La médecine corrompue, les vies sacrifiées

Publié par le 19 Mar, 2022 dans Blog | 3 commentaires

La médecine corrompue, les vies sacrifiées

La crise sanitaire du covid-19 aura été un révélateur formidable des faiblesses des sociétés occidentales.

Pourtant, les élites occidentales, qui ont largement failli durant la crise, gardent une haute opinion de l’Occident en général et d’elles-mêmes en particulier.

Je n’évoque pas d’abord notre dépendance vis-à-vis de la Chine (masques, tests, etc …) mais deux points bien plus importants, selon moi.

Le premier, c’est d’abord la fragilité de nos libertés et la facilité avec laquelle le pouvoir exécutif les a confisquées, sans que les contrepouvoirs que sont le Parlement, la Justice et les médias ne se révoltent ! Mais la faute en revient avant tout  à cette majorité de Français apeurés par un virus qui, pourtant, tue très peu et qui se sont laissés faire !

Le second, c’est la faillite de la médecine scientifique qui s’est déchirée sur les plateaux télé et a fait la preuve qu’elle était l’objet de conflits d’intérêts majeurs avec l’industrie pharmaceutiques.

Avec le recul de la pandémie, les langues commencent à se délier et certains organismes n’hésitent plus à porter un regard critique sur la gestion de la pandémie.

Voici un article du blog de Patrice Gibertie qui propose la traduction d’un article paru dans le très sérieux British Journal Of Medecine :

La crise du Covid s’est traduite par la faillite de la recherche scientifique, telle est la conclusion du British Journal Of Medecine dans un appel à libérer la médecine des conflits d’intérets.

Nous partageons cette analyse en ajoutant que seule le financement par l’Etat du repositionnement des molécules anciennes, peut sauver les vies.

Les molécules autorisées ne sont pas
les plus efficaces mais les plus chères

Les molécules autorisées

  • Le Paxlovid actuellement distribué (700S) après seulement 2 études financée par Pfizer et portant sur 2939 malades efficacité de 83 %,
  • Le molnupiravir de Merk distribué 700S après seulement 9 études sur 4935 malade efficacité 36 %,
  • Le remdesivir de Guiléad distribué 3100S après 19 études sur 122 000 malades efficacité 13 %,
  • Le plasma convalescent ( Karine Lacombe) distribué (5000 S°) 14 études sur 15000 patients efficacité négative !

Les molécules interdites

  • L’Ivermectine interdite 88 études sur 129000 patients coût 1S efficacité efficacité 65 %,
  • La vitamine D déconseillée, 70 études sur 128000 patients cout 1S efficacité 38 %

Plus un pays est vacciné, plus le nombre de décès covid (après 65 ans) est élevé !

Voici une traduction de l’article du British Journal Of Medecine  dont la version originale est disponible ici :

La médecine factuelle a été corrompue par les intérêts des entreprises, l’échec de la réglementation et la marchandisation du milieu universitaire.

La validité de ce nouveau paradigme dépend toutefois de données fiables issues d’essais cliniques, dont la plupart sont menés par l’industrie pharmaceutique et publiés sous le nom d’universitaires de haut niveau.

La publication dans le domaine public de documents confidentiels de l’industrie pharmaceutique a donné à la communauté médicale un aperçu précieux du degré de déformation des essais cliniques parrainés par l’industrie.

La médecine est largement dominée par un petit nombre de très grandes entreprises pharmaceutiques qui se disputent des parts de marché, mais qui sont effectivement unies dans leurs efforts pour étendre ce marché.

Le progrès scientifique est entravé par la propriété des données et des connaissances, car l’industrie supprime les résultats négatifs des essais, ne signale pas les événements indésirables et ne partage pas les données brutes.

Des patients meurent à cause de l’impact négatif des intérêts commerciaux sur le programme de recherche, les universités et les organismes de réglementation.

La responsabilité de l’industrie pharmaceutique envers ses actionnaires signifie que la priorité doit être donnée à ses structures de pouvoir hiérarchique, à la loyauté envers le produit et à la propagande de relations publiques plutôt qu’à l’intégrité scientifique.

les départements universitaires deviennent des instruments de l’industrie : (..), les universitaires deviennent des agents de promotion de produits commerciaux.

En médecine, ceux qui réussissent dans le milieu universitaire sont susceptibles d’être des leaders d’opinion, dont la carrière peut progresser grâce aux opportunités offertes par l’industrie. (..) ils deviennent ce qu’on appelle en marketing des « champions du produit ».

Ironiquement, les leaders d’opinion parrainés par l’industrie semblent jouir de nombreux avantages de la liberté académique(..) pour exprimer leurs points de vue, même lorsque ces points de vue sont en contradiction avec les preuves réelles.

Alors que les universités ne parviennent pas à corriger les déformations de la science résultant de ces collaborations, les détracteurs de l’industrie sont confrontés au rejet des revues, à des menaces juridiques et à la destruction potentielle de leur carrière.

Les organismes de réglementation reçoivent des fonds de l’industrie et utilisent des essais financés et réalisés par l’industrie pour approuver les médicaments, sans voir les données brutes dans la plupart des cas. Quelle confiance pouvons-nous avoir dans un système dans lequel les entreprises pharmaceutiques sont autorisées à « faire leurs propres tests » plutôt que de faire tester leurs produits par des experts indépendants dans le cadre d’un système réglementaire public ?

