« La gauche racialiste dans toute sa laideur »

Publié par le 6 Jan, 2021 dans Blog | 0 commentaire

« La gauche racialiste dans toute sa laideur »

Ah comme j’aurais dû aimer la gauche d’antan !

– La gauche qui défendait l’ouvrier, le prolétaire,

– la gauche qui se battait pour l’égalité homme-femme,

– La gauche qui défendait la Nation et la France,

J’aurais même dû aimer Georges Marchais qui eut le courage, dans les années 90, de tirer la sonnette d’alarme sur les dangers de l’immigration !

Car aujourd’hui, cette gauche est bel et bien morte, remplacée par ces militants indigénistes, racialistes et pour certains des militants islamogauchistes.

Et ils sont bien plus dangereux que la gauche du programme commun de la grande époque ! Car ils veulent la mort de la nation et de l’identité française.

Voici un billet de Gilles-William Goldnadel paru dans le Club de Valeurs actuelles et qui fustige cette nouvelle gauche qui renie l’ancienne :

Plenel publie l’antisémite Bouteldja, Moreno convoque le “privilège blanc” : la gauche racialiste dans toute sa laideur

Malade du virus du racialisme contracté outre-Atlantique, la gauche médiatique et politique française poursuit son entreprise idéologique totalitaire. Un projet destructeur à combattre sans faillir, exhorte notre chroniqueur Gilles-William Goldnadel.

Refuser de transiger avec la gauche médiatique et politique. Ne pas leur céder un pouce de terrain. Ne rien lâcher. Telle est l’unique recette pour tenter d’échapper à leur dictature sournoise.

C’est ainsi, par exemple, que le 17 décembre la radio de sévices publics France info fêtait à sa manière le centième anniversaire de la naissance du PCF par un titre empli de  bienveillance : « ‘On s’appelle camarades’ : le Parti communiste français fête ses 100 ans et des jeunes continuent d’y adhérer ». Indigne complaisance radioactive pour un parti qui a cent ans  et dont l’idéologie totalitaire a fait cent millions de morts. La méchanceté conserve, mais moi, je trouve que cent ans c’est un bon âge pour dételer.

Je l’écris d’abord par principe mais aussi par esprit civique et utilitaire : ne plus tolérer qu’alors que la gauche médiatique continue de diaboliser des accords électoraux imaginaires entre la droite et un Rassemblement national qui n’a plus rien à voir avec l’extrême droite, l’union de la gauche est encore appliquée et invoquée impunément, telle une Audrey Pulvar, de la mairie de Paris, qui souhaite tranquillement à ses alliés communistes un bon anniversaire en ajoutant que les critiques à son encontre tenaient de la « caricature »…

Les victimes du pacte Hitler-Staline, approuvé par un PCF sabotant les arsenaux français, les millions de morts du stalinisme, du maoïsme et aujourd’hui des castrisme et madurisme applaudis par le PC, apprécieront.

Le 24 décembre, Edwy Plenel faisait un très beau cadeau de Noël à l’antisémite Houria Bouteldja en publiant dans son  Mediapart un billet de blog consacré à Miss Provence injuriée. Morceau de bravoure : « On ne peut pas être Israélien innocemment. »  Devant la levée de boucliers, l’article était retiré.

Trop tard, le journaliste de Valeurs actuelles Amaury Brelet avait la bonne idée de rappeler que le chantre de l’antiracisme Plenel avait loué les assassins des onze athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Munich.

Sur LCI le même jour, la ministre Élisabeth Moreno, qui incarne l’aile gauche de notre gouvernement, originaire du Cap-Vert, sur les questions complaisantes du journaliste Jean-Michel Aphatie, déclarait sans ambages : « Evidemment qu’il y a un privilège blanc… » Pour faire bonne mesure, elle n’hésitait pas à prétendre : « Mais ce n’est pas le fait d’avoir des privilèges qui est un problème, le problème, c’est d’être traité inégalement et de ne pas avoir accès aux mêmes droits. »

J’ignorais que la République française, au rebours de son solennel triptyque, discriminait légalement les Français à raison de la couleur de leur peau. Au-delà de cette incongruité juridique, je ne suis pas sûr que le jeune Kevin, fils d’un chômeur blanc de Roubaix, ayant sombré dans l’alcool, dispose de davantage de privilèges que Sibeth, fille d’un diplomate. Ou que Marcus, fils de Lilian, footballeur et cracheur à ses heures.

Dois-je rappeler qu’il n’y a pas dix ans la même gauche médiatique et politique, dans un excès contraire, voulait interdire Maurras et le mot race ? Voilà à présent, que prise du virus du racialisme contracté outre-Atlantique, pas un débat ne soit axé sur la différence de peau. J’exagère, il arrive qu’on y ajoute la différence des sexes et leur utilisation.

Mais ce soir-là,  ce privilège blanc, cette dernière névrose américaine, était scientifiquement démenti en laboratoire télévisuel : un homme journaliste blanc et une femme ministre noire se montraient rigoureusement égaux dans leur médiocrité intellectuelle et culturelle.

Ne rien lâcher, vous dis-je.

Gilles-William Goldnadel pour le Club de Valeurs actuelles.

Merci de tweeter cet article :





Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *