Le délire covidiste, simple dérive du libéralisme ?

Publié par le 24 Avr, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Le délire covidiste, simple dérive du libéralisme ?

Sans plus d’introduction, je vous livre une thèse soutenue par Pierre Le Vigan dans le Saker francophone.

En résumé : « le libéralisme va désormais beaucoup plus loin, et il se retourne contre les libertés, ce qui explique que les vieux libéraux, contrairement aux néolibéraux ne reconnaissent pas leur enfant. »

Même si je n’adhère pas totalement à cette thèse, elle me semble intéressante et propre à ouvrir les réflexion et le débat sur cette pandémie et sa gestion par les pays libéraux.

Délire covidiste (ou climatique),
fluidification de la société,
décontraction de l’homme

© KAK – L’Opinion

Depuis Le Grand Empêchement est intervenue l’organisation d’une panique collective à partir d’un virus transgenre (le covid devenu la covid, le virus devenu la maladie alors que le virus ne tue que très rarement sans comorbidité), un fort peu létal et à l’origine discutée (humaine ? animale ?)1.

S’en est suivi une folie d’enfermement à l’intérieur des populations (dit confinement), de couvre-feu, des obligations vaccinales sans cesse répétées et renforcées, et dont l’inefficacité est flagrante (le « vaccin », qui n’en est pas un, mais est un produit à ARN ou à OGM, n’empêchant ni d’être contaminé ni de contaminer les autres), ainsi qu’un fichage et flicage numérique généralisé.

Cela confirme l’existence d’une nouvelle étape du libéralisme, et accélère celle-ci. Délire covidiste par la production d’un récit hallucinatoire, tétanisation par les mesures dites anti-covid généralement d’une totale irrationalité (ne pas se promener en forêt…), faux vaccins, vraie sidération du peuple, vrais profits et authentique connivence oligarchique : tout cela forme un tout.

Le libéralisme voit ses limites : il ne fait pas demi-tour, il repousse les limites. Le libéralisme est fondé sur une erreur d’analyse anthropologique. Il suppose que l’homme n’est qu’un être d’intérêt. Or, ce n’est qu’en partie le cas. Mais le libéralisme va désormais beaucoup plus loin, et il se retourne contre les libertés, ce qui explique que les vieux libéraux, contrairement aux néolibéraux (de même que l’on parle des paléo-conservateurs par opposition aux néoconservateurs) ne reconnaissent pas leur enfant. C’est pourtant le leur. Plus il y a de dépolitisation et de technicisation soi-disant « neutre », plus il y a de mesures liberticides dans nos sociétés.

Le libéralisme ultime a compris son erreur d’analyse. Il ne veut pas revenir sur son erreur mais corriger sa méthode. Il veut plus de passage en force. Plus de violence antisociale. Et il veut la liquidation des évolutions correctrices, que ce soit la retraite des vieux travailleurs de Pétain ou le programme du Conseil National de la Résistance. Contre ce qui a pu être le meilleur de la droite et le meilleur de la gauche, le libéralisme veut imposer le pire du règne de l’argent-roi.

Voilà le constat que fait le libéralisme : l’homme résiste à l’anthropologie libérale. Le musulman consommateur de séries américaines reste musulman. L’hindouiste reste hindouiste. Le libéralisme est donc devenu constructiviste. Et même ultra-constructiviste, comme le communisme soviétique, avec plus de moyens que n’en avait Staline. Explication. Puisque l’homme n’est pas interchangeable dans une société normale, il faut le rendre interchangeable. Il faut changer ce qui est normal (la norme). Il faut déconstruire l’homme normal, c’est-à-dire différencié selon les sexes, les cultures, les héritages de civilisation, pour le rendre homogène, fluide, et en faire une farine dont on puisse faire ce qu’on veut, créant de micro-niches de consommation, mais aussi une masse manipulable qui l’on puisse affoler nerveusement par le contrôle des médias, par des injonctions contradictoires, par le terrorisme mental. Une masse que l’on puisse faire courir dans un sens ou dans un autre. Une « grande ferme » orwellienne des animaux humains.

