Je reviens sur mon article (complotiste) précédent :
Le climat … Comment dire ? J’ai des doutes !
pour relayer un article très argumenté trouvé sur le site Résistance républicaine. Il apporte des précisions chiffrées à l’hypothèse d’une variation naturelle du climat. Il est très long mais extrêmement convaincant.
Jugez-en par vous-même !
Mais en résumé, il y a deux éléments à retenir :
- Les variations du climat et de la température sur terre sont cycliques et n’ont rien à voir avec l’activité humaine,
- L’augmentation du taux de CO2 dans l’atmosphère est une conséquence du réchauffement climatique et non sa cause !
La plus grande arnaque du siècle ?
Le réchauffement climatique dû à “l’activité humaine” en CO2
Extraits :
Si votre serviteur a intitulé ce bien modeste article de la façon suivante : “La plus grande arnaque du siècle ? Le réchauffement climatique dû à “l’activité humaine” en CO2″, c’est par ce qu’il a tendance à croire que la Terre suit des cycles de glaciations et de réchauffements cycliques comme unanimement démontré par l’ensemble de la communauté scientifique, et que, s’il advenait que la production humaine de CO2 serait partiellement, voir totalement, responsable d’un réchauffement très ponctuel (s’étalant sur quelques dizaines d’années, voir un siècle), celui-ci n’apportera aucunement toutes les catastrophes annoncées par les politiques.
Qu’appelle-t-on atmosphère ?
L’atmosphère est l’enveloppe gazeuse qui entoure une planète. Elle est maintenue autour de cette planète par la force gravitationnelle qui la retient et l’empêche de s’échapper vers l’espace interplanétaire.
L’atmosphère terrestre est une machine complexe, un fluide en perpétuel mouvement, composé de différents gaz, de poussières et de liquides en suspension. Elle se déplace, se déforme, se mélange, se transforme sans cesse sous l’influence de ses propres contraintes physiques ou chimiques et de ses échanges avec les milieux extérieurs.
Elle reçoit du rayonnement solaire et nous protège en absorbant, ou renvoyant vers l’espace interplanétaire, les rayonnements les plus dangereux pour nos organismes.
Le mélange de gaz qui compose l’atmosphère terrestre, l’air, est incolore, invisible et inodore. Il est essentiellement composé de diazote (N2), de dioxygène (O2), de vapeur d’eau (H2O), de gaz rares (ou nobles) comme l’argon (Ar), le néon (Ne), l’hélium (He), le krypton (Kr), le xénon (Xe) et le radon (Rn), de dioxyde de carbone ou gaz carbonique (CO2), de méthane (CH4), d’hydrogène (H2), d’ozone (O3), etc…
Le CO2 étant le principal gaz à effet de serre.
En dehors de ces gaz, l’atmosphère peut comporter un certain nombre de particules liquides (embruns, gouttelettes de nuage, gouttes de bruine ou de pluie…) ou solides (poussières, cristaux de glace, flocons de neige, grêlons…) et donner naissance à des précipitations intenses, des vents violents (tornades, trombes), des manifestations électriques (orages, feux de Saint-Elme, elfes, farfadets ou jets bleus), acoustiques (tonnerre) ou lumineuses (éclairs, arcs-en-ciel, halos, couronnes, irisations, gloires…).
L’atmosphère n’est pas non plus exempte de polluants qui proviennent de l’activité humaine dans certaines zones (produits de combustion, particules, oxydes d’azote, composés organiques volatils, ozone, pesticides…) ou de processus naturels (pollens, érosion des sols, éruptions volcaniques…) et dont la concentration et l’étendue varient en fonction de l’intensité des sources et des conditions météorologiques.
Ce qu’affirme haut et fort tous ces écolos autoproclamés c’est que la production humaine de CO2 provoque le réchauffement climatique. Pour cela ils s’appuient sur les seuls rapports du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) constitué de plusieurs États.
Officiellement, ce sont ces États membres qui en assurent collectivement sa gouvernance. Pour la France, cette fonction est exercée par l’Observatoire national sur les effets du réchauffement climatique (ONERC), depuis 2001. Mais depuis 2008, l’ONERC est rattaché à la Direction générale de l’énergie et du climat (DGEC), qui se trouve au sein, et sous l’autorité du ministère en charge de l’Environnement. In fine, le GIEC n’est ni plus ni moins qu’un groupe de fonctionnaires sous l’autorité du ministère de l’Environnement. Bonjour l’indépendance, et bonjour les avis contradictoires des conclusions du GIEC.
Le GIEC est dirigé, depuis 2015, par le sud-coréen Hoesung Lee. Il est aussi le président des experts climats de l’ONU (référence). Tout le monde connaît l’infection généralisée de l’ONU par les mondialistes, lesquels passent leur temps à chercher des armes acceptées par les populations pour détruire un maximum de pays afin d’installer leur idéologie nazie. Les exemples ne manquent pas. Il est dans ces conditions bien difficiles à d’autres savants et chercheurs d’exprimer des avis différents.
