Ligue des droits de l’homme ou
de défense des islamistes ?

Publié par le 4 Jan, 2021 dans Blog | 3 commentaires

Ligue des droits de l’homme ou de défense des islamistes ?

Entre autres calamités, François Mitterrand nous a laissé la retraite à 60 ans et une économie exsangue après trois dévaluations successives.

Mais il a également mis le pied à l’étrier à de nombreuses associations soi-disant anti-racistes, comme par exemple SOS Racisme ou la LICRA qui, en fait, étaient des officines plus au moins proches du Parti socialiste.

Ces associations ont fait, de la surveillance des pseudo-dérapages des personnalités de droite, un business juteux ! Avec la complicité de certains juges.

Voici un article du Figaro Magazine signé Judith Waintraub qui dénonce la perversion d’une association comme la Ligue des droits de l’homme (LDH) :

Le naufrage de la Ligue des droits de l’homme

Passée de la défense du capitaine Dreyfus à celle du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), l’association est devenue une alliée des promoteurs de l’islam politique.

Judith Waintraub

Le dernier fait d’armes de la Ligue des droits de l’homme résume à lui seul sa dérive : elle a porté plainte contre une prof d’université menacée de mort sur les réseaux sociaux pour avoir qualifié sur le ton de l’humour l’islam et le judaïsme de « religions sexuellement transmissibles » – on naît musulman par son père et juif par sa mère. « S’en prendre auxreligions n’est pas punissable, et c’est heureux, mais là, vu la brutalité du propos, on passe à un autre stade », a expliqué le président d’honneur de la LDH, Michel Tubiana. Lors de la dissolution du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF), début décembre, la Ligue s’était déjà distinguée en accusant le gouvernement de « conforter l’idée que ce sont bien toutes les personnes musulmanes qui sont ici mises en cause ».

Sa dérive a commencé au début des années 1990, quand l’historienne Madeleine Rebérioux en a pris la présidence. L’association fondée un siècle plus tôt pour défendre Dreyfus, après bien des conflits internes, a alors mis toute son autorité morale au service de mouvements d’extrême gauche dont elle a épousé les combats anticapitalistes, anticolonialistes ou propalestiniens.

La conversion à l’islamo-gauchisme n’est que la suite logique de cette évolution. Dès 1995, quand Jean-Louis Debré, à l’époque ministre de l’Intérieur, a interdit Tariq Ramadan de séjour pour « menace à l’ordre public », la LDH a pris fait et cause pour le prédicateur suisse. Vingt ans plus tard, Michel Tubiana a partagé avec lui la tribune d’un meeting organisé à Saint-Denis contre l’état d’urgence, décrété après les attentats islamistes du 13 Novembre. « Le 13 Novembre est un prétexte pour engager la guerre », y a affirmé Ramadan pas encore accusé de viol. Cette thèse d’une « guerre aux musulmans » que mènerait la France a servi de fil conducteur aux principaux engagements de la LDH ces dernières années, jusqu’à devenir son obsession quasi unique. En 2006, si elle reconnaît que l’enseignant Robert Redeker ne doit pas être menacé de mort pour avoir pris la plume dans Le Figaro contre les « intimidations islamistes », elle lui reproche surtout « un discours haineux et de nature à porter atteinte à la paix civile ». En 2010, elle s’oppose à la loi d’interdiction de la burqa dans l’espace public. En 2016, quand les burkinis font leur apparition dans les piscines municipales, la LDH invoque la défense des « libertés publiques » pour attaquer devant le Conseil d’État les élus qui veulent les en chasser.

Le 16 octobre dernier, jour de l’assassinat de Samuel Paty, le journaliste Mohamed Sifaoui, auteur de nombreuses enquêtes sur les Frères musulmans et sur al-Qaida, révèle sur son compte Twitter une proposition de tribune envoyée par la LDH à plusieurs associations. Emmanuel Macron y est accusé d’ouvrir la voie « à la stigmatisation d’une partie de la population » avec son projet de loi pour lutter contre les séparatismes, qui risquerait de « faire d’une partie de la population, celle de culture et de religion musulmane, ou perçue comme telle, les potentiels porteurs des pires dérives allant jusqu’aux plus mortifères d’entre elles ». Les signataires ont l’intention de demander au président de renoncer à son projet, mais ils remballent leur texte quand ils apprennent la décapitation de l’enseignant et appellent à la place à manifester contre l’« obscurantisme » et le « terrorisme ».

Marche contre l’islamophobie

La LDH ne nomme l’islamisme que pour regretter que « l’assimilation de la pratique de l’islam à ce qu’il est convenu d’appeler “l’islamisme politique“ laisse croire à un lien indissoluble entre la religion musulmane et une norme politique qui nierait la séparation entre les Églises et l’État ». En revanche, les responsables de l’association usent volontiers du concept d’« islamophobie » quand il s’agit de défiler pour la dénoncer, comme lors de la « Marche contre l’islamophobie » de novembre 2019. La LDH a même éprouvé le besoin d’exprimer sa réprobation contre la Lettre aux escrocs de l’islamophobie écrite par Charb, en expliquant qu’elle ne partageait « en rien les thèses sur l’antiracisme et la laïcité de l’ex-directeur de la publication de Charlie Hebdo », mort en 2015 dans l’attentat islamiste contre son journal.

Au cas où une ambiguité aurait subsisté …

Judith Waintraube pour Le Figaro Magazine.

Après lecture de cet article, je propose de débaptiser la LDH en LDI : Ligue de Défense des Islamistes.

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3 Réponses à “Ligue des droits de l’homme ou
de défense des islamistes ?”

  1. Ces associations indignes qui se cachent derriere de belles paroles, qui nie effrontement le racisme anti blanc, apres des discours vertueux, demontre la pleine hypocrisie du systeme mis en place.

    A l’aide de merdias corrompus, et de zozos, ces associations s’insinue dans toutes les failles de notre sosciéte et dans les lachetés des politiciens.

    Sans cette lacheté politique, ces associations soi disant vertueuses devraient fermer…

    Les zozos qu’ils ont mis a la tete de ses officine de la goche militant, lgbdt- et + et pro islam, sont les idiots utilise de la pseudo bien pensance.

  2. Victoria Dupont dit:

    Il faut supprimer toutes subventions

  3. Discours vertueux? discours totalitaire, oui ! Si vous n’approuvez pas, si vous émettez le moindre doute la moindre contradiction, vous êtes raciste !

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