Quelques décapitations aussi terribles que médiatisées nous font oublier :

  1. que, historiquement, la guillotine était considérée comme partie intégrante des conditions de défense de la République en 1793-94,
  2. que nous sommes tous voués par le pouvoir profond (l’oligarchie) à être transformés en « canards sans tête » qui continuent à courir mécaniquement, objet de l’organisation du « progrès fébrile de la bêtise humaine » dont parlait déjà Karl Kraus en 1909.

Le libéralisme veut des canards sans tête

Tout ce qui est pensé échappe au rien. « Penser et être : une même chose », dit Parménide (Hermann Diels et Walther Kranz, fragm. 8, 34-6). C’est pourquoi penser le rien (comme j’ai essayé de le faire dans Achever le nihilisme, Sigest, 2020), c’est déjà nier le nihilisme. Mais le libéralisme ne veut pas que nous pensions. Il ne veut pas que nous soyons conscients du rien dans lequel il nous précipite, avec la « netflicisation » de nos imaginaires. Le libéralisme ultime veut donc nous reprogrammer. Il s’agit pour lui de déconstruire ce qui reste de l’homme normal, qui était un être de transmission, pour reconstruire un homme nouveau, transgenre bien entendu, mais aussi transnational et transreligieux.

L’identité de cet homme nouveau consistera justement à ne plus avoir d’identité, à pouvoir opter indéfiniment pour des identités nouvelles et transitoires, toujours réversibles. C’est ainsi que l’on en arrive à définir, avec Sandrine Rousseau (un nom et un prénom très français de souche pourtant) les femmes comme « personnes en capacité de porter un enfant ». On se demande quel nom faudra-t-il donner aux femmes de plus de 49 ans ?

La fin des identités collectives et des « grands récits ».
Le refuge dans des micro-identités

Alors, vivons-nous la fin des identités ? Oui et non. Oui, les identités transmissibles, culturelles tendent à être éradiquées et à être ramenées à des versions simplifiées : un islamo-mondialisme s’instaure à la place de l’islam traditionnel ou plutôt, des islams traditionnels, un occidentalo-mondialisme monte à la place de ce que l’on appelait Occident dans les années 1920 et 1930 (avec des interprétations différentes du reste). C’est sous cet angle que le grand remplacement doit être vu, et qu’il existe comme corollaire du grand effacement des mémoires et des transmissions : il s’agit de ne garder que des religions sans culture, des langues sans culture, des « peuples » muséifiés sans culture, des décors de théâtre sans culture (voir ce que sont devenues les villes « d’art et d’histoire », et écoutons ce que dit Nicolas Bonnal de Tolède). Il s’agit d’être fluide. Soluble comme du café soluble.

Le libéralisme et la fin des identités collectives

Nous ne vivons pas la fin des identités au sens où tout doit être bagué, pucé, numérisé : nous-mêmes, les animaux, le vivant, et même l’inerte. Mais nous vivons le travestissement des identités car leur fichage les réduit à de l’identité morte. C’est le grand référencement de tout. Dans la logique du libéralisme, c’est justement parce que tout est susceptible de changer, d’être changé, ce qui n’était pas le cas au temps de Carl von Linné, que tout doit être référencé, pour que ces changements soient tous contrôlés. On identifie par une référence ce qui n’a plus d’identité indiscutable.

