Le progressisme est-il suicidaire ?

Publié par le 22 Mar, 2023 dans Blog | 1 commentaire

Le progressisme est-il suicidaire ?

Beaucoup de mouvements dont le nom se termine en « isme » ont fini dans le sang et la déchéance.

Le communisme, qui partait d’une belle idée, celle de l’égalité et du partage, a sombré après avoir causé la mort de millions de personnes.

Je n’ai pas trouvé d’idée noble à associé au fascisme et au nazisme mais ces idéologies ont également très mal fini.

Le communisme était dangereux parce que, partant d’une idée humaniste, il pouvait facilement rallier des militants et séduire de bonne foi les foules.

Comme le communisme, le progressisme se réclame du Camp du Bien et, à ce titre, présente le même danger potentiel.

Déjà les dérives de cette idéologie font des ravages dans la société :

  • Le mondialisme qui aboutit à la destruction de la nation et de son identité,
  • Le racialisme qui ramène tout à la race en opposition frontale avec l’universalisme de notre civilisation,
  • La dictature des minorités qui détruit la cohésion sociale de la nation,
  • La théorie du genre folle furieuse qui s’attaque maintenant à nos enfants,
  • La diabolisation de tout ce qui ose se situer à droite de l’échiquier,
  • etc … etc …

La théorie du genre est probablement le danger le plus immédiat engendré par le progressisme.

La lettre confidentielle de Valeurs actuelles a dénoncé le combat contre l’hétérosexualité mené notamment dans les colonnes du Monde, quotidien du soir de référence … du progressisme et de lui-seul :

Le Monde s’oppose à l’hétérosexualité

Le Monde ne s’en cache même plus. Le quotidien fustige la figure du couple hétérosexuel, considéré comme une « norme tenace ». Il regrette que l’hétérosexualité ait subsisté au mouvement #metoo et plus largement au féminisme contemporain. Il déplore qu’il s’agisse encore d’« un horizon rêvé pour les adolescents ». La conjugalité hétérosexuelle y est décrite comme un modèle à combattre.

Afin de prouver le sérieux de son analyse, le Monde a interviewé Isabelle Clair, sociologue à l’origine de l’ouvrage les Choses sérieuses, enquête sur les amours adolescentes. On apprend notamment que la complémentarité des sexes, loin d’être une réalité pour la sociologue, ne serait qu’une « idée supposée ».

L’occasion par ailleurs de montrer que l’hétérosexualité n’est désormais qu’une forme de conjugalité parmi tant d’autres qu’il convient de mettre en avant. Isabelle Clair remarque en ce sens « une réelle contestation des modèles de genre et de sexualité les plus dominants qui se fait jour dans la jeunesse ». Abordant les relations de “trouple” (relation amoureuse à trois), ainsi qu’une « contestation du binarisme de genre », elle note néanmoins qu’il s’agit de cas minoritaires. Une constatation qui a des allures de déception pour le Monde, rêvant presque d’un univers parallèle où l’hétérosexualité ne serait plus.

Soyons clair ! On reste sidéré devant tant de conneries – désolé, il n’y a pas d’autres mots ! – débitées avec tant d’assurance !

Et si on revenait aux fondamentaux !

Oui, il faudrait siffler la fin de la récréation de la théorie du genre pour en revenir à la biologie !

Jusqu’à preuve du contraire, la race humaine est née – et sa pérénnité est encore liée – à la rencontre d’une ovule et d’un spermatozoïde !

On doit aussi admettre qu’on trouve les ovules chez les femmes et les spermatozoïdes chez les hommes !

On me souffle dans l’oreillette que « les hommes peuvent être enceints » …

Et ta soeur ?!?

Et oui, justement ta soeur, elle, peut-être enceinte ! Mes félicitations, madame !

Le Monde se lamente du fait, je cite :

  • Que l’hétérosexualité soit une norme tenace,
  • Qu’elle ait survécu au mouvement #metoo,
  • Qu’elle soit un horizon rêvé pour les ados.

Quant à la sociologue évoquée plus haut, qui prétend que « la complémentarité des sexes est une idée supposée », je peux vérifier chaque jour qu’avec ma chère épouse, nous nous complémentons merveilleusement, et que vivre avec un second moi-même serait, à l’évidence, insupportable !

Pour en revenir aux ados qui voient leur avenir à deux (en majorité de sexes opposés, regrettent les progressistes), nous nous félicitons que les jeunes aient gardé du bon sens, malgré l’intense propagande du lobby LGBT qu’on leur impose à l’école et ailleurs.

Le progressisme a cela d’insupportable qu’il défend les minorités – ce qui certes est défendable ! – mais qu’il veut imposer à la majorité les désidératas et les comportements de ces minorités (le voile, le halal, les drag Queens dans les écoles, etc …)

La gauche, après avoir trainé dans la boue le mariage – qualifié de bourgeois – s’est battue pour que les homosexuels puissent se marier ! Où est la cohérence idéologique ?

Enfonçons-nous un peu plus dans le politiquement incorrect !

La gauche nous somme de considérer le mariage gay exactement comme un mariage hétéro – j’allais écrire normal mais je me suis repris au dernier moment. C’est oublier que la société humaine a comme devoir premier d’assurer sa pérennité et qu’on a rien trouvé de mieux que les couples hétérosexuels pour le faire !

On me glisse encore dans l’oreillette que des homosexuels se sont glissés dans ce blog …

Vous pouvez rester ! Comme aurait dit Pierre Desproges !

Pour en revenir au titre de cet article, oui, le progressisme est suicidaire. Malheureusement pas suicidaire pour lui même, mais pour notre civilisation !

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Une réponse à “Le progressisme est-il suicidaire ?”

  1. Je cite :
    « Déjà les dérives de cette idéologie font des ravages dans la société :

    Le mondialisme qui aboutit à la destruction de la nation et de son identité,
    Le racialisme qui ramène tout à la race en opposition frontale avec l’universalisme de notre civilisation,
    La dictature des minorités qui détruit la cohésion sociale de la nation,
    La théorie du genre folle furieuse qui s’attaque maintenant à nos enfants,
    La diabolisation de tout ce qui ose se situer à droite de l’échiquier,
    etc … etc …

    La théorie du genre est probablement le danger le plus immédiat engendré par le progressisme. »

    Le soi disant progressisme n’amene que la destruction des valeurs et le renversement moral de la société.
    Un beau chaos en perspective, de division et de bouleversement social amenant des troubles important, c’est bien la volonté de detruire qui est en action.

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