Islam : les ennemis de l’intérieur

Publié par le 19 Oct, 2022 dans Blog | 2 commentaires

Islam : les ennemis de l’intérieur

Le pire dans cette guerre de civilisation menée par l’islam contre l’Occident en général et en particulier contre la France, c’est qu’une cinquième colonne s’y est installée et prépare le terrain pour la victoire de l’ennemi étranger.

On peut dater le début (de la fin) aux années Mitterrand avec notamment la création de SOS Racisme. Cet officine du Parti socialiste commençait à préparer le basculement électoraliste qui vit la gauche abandonner les classes populaires au profit des minorités ethniques, religieuses ou sexuelles selon les préconisations du Think tank Terra Nova.

Dès lors, la gauche qualifia le processus d’assimilation de raciste et presque de criminel. Un principe qui faisait pourtant partie des Valeurs de la République, que SOS Racisme remplaça  par le droit à la différence. Le ver est alors entré dans le fruit !

Ce faisant, la gauche choisissait le communautarisme contre l’assimilation à la française. On mesure aujourd’hui les dégâts irréparables de cette idéologie dont les responsables se nomment François Mitterrand, Jack Lang, Harlem Désir et Julien Drey.

Ces ennemis de l’intérieur sont partout !

Dans le domaine politique avec la figure de proue la France Insoumise, dans la Justice avec des juges et une jurisprudence ouvertement pro-immigrationniste et bien sûr dans les universités, certaines grandes écoles et dans la plupart des médias.

Voici un article du Club de Valeurs actuelles qui nous raconte ce qui se passe à l’Ecole Normale supérieure de Lyon :

A Lyon, l’Ecole normale supérieure face
aux accusations de préférence islamique

Le campus de l’ENS Lyon

Des élus de la région Auvergne-Rhône Alpes sonnent la charge contre l’École Normale Supérieure (ENS), accusée de « préférence islamique » en raison de la présence remarquée d’une association religieuse musulmane dans ses locaux. L’établissement avait pourtant banni l’aumônerie catholique quelques années plus tôt. Enquête.

Faut-il voir une nouvelle manifestation de l’entrisme islamique qui sévit dans de nombreux établissements scolaires en France depuis la rentrée ? La question se pose à nouveau cette fois-ci au sein du campus lyonnais de l’École normale supérieure (ENS) où une association, se présentant officiellement comme l’association musulmane de l’ENS Lyon (AMENS), a fait son apparition lors de la rentrée de septembre. Au delà de l’atteinte manifeste à la laïcité, c’est le deux poids deux mesures qui suscite l’indignation de certains élus alors que l’aumônerie catholique se voit refuser l’accès à l’établissement depuis 2020.

Une atteinte à la laïcité

Les faits ont été portés à la connaissance d’Isabelle Surply, élue du groupe Liberté, Identité, Souveraineté à la région Auvergne-Rhône-Alpes et déjà bien connue pour avoir été à l’origine de l’expulsion d’un imam islamiste d’une mosquée de Saint-Chamond, quelques mois plus tôt. L’édile, qui se présente par ailleurs comme une lanceuse d’alerte sur le terrain de la lutte contre l’islamisme, a aussitôt alerté les instances dirigeantes régionales de la présence de l’AMENS au forum des associations de Normal Sup.

Dans un mail adressé à la vice-présidente déléguée à l’Enseignement Supérieur, à la Recherche et à l’Innovation, ainsi qu’au cabinet du président de région Laurent Wauquiez, l’élue s’étonne que l’association ait pu être agréée par la direction de l’école, en contradiction avec le principe de laïcité en vigueur dans son enceinte. L’article 43 du règlement intérieur de l’établissement rappelle ainsi l’interdiction de manifester des croyances religieuses. En effet, et contrairement aux autres établissements de l’enseignement secondaire, cette disposition s’applique également aux élèves « qui ont, en vertu des dispositions du statut particulier, la qualité de fonctionnaire stagiaire », précise par ailleurs le texte. Un statut qui contraint les étudiants à un certain nombre de devoirs, au même titre que les fonctionnaires titulaires, parmi lesquels un respect strict de la laïcité. Dès lors, la présence de l’association interroge alors que cette dernière se présente officiellement comme une association cultuelle se donnant notamment pour objectif de :

Découvrir la culture et les pratiques musulmanes » et de « permettre aux musulmans de l’école de vivre pleinement leur spiritualité.

L’aumônerie catholique exclut quelques années plus tôt

La présence de l’AMENS interroge d’autant plus aujourd’hui que quelques années plus tôt, c’est l’aumônerie catholique de l’ENS qui avait été priée d’officier en dehors des locaux.