À propos d’avis différents, le Professeur Vincent Courtillot (couvert de diplômes, références, missions techniques des plus hauts niveaux, conférencier international, et bien d’autres, voir la note 1) en fin d’article) émet de très sérieuses réserves sur ce réchauffement climatique qui serait dû à la production humaine en CO2. C’est la raison pour laquelle les abrutis dictateurs le classe comme “climato-sceptique”.
Il n’existe pas de scientifiques “climato-sceptiques”. Il existe des scientifiques dont les recherches sont divergentes des scientifiques officiels sous les ordres du gouvernement macronien. Comme toujours, le terme de “climato-sceptiques” est employé par les gauchistes et écolos pour disqualifier des études scientifiques non politisées. On a connu exactement le même phénomène, puisque c’est un classique chez les gauchistes et écolos, avec le Professeur Raoult.
Claude Allègre lui-même, éminent scientifique reconnu par tous, a été écarté du pouvoir officiel quand il a commencé à prendre des positions mettant en doute l’origine anthropique (= due à l’activité humaine) et l’importance du réchauffement planétaire, qui allait contre le consensus scientifique officiel. Il avait cependant dans la décennie précédente soutenue les thèses officielles, mais s’est rendu compte ensuite que ces thèses ne tenaient pas la route, et étaient dirigées par une volonté politique bien supérieure à la scientifique.
Pour bien comprendre ces questions climatiques, il faut bien connaître les cycles climatiques et leurs transitions, et cela sur une très longue période passée. Ceux qui ne raisonnent que par le présent ou quelques siècles passés sont totalement dans l’erreur. Les cycles climatiques terrestres se manifestent sur plusieurs dizaines, et mêmes centaines de milliers d’années.
Le Professeur Vincent Courtillot présente une expérience capitale, évidemment totalement censurée comme il se doit dans une dictature, ce qu’est, et devient toujours plus, la France ou ce qu’il en reste.
Trois chercheurs de l’université de Grenoble ont fait des études très poussées à Vostok. Cet endroit est une station de recherche russe située en Antarctique, à une altitude de 3 488 mètres, et qui a été choisi par la possibilité de faire des forages très profonds. Dans cet endroit collaborent des scientifiques russes, américains, britanniques et français. Il a été découvert en 1996, à 4 000 mètres en dessous de cette station scientifique, un immense lac sous la calotte glaciaire antarctique d’une surface de 15 690 km². Il s’appelle le lac Vostok. Cette station de recherche détient le record de la plus basse température mesurée sur Terre : -89.2 °C. Mais les scientifiques estiment que dans l’air dépassant l’altitude de la station, la température peut descendre jusqu’à -98 °C.
Les 3 chercheurs de l’université de Grenoble menée par Jean Robert PETIT, aidés d’autres scientifiques sur place, ont procédé à plusieurs forages de la calotte glaciaire en extrayant des carottes. Le premier trou (appelé trou 3G) était de 2 202 mètres en 1984, le trou 4G de 2 546 mètres en 1990 et enfin le trou 5G en 1996 fut stoppé à une profondeur de 3 623 mètres se rapprochant grandement des eaux du lac Vostok.
On peut ainsi facilement dans ces carottes de glace, mesurer dans les bulles (de glace) et dans la glace elle-même qui permet de calculer couches de glace par couches de glace les âges différents (comme les anneaux d’accroissement des arbres), l’équipe de chercheurs a pu remonter jusqu’à 400 000 ans.
À gauche de la courbe nous sommes à – 400 000 ans, et à droite c’est le présent. Dans les bulles des carottes glacières, l’équipe scientifique à mesuré la teneur en gaz carbonique (courbe rouge sur le schéma). Dans la glace il y a aussi les isotopes (2) de l’oxygène présent dans l’eau composant les carottes des calottes glaciaires, courbe bleue sur le schéma (déjà étudié à Vostok dans les années 1970 par l’Union soviétique) qui a permis de mesurer la température. Donc, ceci se traduit par le schéma de la courbe bleue pour la température et de la courbe rouge pour le gaz carbonique. On observe ainsi sur cette courbe les ères glacières. Les périodes de chaleur et de froid alternent tous les 100 000 ans environ (le froid est en bas de la courbe et le chaud en haut comme indiqué à droite du schéma).
À noter le delta entre les maximums des périodes chaudes et froides (+4 et -10) soit 14° Celsius.
Actuellement, les courbes ci-dessus montrent sans aucune contestation que nous sortons d’une période glaciaire depuis 18 000 ans et nous montons vers une période chaude.
