La fête est-elle finie à gauche ?

Publié par le 29 Juin, 2021 dans Blog | 3 commentaires

La fête est-elle finie à gauche ?

Il y a peu, Valeurs actuelles publiait un article signé Philippe Chevallier – oui, celui du duo avec Laspalès ! – titré :

La France est morte en 1981 avec
l’arrivée de François Mitterrand

Outre, le boulet de la retraite à 60 ans qui plombe encore le dialogue social en France, François Mitterrand en assurant la promotion du Front National a verrouillé la démocratie en interdisant une large alliance du peuple de droite.

Après 40 ans, il semble bien que le front républicain ait du plomb dans l’aile. On a même assisté à Paris, à son utilisation contre l’extrême gauche de la France Insoumise !

Voici une newsletter de Valeurs actuelles qui développe ce sujet en voyant dans la gauche une bête blessée, donc dangereuse !

La fête est finie 

A mesure que la réalité droitise la société française, la gauche panique de voir son magistère moral disparaitre et ses idées moquées par des Français de plus en plus nombreux à découvrir la supercherie.

Cet état de fait pourrait être une bonne nouvelle si elle ne s’accompagnait pas d’une hystérie et d’une malfaisance décuplée : ne dit-on pas que rien n’est plus dangereux qu’une bête blessée ?

Un débat de plus en plus étroit

Malgré sa distance abyssale avec les opinions des Français, la gauche contrôle encore très largement les manettes de la majorité des médias et des faiseurs d’opinion ; celle-ci dénonce d’ailleurs régulièrement l’arrivée de nouvelles voix dissonantes dans le débat public.
Le succès de Valeurs actuelles n’étant pas un rééquilibrage dans un paysage médiatique rouge foncé, mais une « droitisation » voire « fascisation » des médias !
Le rapprochement entre Cnews et Europe 1 ? Le « spectre de la bande FN » selon Libération !

La censure par tous les moyens

Ces invectives ne suffisant plus à faire marcher les français à la baguette et à les détourner du « péril fasciste », la gauche n’a plus le choix que d’employer les grands moyens.

Valeurs actuelles est la principale cible de ces offensives liberticides car nous sommes la devanture d’un modèle de société vertueux qui met en lumière les ravages de 40 ans de gauchisme politique, médiatique, culturel…

D’abord, nous sommes attaqués quotidiennement et depuis un an et demi par des bandits du net, appelés « Sleeping Giants » qui intimident nos annonceurs sur les réseaux sociaux pour nous couper les vivres.
Après des milliers de signalements, Twitter n’a jamais suspendu le compte. Après sa question au gouvernement à propos de ces pratiques illégales, le premier questeur Florian Bachelier ne reçoit jusque là qu’un grand silence de la part d’un ministère de l’Economie qui botte en touche.

Ensuite, nous avons passé la semaine dernière plus de 12h au Palais de Justice pour un procès « Obono » où les parties civiles ( la dream team : Danièle Obono, LFI, SOS Racisme…) se sont humiliées par un manque de fond affligeant et une agressivité puérile ; cela nous suffira-t-il pour obtenir une relaxe ?
Réponse en septembre prochain.

En attendant, vous pouvez nous soutenir contre ces tentatives de censure : abonnez-vous pour 1 € seulement pendant 2 mois à notre offre numérique.

Vous êtes de plus en plus nombreux, ils commencent à perdre et ils le savent ; rejoignez-nous.

Pour terminer, voici une nouvelle preuve de la main-mise de la gauche sur la culture et les médias :

Merci de tweeter cet article :





3 Réponses à “La fête est-elle finie à gauche ?”

  1. La création du FN a eu pour conséquence le déplacement vers la gauche de tout l’échiquier politique, la droite dite de gouvernement a pris la place occupée par le PS qui s’est lui même déplacé à la place qu’occupait le PCF autrefois, terrain aussi investi par LFI.

    Les éléments de langage du RN sont ceux du RPR des années 80 sauf en économie, le PS a des accents du grand Georges, LFI essaie de se distinguer de ce dernier sans que l’on voie très bien se qui distingue Hamon de Mélanchon. Reste les écologistes qui adoptent des éléments du communisme, avec un bonne louchée du club de Rome des années 60 et un malthusianisme de bon aloi.

    Bref, aucun des partis n’est vraiment de droite, le RN devient illisible avec sa tentative désespérée de recentrage dont on ne peut pas dire qu’elle fonctionne, le tout avec un programme économique indigent, les autres font dans le socialisme plus ou moins affirmé.

    Face à ces cinquante nuances de rose, il ne faut pas s’étonner que l’électeur préfère aller taquiner le gardon les jours d’élection. Les programmes n’existent plus, seul compte la position envers le RN, ce qui est un peu court.

  2. En attendant le piège mitterrandien continue de fonctionner chez LR, dont le seul programme depuis 2012 est « surtout ne pas faire le jeu du RN ! »

  3. Que Mitterrand rôtisse en enfer pour l’éternité, peine incompressible et sans remise !

Répondre à Pheldge Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *