Il fallait oser ! Eugénie Bastié l’a fait !

Publié par le 18 Août, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Il fallait oser ! Eugénie Bastié l’a fait !

Alors que cette vague wokiste, partie des campus américains, tente de submerger l’Europe, il fallait avoir un certain courage pour publier un essai intitulé :

Sauver la différence des sexes

Alors que la célèbre auteur de la série Harry Potter, est bannie d’une exposition consacré à … Harry Potter, par les activistes du trangenrisme, il fallait être masochiste pour défendre la réalité des deux sexes masculin et féminin !

C’est pourtant ce qu’a fait, l’une des plus brillantes journalistes de sa génération, Eugénie Bastié, en publiant un essai présenté par Clémence de Longraye dans Boulevard Voltaire :

Le plaidoyer d’Eugénie Bastié pour la différence des sexes

L’été : l’occasion pour beaucoup de se plonger enfin dans ce livre dévoré des yeux toute l’année sans pour autant avoir eu le temps de s’y plonger. À cette occasion, BV vous propose une sélection de ses meilleures recensions. Aujourd’hui, Sauver la différence des sexes, un court essai dans lequel Eugénie Bastié rappelle l’évidence. 

Il en faut, du courage, aujourd’hui, pour défendre la différence des sexes ! C’est insensé et pourtant si vrai… Dans un court essai publié aux Éditions Gallimard, Eugénie Bastié, reprenant son allocution devant l’Académie des sciences morales et politiques, tire sa plume pour défendre « ce prodige visible comme s’il était invisible ».

Rappeler l’évidence

À l’aube du XXe siècle, Chesterton s’inquiétait. Un jour, « on allumera des feux pour attester que deux et deux font quatre. On tirera l’épée pour prouver que les feuilles sont vertes en été », avertissait l’écrivain. Cent ans plus tard, sa prophétie se réalise tragiquement. « Aux États-Unis, en Angleterre et même dans notre pays, des hommes et des femmes sont chassés des universités, voient leurs conférences annulées […] parce qu’ils ont osé affirmer qu’il n’existait que deux sexes. »Alors que la différence des sexes « est la première chose, l’identité la plus immédiate qui saute aux yeux », affirmer qu’il existe deux sexes n’a aujourd’hui plus rien d’évident. Au contraire, l’indifférenciation des sexes, « ce mensonge énorme », prospère dans le débat public.

En une trentaine de pages, Eugénie Bastié tente de rappeler l’irréfutable. D’un côté, il y a la femme, maternelle, attachée au concret et courageuse. De l’autre, se tient l’homme, protecteur, porté par un certain sens de l’honneur et de la virilité. Tous deux forment un « mystère sans cesse en voie d’élucidation ».

Adieu homme et femme

Cette si belle réalité et complémentarité subit les assauts des chantres de la théorie du genre. Après avoir piétiné le mot « mademoiselle », après avoir interdit l’expression « homme-femme » dans les cours de danse à Sciences Po, voilà que le mot « femme » fait à son tour l’objet de tentatives d’invisibilisation. Au nom du gender, « il s’agit d’en finir avec la polarisation universelle du genre humain en deux sexes, jugée arbitraire, au profit, d’une « transidentité » floue ». Adieu homme et femme… Désormais, place au trans, devenu, à l’image de l’ouvrier pour les marxistes du XXe, « la figure tutélaire de la nouvelle révolution du genre ». Et voilà, maintenant, que ces tenants de la déconstruction, adeptes de la cancel culture, réclament la bénédiction de l’État. « Ce qui était autrefois revendiqué comme une forme de marge devient la revendication d’une nouvelle norme. »

Face à cette offensive déconstructiviste, il est temps – et même urgent – de répliquer. « Car si, de fait, le donné brut de la différence des sexes sera toujours là, sa mise en forme en culturelle, et même civilisationnelle, peut disparaître et l’humanité irait au-devant de graves ennuis. » Les femmes en premier, qui ont tant lutté pour leur émancipation, « devenues des homme comme les autres », se retrouvent prises au piège de leur propre combat. Les voilà désormais contraintes de jongler entre le rôle de « mère attentive » et celui de « success-woman ». « S’ensuivent d’inévitables frustrations », selon la journaliste du Figaro.

Les hommes, eux, voient leur rôle disparaître sous les procès : virilité toxique, paternité détricotée, déclassement sur le marché du travail… Si le féminin est menacé, « jamais le masculin n’a été aussi en danger », écrit Eugénie Bastié. Ce déclin des hommes semble inexorable. « Ils appartiennent à un sexe qui n’a plus de raison d’être. » Poison lent qui s’immisce entre l’homme et la femme, cette déconstruction pourrait nous conduire à « une guerre de tranchées » entre les sexes, affirme Eugénie Bastié. Par ce plaidoyer, l’auteur appelle à sauver la différence des sexes, ce chef-d’œuvre de la nature.

Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.

Petite question à destination des transgenristes militants :

Un transgenre Femme s’identifiant comme Homme continue t-il à se faire suivre par son gynécologue ou par un médecin généraliste ?

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3 Réponses à “Il fallait oser ! Eugénie Bastié l’a fait !”

  1. Il n’y a pas besoin de chercher loin qui ce cahe derriere cette manipulation niant la verité et tenant tout, un auteur revele ou ce trouve le mal profond et qui possede les moyens de l’accomplir.

    Bien sur qu’il n’y a que 2 sexe, pas besoin de chercher loin, toute la nature le prouve, de meme la science physique avec les pole plus et moins, mais nous avons a faire a des etre sans aucune conscience morale qui refuse la realité et ne veulent que detruire en imposant leurs ideologie mensongere.

    Voici le lien avec un extrait :

    « Tout savoir sur les « Young Global Leaders » de Davos
    https://www.a-droite-fierement.fr/tout-savoir-sur-les-young-global-leaders-de-davos/#comment-55705

    Il parait que le monde est gouverné par des instances aussi souterraines que mystérieuses …

    En France nous avons les Francs Maçons qui piloteraient en sous-main toute la politique, surtout quand la gauche est au pouvoir.

    Dans le monde nous avons DAVOS, connu sous le nom de Forum économique mondial (Word Economic Forum).

    Son gourou, Klaus Schwab cultive une image de mystère et son dernier ouvrage, The Great Reset, a inspiré des thèses plus ou moins complotistes sur la préparation d’un gouvernement mondial.

    Klaus Schwab chercherait à infiltrer le pouvoir dans tous les pays occidentaux pour pousser l’avènement de son gouvernement mondial. Il recrute, pour se faire, des jeunes proches des pouvoirs nationaux. Il les a baptisés d’un titre prestigieux :
    Les Young Global Leaders ! »

  2. C’est bien qu’une journaliste normale s’attaque aux debiles mentals et cinglés !

  3. l’occident s’effondre, et la seule chose qui semble préoccuper nos dirigeants, c’est la promotion des trans … ça a un arrière goût de la chute de Constantinople et du débat sur le sexe des anges !

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