L’identité humaine au sens d’Aristote et de Hannah Arendt, c’est-à-dire l’homme comme animal social et politique, est donc effacée et remplacée par des identités attribuées par le libéralisme ultime, qui devient un totalitarisme extrême. La raison en est que le libéralisme veut désormais produire (ou construire) l’homme conforme à sa théorie. Or, la théorie libérale suppose l’homme interchangeable. C’est pourquoi il ne faut lui laisser comme identité que son identité numérique, permettant de le contrôler, de l’asservir, de lui donner, via par exemple le revenu universel, des droits sous contrôle, une citoyenneté « à points », en fonction de son degré d’alignement sur le modèle désormais « normal » : la fluidité identitaire dans laquelle la notion de vrai, d’authentique, de juste et d’injuste a perdu toute signification. Ce que vise le libéralisme, c‘est la réversibilité de tout par la fluidité identitaire. Ce qui veut dire qu’un homme pourrait devenir une femme, un blanc devenir un noir, et réciproquement, ou n’être ni l’un ni l’autre. Fluidité identitaire et, en même temps, « dictature des identités »  comme dit Alain Finkielkraut, au sens où les identités sont ramenées à « être blanc », ou « être femme », ou « être une lesbienne ». Assomption de micro-identités hystériques qui se traduit par la revendication de réunions non mixtes (sans blancs, ou sans hommes, etc), par le wokisme, véritable religion de substitution (comme quoi nous sommes toujours dans l’âge du théologico-politique), c’est-à-dire sur-attention délirante à tout ce qui serait discrimination, y compris dans le simple fait de nommer les choses comme elles sont ou les gens tels qu’ils sont. Hypersensibilité généralisée à toutes les différences qui pourraient exclure. « La surenchère perpétuelle transforme le souci des victimes en une injonction totalitaire, une inquisition permanente », disait René Girard. Il s’agit de savoir qui est le plus à plaindre : c’est la compétition victimaire de tous contre tous.

Surenchère victimaire et suppression des différences

Pour éviter toute « discrimination » (devenu un mot-valise), se fait jour l’idée qu’il faut une égalité parfaite entre tout et tous. Alain Finkielkraut note : « L’individu démocratique, érigeant l’égalité comme finalité de l’action politique, non seulement ne supporte plus l’inégalité, mais considère la moindre différence comme une offense. Même si l’égalité semble réalisée, l’apparence d’une inégalité injurie en quelque sorte la conscience collective. Ainsi, il n’est plus question de veiller au respect de l’égalité, mais de scruter ce qui pourrait représenter une esquisse de divergence, jugée forcément discriminante »(Conversations Tocqueville, 17-18 septembre 2021). Ce wokisme est dans le droit fil de la cancel culture, qui est la liquidation de tout ce qui liait la culture à des transmissions.

Les identités deviennent à la fois choisies, transitoires, transparentes (pas question de ne pas faire son « outing ») et surdéterminantes. Choisies : ce ne sont pas les plus fragiles des identités. Mais à condition de ne pas changer tout le temps de choix. A condition que ce choix soit un vrai engagement. On se construit et on se choisit : c’est exact, mais ce n’est pas à partir de rien. Le nihilisme contemporain réside en cela : dire que l’on construit à partir de rien. Alors, il y a l’hypertrophie d’identités factices. Identités réduites à celles de « racisés » dans le jargon des wokistes, tristes identités numériques pour ceux qui n’existent qu’en fonction des réseaux sociaux.

Déconstruction des identités nationales mais assignations aux identités de genre ou de race

Prenons conscience de ce paradoxe : au moment où la notion d’identité est déconstruite, devient réversible et sans héritage et à multiples options (raciales, sexuelles, etc), cette notion d’identité renaît sous la forme d’une assignation identitaire d’une pauvreté existentielle difficilement imaginable. Un noir est ainsi censé s’identifier à un descendant d’esclaves, en oubliant que bien des esclavagistes ont aussi été noirs. Plus encore, des réunions non « mixtes » sont censées être nécessaires pour éviter tout regard infériorisant, toute discrimination, en oubliant que même entre noirs, même entre gays, même entre lesbiennes, la crainte des différences pourra toujours trouver à s’alimenter : pourront être hiérarchisantes les différences de physique (les plus ou moins beaux, les plus ou moins gros), de mental (les plus ou moins intelligents), de milieu social (les plus ou moins aisés), etc.

