La folie transgenre n’a plus de limites !

Publié par le 26 Juil, 2022 dans Blog | 7 commentaires

La folie transgenre n’a plus de limites !

Folie ? Délire ? Dérapage ?

On hésite à trouver le meilleur qualificatif devant le déferlement de la folie transgenre dans les médias !

Et l’on est très rapidement taxé de transphobie dès que l’on s’étonne de l’envahissement des médias, des films et des séries télé par le phénomène « transgenre ».

A la limite, c’est un phénomène qui touche une très faible minorité de personnes et qui ne touche que de loin les personnes « normales » ! J’utilise à dessein ce vocable « normales » qui me classera immédiatement dans la catégorie des fascistes transphobes et homophobes. Mais, j’ai la faiblesse de penser que la normalité se trouve plutôt du côté de l’hétérosexualité et des gens qui vivent bien leur sexualité sans se poser de questions d’identité de genre.

Je rappelle qu’on a, jusqu’à présent, rien trouvé de mieux que les couples hétérosexuels pour assurer la pérennité de la race humaine !

Ce qui ne veut pas dire que l' »anormalité » n’ait pas le droit de cité et celui d’être respectée.

Mais il y a des limites !

J’aimerais partager ici un article de Boulevard Voltaire qui m’a fait bondir et qui, selon moi, montre que certains n’hésitent pas à franchir les limites les plus sacrées.

Après avoir privé les enfants de mères (mariage gay) puis de pères (PMA pour toutes), et avant d’en faire commerce (GPA), voilà que les progressistes et le lobby LGBT veulent les pousser, dès l’âge de deux ans, à changer de sexe !

Ignoble ! Dégueulasse ! Irresponsable ! Inhumain !

Pour l’association LGBT Stonewall,
dès deux ans, l’enfant peut savoir s’il est trans !

Nouveau coup d’éclat pour l’influente association LGBT britannique Stonewall, toujours à la pointe lorsqu’il s’agit de développer des théories ubuesques. Dans un tweet publié ce vendredi 22 juillet, l’association rapporte, enchantée, les derniers progrès en date.

La recherche suggère que les enfants aussi que 2 ans reconnaissent leur identité trans.
Pourtant, de nombreuses crèches et écoles enseignent une compréhension binaire du genre pré-assigné. Une éducation inclusive et valorisante LGBTQ est cruciale pour le bien-être de tous les jeunes !

C’est donc avec émoi qu’on apprend qu’un enfant au vocabulaire plus que limité, qui apprend péniblement à distinguer les couleurs et les formes, bénéficie en revanche d’une imparable assurance en ce qui concerne son genre.

Pour les vieux jeux récalcitrants qui auraient le mauvais goût de remettre en cause les capacités si développées de ces petits génies, Stonewall joint à son tweet l’émouvant témoignage de la mère d’une petite fille « qui se sent garçon ». L’annonce est survenue à l’improviste, comme ça, alors que la jeune maman baignait sa fille :

Je la baignais, une fois, quand la question a surgi, et elle a dit « Je suis un garçon ». Elle est restée silencieuse pendant un moment, regardant les bulles en pleine réflexion. Puis elle a levé les yeux à nouveau. Avec un sourire confiant, elle a confirmé : « Je suis un garçon aujourd’hui ».

Témoignage poignant s’il en est, moment privilégié mère-fille/garçon au cours duquel la maman s’est montrée plus qu’à la hauteur. D’aucuns auraient pu être tentés de répondre par une réaction moins empathique … Pas cette mère, les sens en alerte, qui a su saisir toute la poésie, toute l’émotion du moment. Et la jeune mère de déplorer l’influence délétère de l’école, qui semble avoir étouffé les premiers mouvements d’affirmation fournis par son enfant.

Je soupçonne que ses professeurs ne pensent pas qu’elle est « assez âgée » pour la non-conformité de genre, malgré des recherches publiées confirmant que des enfants aussi jeunes que deux ou trois ans reconnaissent leur sexe et peuvent identifier leur propre transité.

 Eh oui, même si l’école « encourage les élèves à respecter un arc-en-ciel de sexualités, ce qui doit être applaudi », demeurent « leur ignorance ou leurs préjugés en matière d’identité de genre ». Ah, les vieux stéréotypes, pas si simple d’en libérer ces pauvres esprits formatés ! Si cette maman appelle à un meilleur apprentissage du « T de LBGTQ+ », on ne saurait trop lui conseiller, quant à elle, de s’intéresser au C de conséquences dramatiques, entrainées par ces « dysphories de genre ».

