Le lobby LGBT au travail pour faciliter l’adoption gay !

Publié par le 1 Mai, 2019 dans Blog | 0 commentaire

Le lobby LGBT au travail pour faciliter l’adoption gay !

Pas facile pour le Conseil de famille, la commission chargée de trouver ue famille aux enfants en attente d’adoption, de porter leur choix sur un couple homosexuel. Le seul critère étant de « trouver la famille qui convient le mieux à chaque enfant », comment démontrer qu’un couple homo sera plus adéquat que les couples hétérosexuels, bien plus nombreux, en attente d’un enfant à adopter ? Seuls les membres du lobby LGBT peuvent penser que le choix devrait être indifférent.

Mais ce lobby puissant est au travail auprès de la majorité pour forcer la main de ce Conseil de famille ! Il s’agirait sans doute d’établir des quotas (un couple homo tous les « n » couples hétérosexuels !)

Ce serait alors le triomphe du droit à l’enfant sur le droit de l’enfant !

Voici un article extrait du dernier Bulletin d’André Noël qui traite de ce sujet :

Le gouvernement veut faciliter l’adoption par les « couples » homos

On nous avait dit que les hétérosexuels n’avaient pas à se plaindre du « mariage » des homosexuels qui ne leur portait pas préjudice. Ce n’est pas vrai, ne serait-ce que parce que toute loi qui viole le droit naturel affecte la société dans son ensemble et l’affaiblit. Mais il est, plus précisément, un domaine dont les hétérosexuels sont des victimes collatérales, c’est celui de l’adoption.

En effet, depuis le vote de la loi Taubira, nombre de pays, dont la Russie, refusent que leurs enfants soient adoptés par des homos et, en conséquence, bannissent de toute adoption les Etats où le « mariage gay » sévit, sachant que, pour les enfants étrangers, les associations agréées pour l’adoption doivent appliquer la loi française – bien illustrée dans la plupart des séries télévisées – et non celle du pays d’origine.

Ainsi les couples normaux sont atteints, car il y a un fort déséquilibre entre le nombre de familles en attente d’un enfant – 14.000 bénéficient actuellement d’un agrément –, et le nombre d’enfants qui sont adoptables chaque année en France soit 2.600 actuellement.

Adrien Taquet

Et cette « concurrence » ressurgit aujourd’hui à la faveur de mesures que doit lancer le secrétaire d’Etat à l’enfance, Adrien Taquet, visant à « mieux encadrer le choix de la famille adoptante d’un enfant. » Ce qui est étonnant au premier abord car rien n’est plus encadré en France que l’adoption et les couples qui ont dû en passer par là vous diront que c’est un vrai parcours du combattant qui peut prendre au minimum quatre ou cinq ans sans garantie du résultat, après enquêtes, tests, examens multiples. Mais si le gouvernement croit devoir en rajouter, c’est sur la pression du lobby gay LGBT qui prétend que les homosexuels sont discriminés. Le gouvernement les a entendus et approuvés puisqu’il entend y mettre fin.

Comment ? C’est là que l’affaire se complique, si l’on ne veut pas mettre en cause la liberté du Conseil de famille qui a la charge de « l’apparentement », c’est-à-dire trouver le couple qui accueillera l’enfant. Placé sous l’autorité du préfet, le Conseil est formé de pupilles de l’Etat, des associations de familles (UDAF) et d’anciens adoptés et adoptants. Sa décision est souveraine avec ce seul critère « trouver la famille qui convient le mieux à chaque enfant », selon Nathalie Parent, présidente d’Enfance et famille d’adoption. C’est là que le bât blesse ! Car pour parler de « discrimination, » il faudrait établir que, pout tel enfant, l’accueil par un « couple » homosexuel serait ce qui lui « convient le mieux. » Au nom de quoi ? De quel critère ? D’autant que ce serait préférer cette « solution » au recours à un couple traditionnel qui, a contrario, ne serait pas pour l’enfant ce qui conviendrait le mieux.

Autrement dit, un couple hétéro ferait de bons parents mais un « couple » homo ferait de super parents ! Nombre de Conseils de famille n’arrivent pas à cette impossible démonstration, car ce qui prévaudrait, c’est le droit à l’enfant et non pas le droit de l’enfant ; il s’agirait de satisfaire d’abord le désir de maternité ou de paternité des homosexuels et non d’assurer le bien-être supérieur de l’adopté.

Que faire pour « encadrer », c’est-à-dire, en réalité, contraindre, le Conseil de famille à favoriser l’adoption par des « couples » homos, car cela revient à ça. On a songé à l’anonymat des dossiers, de telle façon qu’on ignore le sexe des candidats à l’adoption (que l’on peut toutefois déceler s’il s’agit de deux prénoms masculins ou féminins). Peu efficace et, semble-t-il, abandonné. Le plus simple : par ordre d’arrivée, l’enfant irait aux plus rapides ! L’adopté est ainsi l’objet d’une course contre la montre : c’est peu digne.

Si bien qu’on s’achemine vers une troisième possibilité, probablement retenue, à savoir la signature par les Conseils de famille d’une Convention sur ce thème avec l’Inspection des affaires sociales (Igas) dont on ne connaît pas le contenu et qui verrait le jour en juillet prochain. Pas besoin de beaucoup d’imagination pour se rendre compte que l’on s’achemine vers un système de quotas au bénéfice des « couples différents », selon l’euphémisme en vigueur.

Rappelons qu’Adrien Taquet est chargé, au sein du gouvernement de la protection et de la défense des enfants … !

Il y a de quoi rire ! Ou bien pleurer !

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