Le processus de non « mixité » pour éviter les sentiments d’infériorité est donc sans fin et ne peut aboutir qu’au solipsisme, seule solution pour éviter le regard des autres. La cancel culture (culture de l’annulation de tous les héritages culturels) et le wokisme (suspicion paranoïaque visant toutes les différences susceptibles d’être des supériorités) s’apparentent donc à une « destruction de la raison » (Georg Lukacs), ou, au moins, à une « éclipse de la raison » (Max Horkheimer), en allant encore plus loin que l’irrationalisme des années 1920 et 30. C’est une intolérance à l’intelligence qui est promue et devient obligatoire, afin de tout aligner par le bas. Intolérance à l’intelligence dont le revers est une tolérance infinie à la bêtise. « La tolérance atteindra un tel niveau que l’on interdira aux personnes intelligentes d’émettre des réflexions pour ne pas offenser les imbéciles », dit Mikhaïl Boulgakov. Nous en sommes là. C’est pourquoi il est temps de redonner ses droits à la raison, rien que sa place, mais toute sa place.

Lutter pour les libertés – Se libérer de la sidération totalitaire

C’est pourquoi la lutte pour les libertés supprimées par le pouvoir au nom de l’idéologie covidiste (qui est : il n’y a pas d’autre alternative face au virus, indéfiniment vigoureux et mutant, que le « vaccin » et les mesures coercitives comme le confinement, le couvre-feu, le passe, le masque, la revaccination perpétuelle) et demain au nom d’autres idéologie, comme le « réchauffisme » ou le « dérèglement » climatique (comme si la nature avait jamais obéi à un quelconque « règlement ») est la condition première de la survie mentale et morale de notre peuple.

Car il s’agit bien pour le pouvoir totalitaire du libéralisme ultime de nous précipiter dans le puits sans fond de la non-pensée, du non-esprit, de la fin de la littérature écrite, de la numérisation de tout. De nous précipiter dans le nihilisme. Car tuer l’humain n’empêche pas, bien au contraire, la marchandisation de toute la terre. C’est même ce qui la facilite. Dans le monde du libéralisme terminal, l’individu tout comme le collectif sont morts. C’est le libéralisme de la dernière marche.

La tyrannie vaccinale est au bout de tout un travail de sidération mentale, en filiation directe, mais en plus sophistiquée, d’Edward Bernays, fondateur de la propagande moderne dés 1916, sidération qui laisse chacun seul face à l’Etat (État à la fois tyran et nounou abusive : Big mother) et face aux GAFAM.

Faire face au désarmement de nos âmes

Bilan : après le « désenchantement du monde » (Max Weber), le désarmement de l’âme de l’homme. Allan Bloom parlait de « L’âme désarmée » dans un « essai sur le déclin de la culture générale », sous-titre qui vaut la peine d’être cité car il indique bien comment la sidération progresse : par l’inculture, aujourd’hui par l’oubli de ce que le covid est l’un des moins graves des virus ayant existé, de ce que le climat a tout le temps changé (Emmanuel Leroy-Ladurie)2, etc.

Sous le flux de trop d’informations et de fausses informations, l’intelligence humaine est tétanisée, et les débats sereins deviennent impossibles par diabolisation des pensées dissidentes. Au bout du compte : le repli sur soi de chacun, l’enfermement dans sa bulle. « Ce ne sont pas des communautés rassemblant des individus, mais des clans composés de particules de foule. On n’y trouve pas des semblables, mais des hologrammes, pas de différences mais des doublons, pas d’altérité, mais de la mêmeté », écrivent Ruben Rabinovitch et Renaud Large (Le Figaro, 18 septembre 2021). On ne peut mieux dire.

Refuser le règne des âmes froides, affirmer la chaleur des liens

Notre avenir vu par l’oligarchie, c’est un monde entièrement digitalisé. Des âmes froides et mortes. « La véritable fin du monde est l’anéantissement de l’esprit », disait Karl Kraus. C’est la question essentielle : si l’homme est robotisé comme nos maîtres le souhaitent, il n’y aura plus aucune lutte possible, ni contre le grand remplacement (démographique), ni contre le grand effacement (de notre histoire). Pas non plus de lutte contre la grande expropriation, celle des classes moyennes. Le libéralisme aura tout horizontalisé. Les pays bas pour tous.

Pierre Le Vigan pour le Saker francophone.

Derniers livres de l’auteur : Eparpillé façon puzzle (Libres, 2022), La planète des philosophes (Dualpha, 2022), Métamorphoses de la ville (La barque d’or, 2021).