Dans une tribune publiée dans Le Point, 140 scientifiques et intellectuels alertent sur cet effet de mode que représente la transition, soulignant des effets ravageurs sur la construction des enfants, et des cas toujours plus nombreux de « détransitions » compliquées. 

La médicalisation s’étend alors que le nombre de jeunes détransitionneurs ne cesse de croître et ces jeunes très meurtris et portant des séquelles physiques de leur transition témoignent de la légèreté avec laquelle ils ont été traités par des médecins, des psychiatres et d’autres professions de santé.

Imposer à des enfants, si jeunes, de poser des choix fondamentaux sur ce qui relève de la nature – et donc d’une réalité sur laquelle l’on n’a aucune prise – témoigne d’une méconnaissance inouïe de ce qu’est l’enfance et n’est qu’un obstacle de plus à la formation d’une génération sûre d’elle-même, respectueuse de ses anciens, consciente de ses devoirs envers la postérité. À des parents qui n’ont pas même su dire qui l’on était, que doit-on ? À l’aune de leur exemple, que transmettra-t-on ?

Marie-Camille Le Conte pour Boulevard Voltaire.

Merci de tweeter cet article :





7 Réponses à “La folie transgenre n’a plus de limites !”

  1. « Folie ? Délire ? Dérapage ? »

    Sodome et Gomorrhe!

  2. La fin de la race humaine, quelle que soit la couleur de peau.
    Espérons pour la planète que les animaux soient plus intelligents que cette race qui se dit supérieure.
    Pas besoin de se faire du souci pour le réchauffement ou le CO2, l’Homme aura disparu d’ici là.