Des travaux plus poussés, permettant de remonter à une période d’environ 800 000 ans ont permis d’étudier les mêmes éléments. C’est ce que l’on appelle le projet EPICA. Celui-ci donne la courbe suivante :
Alors, sur la courbe ci-dessus pourquoi ne pas en déduire que le gaz carbonique qui se situe au-dessous de la courbe de l’oxygène isotopique “pousse” la température a augmenter, et que donc ainsi l’augmentation du gaz carbonique est responsable de l’augmentation des températures.
D’ailleurs, Al Gore ne s’est pas gêné pour se servir de ces courbes, dont le parallélisme entre le CO2 du bas et la température du haut marque les esprits, afin “d’expliquer” au public que le réchauffement climatique n’est dû qu’à un seul et unique élément, le CO2 et, ne s’embarrassant pas trop de détails, le seul CO2 produit par l’activité humaine. Al Gore n’étant pas un imbécile, il choisit bien ses mots afin de faire croire au public l’inverse de la réalité scientifique. L’attrait du pouvoir et de l’argent passe, pour cet homme, avant la vérité scientifique. Bon, Al Gore n’est qu’un homme d’affaires et un homme politique, et nous savons tous que dans ce milieu-là le mensonge est quotidien et ne s’arrête devant rien.
À l’époque de ces courbes, les connaissances scientifiques ont permis de les établir avec exactitude sur les observations réalisées, mais n’étaient pas suffisantes pour un affinement desdites courbes. La question était de savoir si ces deux courbes se produisaient en même temps, ou si l’une existait avant l’autre.
La réponse de l’affinement de ces courbes a été amenée par Milankovitch (1879 – 1958), ingénieur – astronomes – géophysiciens – climatologues reconnu dans le monde entier comme un des meilleurs scientifiques dans les sciences de la Terre, NASA entre autres. Milankovitch a établi ce que l’on appelle “Les cycles de Milankovitch” lesquels donnent une explication plus détaillée de ces courbes.
Les Cycles de Milankovitch expliquent que les changements orbitaux sont responsables des périodes glaciaires et interglaciaires. Les Cycles de Milankovitch concernent trois paramètres fondamentaux de la Terre. Ils sont :
- L’inclinaison, appelée aussi obliquité
- La précession
- L’excentricité
L’inclinaison (appelée aussi obliquité) varie entre 22,1° et 24,5° sur une période d’environ 41 000 ans. Elle n’a aucun impact sur la puissance totale (= énergie solaire) reçue par la Terre, même si cela affecte la répartition géographique solaire reçue par la Terre.
La précession des équinoxes n’a aucune influence sur la distance Terre-Soleil pas plus que la puissance de rayonnement solaire sur la Terre. Elle n’influence ainsi en rien la puissance totale solaire reçue par la Terre. Le changement de direction de l’axe de rotation de la Terre se fait sur une période de 25 760 ans. Voir schéma ci-dessus.
Il reste l’évolution de l’excentricité de l’orbite terrestre. Cette évolution de la forme de l’orbite terrestre va légèrement changer la puissance reçue par la Terre sur une année.
Les études de Milutin Milankovitch, élaborée en 1941, rendent compte de l’alternance des cycles glaciaires et interglaciaires durant le Quaternaire. Une glaciation se produit lorsque les hautes latitudes de l’hémisphère nord reçoivent un minimum de rayonnement solaire durant l’été.
Les glaciations sont dues à de faibles variations de l’orbite de la Terre sous l’effet des planètes du système Solaire et particulièrement des planètes géantes qui ont plus d’influence. En effet, selon la loi de Newton, si la Terre était seule dans le système Solaire, son ellipse serait circulaire. Or elle ne l’est pas. L’influence des autres planètes, par les forces d’attraction gravitationnelle, impose une modification de l’ellipse terrestre pour la rendre de forme ovale. Cela s’appelle l’effet d’excentricité l’ellipse s’allongeant ou s’aplatissant tous les 100 000 ans.
Cette modification de l’ellipse terrestre est la cause principale des quatre glaciations de 100 000 ans que nous venons de connaître successivement.
Mais attention, on représente toujours sur ce schéma, pour bien le faire comprendre, un allongement excessif de l’excentricité orbitale de la Terre, alors qu’en réalité il est très faible.
Connaissant l’évolution de l’orbite terrestre au fil du temps, on peut calculer l’évolution de la puissance moyenne reçue par 1 m² en haut de l’atmosphère.
On retrouve également ces variations climatiques dans la géologie, les sédiments. Au sud de la Sicile, la plage Punta di Maiata présente des alternances de couleurs intéressantes alternativement roses, blancs, gris, blanc, par dizaines. On sait maintenant que chacune de ces alternances de couleurs c’est la trace d’un cycle de 23 000 ans de précession des équinoxes. Quand il fait froid les sédiments sont gris, quand il fait chaud ils sont rouges. Neuf cycles sont visibles, exhibant donc l’histoire d’environ 200 000 ans.