Notes

  1. Plus grand monde parmi les scientifiques ne défend la thèse de l’origine animale. ↩
  2. ce qui n’exclut pas une influence humaine, mais devrait amener à être attentif à d’autres facteurs. ↩

3 Réponses à “Le délire covidiste, simple dérive du libéralisme ?”

  1. J’ai rarement lu autant de bêtises sur le libéralisme, c’est affligeant.

  2. L’OMS veut un impôt inter-pandémies avec vaccinations obligatoires
    https://ripostelaique.com/loms-veut-un-impot-inter-pandemies-avec-vaccinations-obligatoires.html

    L’affaire est gravissime, et ses conséquences sont pour dans quelques mois. Elles permettront d’interdire toute action, toute manifestation contre le Nouvel Ordre Mondial en volant au secours des gouvernements pourris, comme en France.

    On connaissait le vocable de « l’entre-deux guerres », il faudra désormais compter avec celui « d’inter pandémies ».

    Sauf si enfin les peuples daignent se mobiliser pour fuir au plus vite l’Union européenne des non moins pourris.

    Tel est le projet déjà très avancé de l’Organisation Mondiale de la Santé, financée par l’eugéniste auto-proclamé, Bill Gates et dirigée par le sinistre et arrogant Tedros Adhanom Ghebreyesus. Lequel refuse les invitations à venir s’expliquer, lancées par des députés européens.

    Tout est prévu dans un document de 32 pages pour le plus grand profit des laboratoires pharmaceutiques et au détriment de la santé et des libertés des populations. En langage totalitaire, ça se traduit par la mention « textes juridiquement contraignants ».

    Sauf que les contraintes sont seulement imposées aux cobayes et esclaves humains, car le texte de l’OMS prévoit qu’aucune mesure de contrôle ne doit entraver le travail des chercheurs pour modifier génétiquement les organismes pour atteindre une présumée immunité collective (hommes et animaux compris).

    Pour tout comprendre ce qui se trame, alors que beaucoup de Français voudraient oublier la manipulation Covid sur leur liberté d’aller et venir, la terrible vaccination et ses effets secondaires, il faut regarder la vidéo ci-dessous « Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger ». Elle est animée par la députée européenne Virginie Joron, du groupe Identité & Démocratie.

    Conférence “Le Traité de l’OMS sur les pandémies : Nos libertés en danger…

    La députée italienne, Francesca Donato, lit l’inacceptable projet de l’OMS :

    « avec ce traité, la question de la souveraineté nationale sur les questions de santé sera définitivement bridée, toutes les décisions politiques seront prises en effet par le COP, organe direct de l’OMS car il n’y a pas de principe de consensus à la base ».

    Six autres députés interviennent, ainsi que quatre experts de CHD Europe.

    Sur l’affaire du Covid, tous dénoncent des campagnes de peur orchestrées par l’OMS, comme pour toutes les précédentes soi-disant pandémies.

    Ils dénoncent la modification de la définition même d’une pandémie et la dramatisation de tout symptôme ordinaire dans d’autres affections.

    Ils dénoncent les copiés-collés de la propagande, la suppression de toute forme de dialogue et l’interdiction de l’accès à toutes le personnes qui avaient un avis autre.

    La notion de mortalité a également été modifiée et les autopsies ont été supprimées. Ce qui permet d’attribuer fallacieusement et abusivement des milliers de décès à l’aubaine des covidistes.

    « Avec la pandémie, vous avez un pouvoir sur la peur de millions de personnes, très supérieur à celui d’une guerre ».

    « La pandémie est un outil de pouvoir qui sera utilisé à nouveau (intervention d’un député croate).

    Pour un autre député croate, Mislav Kolakusik : « l’alternative est aussi simple que cela : la liberté ou l’esclavage ».

    À partir de la 33’, l’expert Wolfgang Wodarg, montre des visuels « Qui est qui » à l’OMS. « Nos institutions sont profondément corrompues » et tout est organisé pour « que personne ne sache qui est responsable ».