  3. Thierry Michaud-Nérard dit:

    Soros et les Transgenres US à la manœuvre
    Les représentants américains Transgenres reçus à la résidence de l’ambassadeur de France pour la fête nationale du 14 juillet (fdesouche.com). Samuel Brinton est ingénieur nucléaire américain et un activiste LGBTQ nommé secrétaire adjoint du combustible usé et de l’élimination des déchets au Bureau de l’énergie nucléaire en janvier 2022. Rachel Levine est pédiatre et femme politique américaine. Depuis le 26 mars 2021, elle est secrétaire adjointe à la Santé des États-Unis dans l’administration Biden, ce qui fait d’elle la première personne transgenre de l’histoire américaine membre d’une administration présidentielle.
    « Champagne et célébration avec l’Ambassadeur de France dans sa résidence pour le 14 juillet. Mais aussi l’occasion extraordinaire de rencontrer l’un des seuls autres fonctionnaires transgenres, l’amiral Levine, je ne vais pas vous mentir, cela m’a fait du bien de compatir avec une autre personne transgenre confrontée à la haine. » Samuel Brinton – 14 Juillet 2022
    Avortement : Soros attaque la Cour Suprême des États-Unis (medias-presse.info, Francesca de Villasmundo). La décision de la cour Suprême des États-Unis annulant Roe vs Wade et redonnant aux États fédéraux leur compétence en matière de loi sur l’avortement fait grincer les dents de la bien-pensance.
    Le 4 juillet, Jour de l’Indépendance des États-Unis, le spéculateur Soros a exprimé dans un article de Project Syndicate son mépris pour le système démocratique américain et il a menacé tous les dissidents qui s’opposent aux nouveaux dogmes progressistes. Pendant ce temps, le vice-président Kamala Harris parle d’un retour à l’esclavage et, bien sûr, les adeptes de la culture de mort agissent en conséquence.
    Soros, le mystificateur de la société ouverte, faisant écho aux mensonges et polémiques parus dans les journaux mainstream du monde entier ces dernières semaines, veut imposer sa société nihiliste et use d’un ton violent et inédit pour fustiger les décisions de la Cour suprême (l’arrêt Dobbs en premier lieu), réaffirmant son engagement à soutenir les seules « valeurs » démocratiques autorisées : les siennes !
    C’est la seule condition pour que la démocratie et la civilisation soient restaurées.
    Voici quelques passages exemplaires de Soros : « Les États-Unis sont une démocratie en constante évolution depuis sa fondation en 1776, mais sa survie en tant que démocratie est menacée. La menace pour les États-Unis est plus grande de la part des ennemis internes de la démocratie (l’ultra-gauche).
    Pour Soros, « il s’agit de l’actuelle Cour suprême, dominée par des extrémistes de droite et du Parti républicain de Donald Trump, qui a placé ces extrémistes au tribunal. Qu’est-ce qui qualifie la majorité de la Cour d’extrémiste ? Ce n’est pas seulement leur décision d’annuler Roe / Wade, le coup partisan de 1973 qui a reconnu le droit d’une femme de choisir d’accoucher ou [d’assassiner un innocent mais d’un choix, ndlr.].
    « Ce qui les qualifie d’extrémistes, ce sont les arguments utilisés… Le juge Samuel Alito, auteur de l’opinion majoritaire, a fondé sa décision sur l’affirmation selon laquelle le 14ème amendement ne protège que les droits généralement reconnus en 1868, lorsque l’amendement a été ratifié. Mais cet argument sape des droits reconnus depuis, dont le droit à la contraception, le mariage homosexuel et les droits LGBTQ.
    « La Cour entend lancer une attaque frontale contre le pouvoir exécutif… Il n’y a qu’un seul moyen de contrôler la Cour suprême : exclure le Parti républicain. Cela permettrait au Congrès de protéger les droits confiés à la protection de la Cour suprême… Le Congrès doit agir, en commençant par la protection du droit des femmes à choisir. Les républicains ont rempli la Cour suprême et de nombreux tribunaux inférieurs de juges extrémistes. Des États comme la Floride, la Géorgie et le Texas, ont promulgué des lois qui rendent le vote frauduleux très difficile… La Cour suprême radicale a fait sa part en vidant de sa substance la loi fédérale sur le droit de vote et en autorisant un redécoupage partisan pour affaiblir le pouvoir des minorités.
    « La survie de la démocratie aux États-Unis est sérieusement menacée. L’opinion publique américaine a été enthousiasmée par la décision d’annuler Roe. Mais cette décision fait partie d’un plan soigneusement conçu pour transformer les États-Unis en un régime répressif qui cible spécifiquement les femmes.
    « Nous devons tout faire pour l’empêcher… Je suis partisan du Parti démocrate. Il s’agit d’exclure le Parti républicain, de rétablir un système politique fonctionnel, pierre angulaire de la démocratie américaine. »
    En plus de condamner l’arrêt Dobbs de manière intolérante, Soros attaque la Cour suprême sur l’arrêt Berger du 23 juin qui a donné raison aux législateurs républicains, afin qu’ils puissent intenter une action en justice contre la fraude et défendre les lois d’identification des électeurs de la Caroline du Nord (exigence de la carte d’identité) contre des irresponsables démocrates qui, dans cet État, comme dans d’autres, favorisent l’immigration clandestine afin de pouvoir, c’est leur espoir, augmenter le nombre d’électeurs en leur faveur.
    Le spéculateur manipulateur profiteur Soros montre à nouveau son visage de promoteur de l’immigration clandestine et de l’avortement, les deux mâchoires de la tenaille avec laquelle lui et ses compères mondialistes écrasent les nations pour les faire disparaître ! (MPI, Francesca de Villasmundo)
    L’Église d’Angleterre refuse de dire ce qu’est une femme ! (Jean-Patrick Grumberg dreuz.info).
