Et l’Europe déroule son agenda immigrationniste …

Publié par le 14 Avr, 2023 dans Blog | 1 commentaire

Et l’Europe déroule son agenda immigrationniste …

Voila une trentaine d’années que les Français réclament une politique de maitrise vigoureuse de l’immigration.

Et, imperturbables, nos gouvernements, de gauche comme de droite, laissent grandes ouvertes les portes de l’immigration sous l’approbation complaisante des médias pour la plupart soumis à l’idéologie progressiste.

Ces médias qui ont pratiquement caché au grand public ce chiffre officiel publié par l’INSEE qui estime à 30 % la proportion d’immigrés considérés sur trois générations.

A quand une majorité d’immigrés en France ?

S’il n’y avait que la France, mais il y a l’Europe qui impose ses idéologies immigrationniste et multiculturalisme à l’ensemble des peuples européens ! En faisant la promotion de l’islam !

Voici un article paru dans l’Observatoire du mensonge qui rapporte la dernière décision de l’Europe concernant la promotion de l’immigration.

Il est hallucinant de voir de telles mesures proprement anti-démocratiques puisqu’elles vont à l’encontre de la volonté des peuples !

Mais peut-être les peuples n’ont-ils que ce qu’ils méritent  puisqu’ils n’ont pas le courage de porter au pouvoir les tenants des droites identitaires …

UE : Les États membres récalcitrants
bientôt forcés d’accepter des migrants

Encore et toujours cette volonté idéologique
absurde de remplacer les Européens en Europe !

Les technos de Bruxelles n’ont pas fini de nous surprendre. À 47 voix pour, 17 voix contre et 1 abstention, la commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) a approuvé, le 28 mars, « une nouvelle approche pour la gestion des flux d’asile et de migrations vers l’UE [Union européenne, NDLR] et des règles spécifiques pour faire face aux crises ». Le but de cette « mise à jour » est simple : mettre fin au règlement de Dublin en matière d’immigration et imposer la répartition des migrants au sein de tous les États membres. Le nouveau texte prévoit la prise en compte de la « politique de regroupement familial ». Pour être moins théorique, voici un exemple : fraîchement débarqué sur le sol italien avec la complicité des ONG pro-migrants, un clandestin pourra choisir d’effectuer une demande d’asile dans le pays de l’Union européenne de son choix, pourvu qu’il y ait des liens familiaux. Dans le cas contraire, « les demandeurs qui n’ont pas de liens avec un autre pays sont répartis équitablement entre les autres États membres participants. Le cas échéant, le souhait du demandeur d’être réinstallé dans un pays spécifique est pris en considération ». Amis migrants, n’ayez crainte, comme chez McDonald’s : venez comme vous êtes !

Les droites nationales farouchement opposées

Vent debout contre ce nouveau système d’asile et de gestion de la migration, le groupe Identité et Démocratie du Parlement européen dénonce, sur Twitter, une « transformation [de] l’illégal en légal »« En prétextant lutter contre une crise qui ne toucherait que l’accueil, l’UE va dans les faits créer une pompe aspirante et des arrivées massives. » Et de poursuivre : « Car derrière un affichage sécuritaire, ce pacte renforce de manière significative les droits des migrants. » Pour faire appliquer l’ensemble de ces nouvelles règles, cette nouvelle commission sera dotée d’un « coordinateur de la relocalisation », véritable « point de contact central ». En outre, ce « coordinateur » aura principalement la tâche de faire appliquer la bonne répartition des migrants sur le sol européen. Fini, les récalcitrants, tout le monde aura droit à ses migrants ! Le mot de conclusion du Groupe d’union des droites nationales européennes a le mérite d’être clair : « Nous refusons cette Union européenne qui prend des mesures affaiblissant les pouvoirs des États membres sur leur propre politique migratoire. »

Un fonds de solidarité au coût astronomique

Afin de renforcer la solidarité entre les États membres, la Commission prévoit la création d’un « fonds de solidarité » présidé par le « coordinateur à la relocalisation ». Ce fonds a pour but de répondre à une problématique essentielle : « une situation de crise migratoire ». Impossible, pour l’État membre, de renvoyer ou débouter les clandestins qui se maintiennent sur son sol, garantie des « droits des demandeurs d’asile » oblige. Le fonds de solidarité devra permettre d’apporter une aide financière à des pays en crise ayant du mal à répondre à l’afflux massif de migrants. Il paraît que l’argent peut tout mais… pas sûr que l’Italie ou la Grèce soient séduites.

Par conséquent, le financement d’un tel fonds serait proportionnel pour chaque pays membre et « calculé selon une clé de référence basée sur la population et le PIB de chaque État membre ». Encore une fois, les plus gros contributeurs devront donc logiquement davantage mettre la main au portefeuille. Or, « la France est le deuxième contributeur au budget de l’Union européenne derrière l’Allemagne, avec 28,8 milliards d’euros versés en 2021 ». Selon nos calculs, ce fonds de solidarité à la relocalisation devrait annuellement coûter quelque 2,3 milliards d’euros à la France. Une bagatelle pour les technocrates bruxellois… Et, pendant ce temps, la France donne plus d’argent à Bruxelles qu’elle n’en perçoit avec un déficit de 7,2 milliards d’euros, en moyenne, chaque année. À quand un retour sur investissement ?

Julien Tellier pour l’Observatoire du mensonge.

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Une réponse à “Et l’Europe déroule son agenda immigrationniste …”

  1. Ou ce trouvent la consultation des peuples pour accepter cette immigration forcée…?

    Les representants du peuples ont devoir de s’aligner avec la volonté du peuples qui les a mis au pouvoirs, pas de les trahir et les forcer a subir une politique migratoire contre leurs volontés.

    C’est une veritable trahison envers les peuples…
    Ils doivent rendrent des comptes, bruxelles de meme…

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