    Ndlr JC : ce qui n’est pas sans rappeler la nébuleuse du nazisme qui impliquait toutes les forces de sécurité et du maintien de l’ordre traditionnelles.

    Cette « forteresse imbriquant » aussi la SS et le service de renseignement était, à dessein, d’une telle complexité administrative « que les autres corps de l’État arriveront rarement à la percer »

    Une vue montre la complexité du système de communication et l’organisation en vigueur à l’OMS.

    Une deuxième montre des moutons blancs intègres et des moutons noirs corrompus, « mais quand les enjeux financiers deviennent important, il n’y a quasiment plus que des moutons noirs ».

    Les moutons blancs deviennent des lanceurs d’alerte, sont punis et pourchassés.

    Les autres visuels sont tout aussi accablants, notamment celui de la succession filiale du lobby, par coup de pouce dans les études et les emplois.

    L’infographie des législateurs internationaux, auxquels l’OMS fixe les normes et les règles, est éloquente (à 43’27).

    Le médecin David Bell, qui revient sur la création de l’OMS en 1946, concomitamment au procès US de Nuremberg, note l’approche verticale de la santé par l’OMS.

    Sur le budget: « Les choses ont commencé à changer il y a une vingtaine d’années ». Un camembert de répartition détaille les « contributions spécifiées ».

    « Le bailleur donne de l’argent pour un projet spécifique à un endroit. L’OMS ne prend donc plus de décisions elle-même ». Voir le tableau des financeurs, où Bill Gates figure en deuxième position (à 1h02’). GAVI en 5e place.

    Le Dr Bell met en garde sur cet état de fait : « si les gens ne réagissent pas ».

    Rappel important de Virginie Joron :

    « le président du conseil d’administration de GAVI (alliance pour la vaccination dont Covax) est José Manuel Barroso l’ancien président de la Commission européenne pendant 10 ans).

    Au vu de l’implication de l’Allemagne dans l’OMS, il ne serait pas surprenant que la corrompue Ursula von der Leyen y soit recyclée, puisqu’elle dément ambitionner la présidence de l’OTAN.

    https://www.gavi.org/fr/gouvernance/conseil-d-administration/membres/jose-manuel-barroso

    https://www.gavi.org/fr/facilite-covax

    Le Dr Silvia Behrentd a donné une considération juridique : « c’est à vous de donner l’alarme si les lois sont utilisées comme outil pour violer la dignité humaine ».

    Les mesures coercitives pendant le Covid ont été mises en œuvre principalement par l’exécutif et dirigées par la seule autorité de l’OMS: « au fi du contrôle démocratique dans le monde entier ».

    Le Dr Silvia Behrentd estime : « qu’il est de notre de devoir de commencer à enquêter afin de savoir quelles sont les causes et dénoncer quels sont les véritables pouvoirs qui se cachent derrière l’OMS ».

    Conclusion de l’avocat suisse, Philipp Kruse :

    « j’ai déposé une plainte contre Suisse Médic qui est l’autorité suprême dans la sûreté des produits médicamenteux.

    Nous avons intenté cette action parce que des essais avec des produits expérimentaux on été menés…cette pandémie a été caractérisée par une très mauvaise gestion de la santé publique internationale sous l’égide de l’OMS par une poignée de personnes non fiables et non élues.

    Leurs recommandations ont été adoptées par tous les États membres comme s’il s’agissait d’un code des meilleures pratiques juridiquement contraignantes, ce qui a conduit à une uniformité dans presque tous les pays pour les confinements et autres mesures négatives ».

    L’aveuglement sur la question de l’origine du Covid est pointé par l’avocat.

    « L’essentiel est de se pencher sur la question des normes des contrôles de qualité ».

    Sauf que le projet de l’OMS : « prévoit de lui donner encore plus de pouvoir et de limiter la souveraineté et les pouvoirs des Etats membres ».

    « Vous pourrez trouver très facilement sur internet ses propositions sur les amendements du règlement sanitaire international et le projet Zéro de l’OMS. En Suisse, nous constatons ce que le gouvernement essaie de cacher aux gens et aux membres du Parlement… »

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