Il est peu probable que des gouvernements indifférents et des autorités de réglementation accaparées initient les changements nécessaires pour soustraire la recherche à l’industrie (..).

« Nos propositions de réformes comprennent : la libération des régulateurs du financement des sociétés pharmaceutiques ; l’imposition de taxes aux sociétés pharmaceutiques pour permettre le financement public d’essais indépendants ; et, ce qui est peut-être le plus important, la publication des données anonymes des essais au niveau des patients individuels, ainsi que des protocoles d’étude, sur des sites Web accessibles, afin que des tiers puissent évaluer rigoureusement la méthodologie et les résultats des essais.

Jon Jureidini, research leader, Leemon B. McHenry, professor emeritus pour le British Journal of medicine.

Merci de tweeter cet article :





3 Réponses à “La médecine corrompue, les vies sacrifiées”

  1. Voici des nouvelles du Conseil de l’Ordre ce matin.

    Le ministère des Solidarités et de la Santé a adressé aux professionnels de santé les adaptations sur la doctrine de criblage.
    Après une 5ème vague de Covid-19 d’une ampleur inédite [mon commentaire : bien sur, tout le monde est au lit], la situation sanitaire se stabilise depuis plusieurs semaines entraînant une baisse de la demande de test par rapport au pic de l’épidémie.

    Par conséquent, la stratégie de criblage évolue.
    Le criblage constitue un élément de surveillance en temps quasi-réel de la circulation des mutations d’intérêt ciblées.

    Il est désormais demandé aux laboratoires de réaliser un criblage d’au moins 50% (seuil minimal) des prélèvements RT-PCR positifs avec Ct ≤30. Il convient de privilégier un modèle de sélection aléatoire permettant d’assurer une surveillance des mutations en circulation et de répartir l’activité de criblage sur l’ensemble des jours de la semaine.

    Le dispositif de malus est, quant à lui, adapté à 50 % pour tenir compte de cet ajustement.

    La co-circulation en France de Delta et Omicron entre décembre 2021 et janvier 2022 a rendu possible la survenue de co-infections, pouvant éventuellement conduire à des événements de recombinaison entre ces deux variants.
    Si ces événements restent rares, ils peuvent être détectés plus fréquemment dans les populations à risque (immunodéprimés) et justifient une surveillance renforcée du fait de leur impact potentiel.
    Ainsi, un résultat de criblage C1D1 peut correspondre à une co-infection Delta/Omicron ou potentiels recombinants qui pourraient en découler. Il est donc nécessaire de réaliser un séquençage systématique

    la plateforme PassPlusCovid est en effet désormais à la disposition des professionnels de santé pour combiner des certificats sanitaires au format « certificat COVID numérique de l’UE » afin d’en générer un nouveau au même format, pouvant être requis dans le cadre des lieux soumis au pass sanitaire ou pour voyager.

    Ce DGS-Urgent n°2022-42 indique que PassPlusCovid s’inscrit dans la continuité de l’outil Pass+ de l’application TousAntiCovid et vise à offrir une solution alternative à votre patientèle ne disposant pas de l’application.

    Elle leur permet de combiner des certificats, notamment pour :
    • Allonger de manière illimitée la durée d’un certificat de rétablissement valant comme dose de rappel (valable sur le territoire national seulement) ;
    Agréger l’ensemble des certificats de vaccination au format européen issus de plusieurs pays en un seul (valable sur le territoire national et pour voyager).

    > L’ensemble des combinaisons qui peuvent être effectuées via le portail PassPlusCovid

    Ceci dit, point positif (encore que je ne sais pas interpréter cette phrase, vu les « en même temps » macroniens)
    « Allonger de manière illimitée la durée d’un certificat de rétablissement valant comme dose de rappel »
    Avec la médecine corrompue, comment comprendre cette phrase?
    Aurions nous un pass illimité si nous avons attrapé la bestiole et voté macrotte qui nous em***de?

    Voilà les dernières nouvelles de demain…

  2. Pendant les 2 ans de COVID saura-t-on combien de morts de cancers, de crises cardiaques, ou simplement de vieillesse, je ne compte pas les accidents, les meurtres, les suicides, les empoisonnements.
    Et dans certains pays, combien de morts de famines, d’inondations, de maladies, de guerre????

    • Seul le coronavirus existait, le reste ne comptait plus, on est passé du bon sens a la propagande et l’irrationnalité et sans preparation a long terme ni recul sur l’experience pretendument cataclysmique et mondial de la maladie qui ne fait que 0,035% de mort, chiffre du gouvernement, et dont le seul but au final etait de provoquer la peur pour piquer.

      Question, a part enrichir big pharma, que devait contenir ses produits pour vouloir nous l’imposer presque de force qui explique qu’aucun retour negatif ne devait sortir ?

      Je pense que l’on aura la reponse quand on verra les degats et les morts qui tomberont par milliers un jours.

      A ce moment, on verra le mal que l’on nous aura fait.

Répondre à papsy Annuler la réponse.

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *