La gauche est contreproductive par nature !

Publié par le 2 Jan, 2024 dans Blog | 0 commentaire

La gauche est contreproductive par nature !

Je n’ai pas la faiblesse de penser qu’il y a moins de personnes intelligentes à gauche qu’il n’y en a à droite …

Par contre, ce dont je suis absolument certain,
c’est que l’idéologie occulte l’intelligence !

Et donc, comme il y a plus d’idéologie à gauche qu’à droite, au final, il y a plus d’intelligence à droite qu’à gauche !

Imparable, comme raisonnement ! Non ?

Oui, très souvent l’idéologie conduit les gouvernements de gauche à prendre des mesures qui s’avèrent contreproductives. Les exemples ne manquent pas !

  • Les blocages des loyers a souvent abouti à une pénurie de logement et donc à une hausse des loyers.
  • La défense des locataires au détriment des propriétaires a abouti à la scandaleuse protection des squatteurs.
  • Le SMIC lui-même a des effets pervers en nivelant les salaires par le bas.
  • Les totems sociaux de la gauche comme la retraite à 60 ans et la semaine de 35 heures ont largement pénalisé les classes moyennes et les travailleurs, en limitant les salaires.
  • Le remplacement par Mitterrand de l’assimilation à la française par le droit à la différence a conduit au communautarisme.
  • L’immigration promue par la gauche s’est largement retournée contre les travailleurs français qui la finance et sont les victimes de ses effets négatifs.

C’est ce dernier point qui est traité dans cet article du Club de Valeurs actuelles :

L’Etat providence et la préservation des acquis sociaux
ne sont pas compatibles avec l’immigration de masse

Le Prix Nobel d’économie Milton Friedman a expliqué que l’Etat providence, par essence, est incompatible avec la circulation des personnes et l’immigration de masse. La gauche immigrationniste est donc incohérente et trahit les classes populaires françaises.

Le coût annuel de l’immigration, dans le contexte d’un État providence très généreux en France – à savoir la différence entre ce qu’elle rapporte et ce qu’elle coûte –, a été évalué – selon les expertises (Cour des comptes, Contribuables associés ; IFRAP ; Patrick Stefanini, Jean Paul Gourévitch, Pierre Brochant, , etc) entre 6,6 et 50 milliards d’euros. Concernant l’estimation la plus minimaliste, un rapport de la Cour des comptes publié le 5 mai 2020 a évalué les coûts « de l’entrée, du séjour et du premier accueil des personnes étrangères en France » pour l’année 2019 à 6,57 milliards d’euros, un montant qui n’a toutefois pas pris en compte le coût des dépenses sociales (assurance maladie, retraites et aides sociales de droit commun en général, type RSA ou APL), pas plus que celles liées à la justice et à la politique de sécurité, puis à la prise en charge des mineurs isolés par les collectivités locales.

Depuis la fin des confinements Covid, les flux ont repris leur rythme de l’avant pandémie, et les coûts ne peuvent donc qu’être mécaniquement plus élevés encore aujourd’hui qu’en 2019. Une étude publiée par le Centre d’études prospectives et d’informations internationales (Cepii, service de recherche économique rattaché au Premier ministre), intitulée L’Impact budgétaire de 30 ans d’immigration en France, avait déjà estimé en 2011 le coût de l’immigration à 1,64 point de pourcentage de PIB, soit, ramené à l’année 2019, l’équivalent de 40 milliards d’euros, sachant que le phénomène migratoire n’a cessé de s’accroître depuis dix ans. Cette étude n’est pourtant pas la plus maximaliste puisqu’elle exclut par principe les coûts de l’immigration irrégulière, en hausse depuis 2015, avec un « stock » d’immigrés clandestins – estimés selon certains à un million d’individus (entre 600 et 900 000 selon le ministère de l’Intérieur) – quasiment jamais expulsés bien qu’expulsables, même pour les plus dangereux, comme le rappelle tragiquement chaque semaine l’actualité hexagonale.

La gauche immigrationniste est incohérente

Ces coûts sont d’un milliard annuel pour l’AME et deux milliards par an pour les 50 000 MNA (mineurs non accompagnés), chiffres confirmés par un rapport du Sénat en 2021. La Cour des comptes déplore d’ailleurs le détournement des demandes d’asile qui expliquerait un tiers de la progression des coûts ainsi que l’AME (1/5ème). Les magistrats précisent que ces dépenses exorbitantes ne peuvent qu’augmenter à l’avenir de façon quasi mécanique en raison de la progression constante (hors année-Covid 2021) de l’immigration légale de peuplement (regroupement familial) et de l’immigration illégale, favorisées par les appels d’air inhérents au droit du sol, à la dépénalisation de la migration clandestine (CJE/CEDH), au regroupement familial, et aux aides d’État indiscriminées.

Sur un quinquennat et sur ces bases, certains ont chiffré le montant à plus de 50 milliards d’euros de dépenses publiques liées à l’immigration au total …

Très justement, le Prix Nobel d’économie Milton Friedman a expliqué que l’Etat providence, par essence, est incompatible avec la circulation des personnes et l’immigration de masse.

De ce point de vue, la gauche immigrationniste est incohérente et trahit les classes populaires françaises (« de souche » comme issus de l’immigration) lorsqu’ils traitent de « racistes-fascistes » les partisans de la préférence nationale/européenne et de la fin du droit du sol et des aides indiscriminées accordées aux étrangers même délinquants, assistés ou illégaux, car les milliards dépensés le sont au détriment des acquis sociaux des Français issus de la classe « ouvrière »…

Au non contrôle des flux, s’ajoute la renonciation de nos dirigeants à la politique d’assimilation. Le général de Gaulle alertait qu’il est « simple d’assimiler un individu, mais pas un peuple ». Or si la politique migratoire n’est pas réformée dans le sens d’une assimilation, ce sont bien des peuples qu’il faudra intégrer de façon communautariste, l’assimilation se faisant de plus en plus difficilement pour des raisons culturelles et confessionnelles et de nombre, sans oublier la mondialisation qui permet aux fanatiques de pays lointains d’embrigader à distance des musulmans d’Occident.

En France, une pause migratoire, comme cela fut le cas aux États‐Unis entre 1920 et 1965, suite à la dépression de la fin des années 1920 et 1930, permettrait de consolider l’assimilation des immigrés et de leurs descendants, trop souvent travaillés par des puissances étrangères opposées à l’intégration de leurs coreligionnaires aux mœurs « impies »….

Tmorel pour Le Club de Valeurs actuelles.

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