de choses.

Quel est le polémiste capable, comme Eric Zemmour, de débattre avec autant de pertinence, avec des philosophes, des sociologues ou des politiques ?

Que CNews soit remercié et loué pour avoir su résister à la cabale gauchiste et médiatique qui a tout fait pour faire annuler l’émission ! Honte à tous les journalistes de Canal+, de RTL et même du Figaro qui ont été complices de ces atteintes à la liberté d’expression.

Céline Pina

Valeurs actuelles a publié un article pour résumer l’émission du mercredi 15 janvier qui opposait Eric Zemmour à Céline Pina, une ancienne membre du PS mais dont j’ai découvert à cette occasion l’ouverture d’esprit. Un cas suffisamment rare pour le saluer !

La liberté d’expression était le thème du débat et Eric Zemmour en a profité pour tirer au bazooka contre les « commissaires politiques » de France Inter !

Voici cet article :

Sur le plateau de l’émission “Face à l’info”, l’essayiste a déploré une nouvelle fois les procès politiques dont il fait l’objet. Le sujet ne pouvait pas ne pas être abordé ! Venus débattre de la liberté d’expression sur le plateau de Face à l’info, Céline Pina et Éric Zemmour ont abordé la polémique créée par la chanson Jésus est pédé, chantée sur France Inter en fin de semaine dernière. 

« Vous voulez dire le pseudo-comique de France Inter qui dit “Jésus est pédé” », commence le journaliste du Figaro avant de laisser la parole à son contradicteur, d’accord avec lui pour dire qui traiter Jésus de “pédé” revient à mettre « une claque à sa grand-mère ». C’est-à-dire faire faussement acte de transgression pour se sentir puissant.

« Un conflit idéologique terrible »

« Il y a plusieurs sujets dans tout cela », reprend l’éditorialiste un peu plus tard. « Le premier, c’est que le catholicisme est moqué depuis toujours. » Selon lui, si France Inter s’excuse à présent c’est parce que certains catholiques refusent de se laisser marcher sur les pieds et utilisent les méthodes des associations militantes, « et qui donc attaquent en justice ».

Mais aussi, « et c’est là où ça devient presque amusant, c’est qu’il y a toute une partie de la gauche qui ne trouve pas scandaleux de se moquer de Jésus mais qui trouve ça scandaleux d’utiliser le mot “pédé”, parce que c’est un mot scandaleusement anti-LGBT ».

Et Zemmour de poursuivre : « On en revient donc aux dictatures des minorités et au blasphème d’aujourd’hui », avant d’aborder le troisième point : le parti pris du service public.

« Le service public, dont France Inter, est devenu une machine de guerre idéologique, une machine de propagande, avec un sectarisme phénoménal »,

explique Éric Zemmour. « Ces gens qui sont soi-disant des comiques ne font des vannes que dans un sens. Ce ne sont pas des comiques, ce sont des commissaires politiques » qui sont là « pour punir et se moquer des dissidents ».

Et de conclure, net et tranchant : « L’humour est devenu l’arme de guerre privilégiée des curés du politiquement correct. »

Valeurs actuelles.

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