En 2020, l’école s’était justement prévalue du caractère cultuel de l’association la catégorisant comme « organisation politique ou religieuse »pour justifier son exclusion.

De là à y voir aujourd’hui une « préférence islamique » selon les mots d’Isabelle Surply il n’y a qu’un pas. Les 80 membres de l’aumônerie poursuivent aujourd’hui leurs activités au sein de l’église Notre Dame des Anges dans le 6 ème arrondissement et s’indigne de la présence d’une association aux statuts pourtant sans équivoque.

Je déplore le fait qu’il y ait une confusion sur cette fameuse laïcité. Il serait bon d’avoir la même politique pour tout le monde : soit on réintègre l’aumônerie soit on exclut l’association musulmane. C’est tout de même étonnant de voir que dans un pays comme la France une association musulmane est mieux acceptée dans une grande école qu’une aumônerie catholique.

Une incohérence également soulignée par Isabelle Surply qui invite l’association à « changer ses statuts » pour réintégrer l’ENS. « C’est tout le monde ou personne » s’insurge l’édile.

Pas d’exclusion pour l’heure

Dans un courrier adressé à l’administrateur de l’école en date du 26 septembre, la région évoque par ailleurs un manquement au contrat d’engagement républicain. Ce dispositif, issu de la loi du 24 août 2021 confortant les principes de la République, conditionne le versement de subventions publiques aux associations à la souscription d’un contrat engageant, entre autres, au respect des lois de la République et au cas d’espèce, la laïcité.

Le principe a par ailleurs été réaffirmé par la région Auvergne Rhône Alpes qui indique se réserver le droit de « suspendre les aides de la région à des structures qui ne respectent pas les valeurs républicaines » et ce au nom du principe: « pas un euro d’argent de la région à des structures ou individus ne respectant pas les valeurs de notre pays ». C’est au regard de l’application de ce dispositif que Laurent Wauquiez avait annoncé la suspension des aides destinées à Sciences Po Grenoble alors qu’un des professeurs de l’établissement était visé par une procédure de licenciement à la suite d’accusations d’islamophobie.

L’ENS a de son côté fait valoir un droit de réponse. Dans un courrier que Valeurs actuelles a pu se procurer, l’établissement lyonnais explique ne pas être au fait de l’existence de l’association : 

Je tiens à vous informer que c’est à l’occasion du forum des associations, tenu sur l’un de nos sites lors de cette rentrée universitaire, que nous avons découvert l’existence de l’association étudiante AMENS. Cette association a été créée durant l’été 2022 sans demande préalable de domiciliation dans nos locaux.

Tout en précisant avoir pris ses dispositions pour rappeler à l’AMENS les obligations auxquelles doit se soumettre chaque association, l’établissement ne précise pas si l’association pourra continuer ses activités au sein de ses locaux. L’école semble pourtant marquer un début de réponse en filigrane dans le texte. En affirmant notamment que les statuts de l’AMENS s’inscrivent dans une ambition culturelle davantage que cultuelle se fondant par la même sur ses statuts où il est fait mention « d’actions caritatives » et « d’évènement culturel musulman au sein de l’ENS ». La distinction entre actions culturelles et actions cultuelles semblent pourtant plus mince dans les faits. Le jour du forum des associations, l’AMENS exposait ainsi sur son stand de présentation, l’ouvrage Riyad Es-Salihine qu’une note des services du renseignement français qualifiait de « radicale » selon un article du Midi Libre.

De son côté, la région précise qu’elle informera le rectorat « pour qu’il soit en mesure d’exercer son autorité en pleine connaissance de ces éléments » et que par ailleurs, « la direction de l’ENS a donné l’assurance de la prise en compte du sujet ». Contacté par Valeurs actuelles sur le devenir de l’association, l’ENS n’a pour l’heure pas donné suite. Isabelle Surply a pour sa part fait savoir qu’en l’absence de réponse claire sur le sujet, elle interpellerait directement la région lors de la commission permanente qui se tiendra vendredi prochain.

Antoine Beretto pour le Club de Valeurs actuelles.

J’ajoute un petit tweet en conclusion …

Une voilée de Science Po arrache les affiches de Lola


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2 Réponses à “Islam : les ennemis de l’intérieur”

  1. Soumission……..

  2. C’est le resultat du grand remplacement en cours, c’est pourquoi, l’etat laisse faire, le français ne compte plus.

    Le peuple doit ce soulever en masse, mais pacifiquement, pour faire stopper cette politique ou notre consentement n’a pas été demandé, au contraire, ces salauds impose la bien pensance et triche en tournant le tout vers l’humanitaire pour detruire la france.

    N’attendez aucune pitié de la part des salauds qui travaillent a perdre la france.

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