L’affinement de ces courbes donc après les travaux de Milankovitch et les moyens techniques poussés, ont permis de voir qu’il y avait un décalage entre la courbe bleue et la rouge du schéma ci-dessus. Dans le shéma ci-dessous, la courbe de température (couleur bleue) précède la courbe d’augmentation du CO2 (couleur rouge). Le décalage de ces 2 courbes est de l’ordre de quelques siècles à quelques milliers d’années.
C’est la courbe du CO2 qui suit la courbe de température. Dans les carottes de glace de Vostok, les variations de CO2 sont la conséquence des variations de température et non pas l’inverse.
Les orbites de Milankovitch qui changent tous les 100 000 ans, changent l’éclairage de l’atmosphère, laquelle, chauffée, chauffe l’océan, lequel chauffé, ressort son gaz carbonique (et lorsqu’il refroidit le gaz carbonique rejoint l’océan).
La thèse inverse qui consisterait à dire que produire du gaz carbonique, notamment par l’activité humaine, changerait la température, laquelle température changerait l’orbite de la terre, et changerait dans la foulée également les effets de Jupiter et de l’ensemble des autres planètes sur la Terre, paraît, a priori, totalement absurde.
Les détracteurs de ces explications sont très nombreux. Pour certains ils ont sorti de nombreuses études en les interprétant ce qui aboutit à une contradiction de ce qui est expliqué dans le présent article. Pour d’autres, ils essaient de reprendre les arguments un à un du Professeur Vincent Courtillot afin de les démonter méthodiquement.
Comme d’habitude, nous sommes là dans un cas de figure bien connu en France pour ce genre d’attitude. Lors de l’épisode Covid, les détracteurs du professeur Raoult ont procédé de la même sorte, ainsi que les détracteurs et convaincus que l’homme a bien marché sur la Lune, ainsi que les détracteurs et convaincus de la bonne attitude du Maréchal Pétain, ainsi que les détracteurs et convaincus de l’attaque anglaise sur Mers el-Kébir, ainsi que……
En conclusion, votre serviteur qui essaie de raisonner dans un esprit scientifique, lequel exclut toute idée ou sentiment politique, idéologique, sentimentale, affective pour ne retenir que de froides observations et interprétations, ne peut pas affirmer que telle ou telle position et/ou démonstration est la plus réaliste. Comme dit ci-dessus, il pense que si une activité anthropique productive de CO2 pourrait augmenter légèrement la température, si un tel cas existait, il serait epsilon et passager, et n’aurait aucune conséquence majeure et alarmiste, ni immédiate, ni pour l’avenir.
Professeur Têtenlair
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1) Le Professeur Vincent Courtillot est diplômé de l’École des mines de Paris, de l’université Stanford, de l’université Pierre-et-Marie-Curie et de l’université Paris-Diderot, docteur ès sciences, Il est professeur émérite de géophysique à l’université Paris-Diderot. Il a été directeur de l’Institut de physique du globe de Paris jusqu’au 12 janvier 2011, remplacé par Claude Jaupart.
Il a enseigné à Stanford, à l’université de Californie à Santa Barbara et au Caltech. Il a été membre de l’Institut universitaire de France. Il a également exercé des responsabilités administratives (directeur de la recherche, conseiller spécial) au ministère chargé de l’enseignement supérieur, pendant le mandat de ministre de Lionel Jospin et de Claude Allègre. Référence Wikipédia.
2) La matière est faite d’atomes : hydrogène, hélium, lithium, béryllium, oxygène, et des centaines d’autres. Chaque atome se distingue par son nombre de protons, de neutrons, et d’électrons. Un isotope est un type d’atome d’un élément qui a le même nombre de protons et d’électrons, mais un nombre différent de neutrons. Les isotopes d’un élément ont les mêmes propriétés chimiques, mais des propriétés physiques ou nucléaires différentes.
Suivre @ChrisBalboa78
2 Réponses à “La plus grande arnaque du siècle ?”
Je suis certains qu’aucun ecolos bobos n’a lu ce genre de rapport scientifique, de pres ou de loin,
ce qui n’empeche pas ces imbeciles de faire de la pseudo science, pourtant refusé par 35 000 scientfique ( des vrais ceux là )
qui n’approuvent pas les rapport du giec par trop orientés et surtout trop peu scientifique.
L’ecologie comme ils la font n’est qu’un moyen pour contraindre les peuples et le dominer, les faire payer, c’est pourquoi le refus d’ecouter ceux qui apportent de reelles preuves du contraire et de debattre vraiment.
La politique s’encanaille et descend bien bas.