La démographie revient au cœur de la politique française

Publié par le 24 Mai, 2021 dans Blog | 1 commentaire

La démographie revient au cœur de la politique française

Mardi dernier, en une seule journée, 8 000 migrants en provenance du Maroc sont arrivés dans la ville espagnole de Ceuta, une enclave ibérique sur le sol marocain.

C’est grave, même s’il s’agit d’une manoeuvre politique du Maroc, en représailles à l’accueil dans un hôpital espagnol d’un chef du Polisario, mouvement qui conteste aux Espagnols une partie du Sahara …

En Europe, on craint l’arrivée d’une nouvelle vague migratoire massive comme en 2015. On la craint mais sans que les élites ne se mobilisent et ne cessent de faire la politique de l’autruche en matière d’immigration.

C’est dans ce contexte que François Bayrou, commissaire au plan, a cru bon d’enjoindre les Français de faire plus d’enfants et d’accueillir plus d’immigrés.

Ouvrons une parenthèse :

notons, à l’occasion, que l’enquête sur les emplois fictifs du Modem au Parlement européen, qui a entrainé la démission du même François Bayrou du poste de Garde des sceaux, est au point mort alors qu’à l’approche des élections régionales et présidentielles, l’enquête sur les mêmes emplois fictifs du Rassemblement national vient d’être relancée.

Fermons la parenthèse d’une justice instrumentalisée par le politique.

Il n’en reste pas moins que la démographie est un vrai problème pour la France, d’ailleurs aggravé par la crise sanitaire.

Mais la proposition de François Bayrou d’augmenter l’immigration a été ressentie par beaucoup de Français comme une provocation. Un sondage CNews ne laisse aucun doute à ce sujet :

Voici une interview d’Eric Zemmour par Guillaume Roquette du Figaro dans laquelle il rappelle l’histoire de la démographie en France et en Europe puis définit les enjeux de la baisse problématique de la natalité française.

Et si Zemmour avait raison …

Les Français – de droite comme de gauche – sont en train de prendre conscience du problème existentiel pour la France de l’immigration.

Dans le même temps, les élites gardent la tête dans le sable et refusent de faire le même constat !

Si Zemmour et quelques autres ont raison, ces élites mondialisées, pour qui la nation française n’a plus aucun sens, porteront une écrasante responsabilité dans ces dangers qui nous menacent (communautarisme croissant, guerre civile, écroulement du système social français, etc …)

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Une réponse à “La démographie revient au cœur de la politique française”

  1. Richard Mauden dit:

    Et en même temps :
    Le coup de gueule Pierre Barnérias, réalisateur du film
    Hold-Up
    lesalonbeige.fr/le-coup-de-gueule-pierre-barnerias-realisateur-du-film-hold-up
    France : Société
    Pierre Barnérias, réalisateur du film Hold-Up, commente le nombre de morts réels de la Covid en France (certifiés électroniquement) et la stratégie vaccinale du gouvernement à partir de documents officiels consultables par tous :
    La vidéo vient d’être censurée par You Tube mais on peut la retrouver sur facebook ou encore sur Odysee pour l’instant.
    Le document de Santé Publique France est accessible en téléchargement sur ce lien et on
    peut effectivement y lire les informations suivantes pages 42 et 43:
    Mortalité issue de la certification électronique des décès
    Parmi les certificats de décès rédigés par voie électronique et transmis à Santé publique France depuis le 1er mars 2020, 41 502 certificats contenaient une mention de COVID- 19 parmi les causes médicales de décès renseignées (Tableau 10).
    – L’âge médian au décès était de 85 ans et 92,7% des personnes avaient 65 ans et plus.
    – Les hommes représentaient 55% de ces décès.
    – 55% de ces certificats de décès contenaient une mention d’infection au SARS-CoV-2 confirmée.
    Des comorbidités étaient renseignées pour 27 031 décès, soit 65% des certificats de décès présentant une mention de COVID-19. Une mention de pathologie cardiaque était indiquée pour 35% de ces décès et d’hypertension artérielle pour 22%.
    Sur l’ensemble des décès certifiés électroniquement, 2% des personnes décédées ne présentaient pas de comorbidité (ou pas de comorbidité renseignée) et étaient âgées de moins de 65 ans.(…)

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