    L’Église d’Angleterre est la dernière institution en date à refuser de définir le terme femme, dans un contexte de pression croissante de la part de la communauté transgenre qui estime qu’une femme est toute personne qui se définit comme telle. S’exprimant lors de l’assemblée générale de l’Église (le Synode général), l’évêque principal Robert Innes a déclaré que si le terme était autrefois évident, les récents développements culturels ont fait en sorte que des précautions supplémentaires sont nécessaires pour tenter de définir ce qu’est une femme. « Il n’existe pas de définition officielle, ce qui reflète le fait que, jusqu’à une date assez récente, les définitions de ce type étaient considérées comme évidentes, comme le reflète la liturgie du mariage », a déclaré M. Innes, selon GB News. Mais les choses ne sont plus aussi simples. »
    L’Église d’Angleterre, dont le gouverneur suprême est la reine Élisabeth II, rejoint une liste croissante d’institutions qui ont refusé de définir la femme, notamment les National Institutes of Health, le ministère de la Justice de Biden aux États-Unis, et la dernières nominée de Joe Biden au poste de juge à la Cour suprême.
    Source : telegraph.co.uk/news Jean-Patrick Grumberg, dreuz.info.
    En plein délire, les wokistes disent que le télescope James Webb est homophobe !
    L’enthousiasme suscité par les nouvelles images sans précédent de galaxies lointaines a relancé les appels de certains membres des communautés scientifique et homosexuelle à renommer le télescope spatial James Webb en raison de son implication présumée dans les politiques gouvernementales anti-LGTBQBC du milieu du 20ème siècle. La NASA a été critiquée pour avoir donné à son projet phare le nom de l’ancien administrateur de la NASA, James Webb, qui avait été sous-secrétaire d’État sous l’administration Truman, lorsque le gouvernement fédéral éliminait systématiquement les employés LGBTQBC de ses rangs.
    Ce que la NASA n’a pas compris, c’est que les wokistes et les dictateurs de la pensée gauchistes ne s’embarrassent pas de preuve. Les héritiers des doctrines totalitaires, nazisme et bolchévisme, veulent une obéissance totale. Les wokistes qualifient Webb d’homme dont l’héritage, au mieux, est compliqué et, au pire, reflète une complicité dans la discrimination homophobe au sein du gouvernement fédéral.
Les wokistes de la Cancel culture, qui imposent leur volonté parce qu’ils bénéficient de la bienveillance des médias corrompus, n’en resteront pas là. Source : Jean-Patrick Grumberg, dreuz.info.
    Mgr Viganò contre la Gay-Pride italienne (medias-presse.info, Fabien Laurent) Les dirigeants des affaires publiques de l’Église sont obéissants à l’anti-évangile du monde corrompu. Il est incroyable qu’en des décennies, l’Italie ait pu être transformée de manière aussi radicale, effaçant l’héritage du Catholicisme qui l’a rendu grande et prospère entre les Nations. Nous assistons à un processus d’apostasie de la Foi !
    Quand saint Léon le Grand écrivait : de maîtresse de l’erreur, Rome est devenue disciple de la Vérité, nous pourrions dire aujourd’hui que la Rome des Martyrs et des Saints de maîtresse de la Vérité, est devenue disciple de l’erreur. Car l’apostasie actuelle qui implique l’autorité civile et religieuse dans une rébellion contre Dieu n’est pas partie d’en bas, mais d’en haut. Les dirigeants des affaires publiques et les Pasteurs de l’Église plient les genoux devant les nouvelles idoles du politiquement correct, brûlent de l’encens au simulacre d’une humanité abrutie par le vice et le péché. Ceux qui aujourd’hui guident le peuple dans les choses temporelles et spirituelles ont pour but, non le bien commun des citoyens et le salut des âmes, mais leur corruption. Et la masse, ayant abandonné la voie de l’honnêteté, de la justice, s’abandonne à la tromperie et à la corruption.
    On peut voir les manifestations obscènes de la Fierté [gay-pride] défiler dans les rues des villes : l’espace que les égarés ont conquis au cours des dernières décennies a été abandonné par les Catholiques, dont les clercs considéraient les processions en l’honneur du Saint-Sacrement, de la Sainte Vierge, et des Saints Patrons comme des ostentations du triomphalisme post-tridentin. On voit le divorce, l’avortement, l’euthanasie, et les unions LGBT qu’une humanité déviée est capable de légaliser : si cela s’est produit, c’est parce qu’on a dit aux Catholiques qu’ils ne pouvaient pas imposer leur vision du monde et de la société, et qu’ils devraient cohabiter, au nom de la démocratie et de la liberté, avec les ennemis de la Vérité.
    Ce fut une tromperie, car la tolérance qu’ils exigeaient de la majorité chrétienne n’est plus autorisée, et tout le monde doit se soumettre à la dictature de la pensée unique, à l’idéologie du genre, à la doctrine LGBTQ. Une fois que la légitimité a été donnée aux pacs, la porte a été ouverte au mariage homosexuel.
    La suite est les adoptions pour les couples de même sexe, la maternité de substitution, l’avortement postnatal, l’euthanasie imposée. Moralité : Il ne peut y avoir de tolérance pour la corruption des jeunes !
    Avec Éric Zemmour : Nous devons reprendre le contrôle de notre pays !

  4. les mots manquent devant pareils délires …

  5. Combien il y en a dans les asiles ???

  6. Ceci démontre l’immoralité totale des prétendues élites ou la saine politique était celle qui n’opprimait pas la majorité par une minorité avec ,au final, la destruction totale des valeurs morales.

    Ils se moquent du peuple qui ne compte pour rien et ne respecte aucune morale.

  7. sorti sur le Point, autrefois journal « de droite », désormais copie de l’Obs et du monde sous la houlette de P. Labro :
    https://www.lepoint.fr/societe/transgenres-grand-trouble-chez-les-mineurs-28-07-2022-2484732_23.php
    Eh oui, l’adolescence est une période délicate, et si on bombarde les enfants de délires genrés à l’âge de la puberté, ça fait de dégâts. le problème c’est que quand il y a eu des actes chirurgicaux, c’est irréversible !

Répondre à Suzanne Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *