Le progressisme vous traque même dans la sphère privée

Le député Renaissance, Mathieu Lefèvre, vient de faire voter en première lecture à l’Assemblée nationale une loi inquisitoriale dans le domaine de la sphère privée.

Cette loi – votée à l’unanimité des députés présents ! – propose que des « propos haineux », racistes, homophobes ou handiphobes, soient désormais condamnables par la justice sur simple délation d’un témoin !

Quand on connait la conception de la gauche et de certains juges sur ce qu’ils considèrent comme des « propos haineux », on peut être inquiet.

Seront désormais interdits ou du moins dangereux, les doutes exprimés lors d’une réunion de famille ou un dîner entre amis, sur l’efficacité des vaccins, sur le rôle du CO2 dans le réchauffement climatique ou sur la co-responsabilité USA-Russie dans le conflit ukrainien !

Les dangers de cette loi n’ont pas échappé à Mathieu Bock-Côté qui en a fait un édito dans l’émission Face à l’info :

Pour conclure, voici un exemple d’application de la loi évoquée précédemment postée sur X par Le Crapaud (@Zoltan_47) :

France, 2024, 17 ème chambre du tribunal de Paris.

– Monsieur Armand, vous êtes convoqué en comparution immédiate pour avoir tenu des propos racistes lors d’un repas familial. Niez-vous les faits ?

– Oui, je les nie, madame la juge. C’était pas des insultes, mais plutôt une imitation.

– Ne jouez pas sur les mots. Je lis dans le dossier que votre cousin Célestin vous a entendu dire, je cite : « Bwana, j’adore les bananes », avec un accent africain.

– C’est vrai que, dit sans l’accent, c’est pas super drôle, mais je vous jure que tout le monde s’est marré.

– Monsieur Armand, il me semble que vous ne prenez pas cette affaire au sérieux. Laissez-moi vous dire que je trouve votre comportement monstrueux, monsieur. Vous incarnez ce qui ne va pas dans notre société, et je vous avertis que nous serons intransigeants envers les individus de votre genre. C’est pour cela que je vous condamne à six mois de prison ferme.

– Mais c’est une blague ? En attendant mon audience, j’ai vu un mec sans papiers qui avait violé une vieille dame qui a eu trois mois avec sursis, et un autre qui a jeté du destop sur la gueule de sa voisine congolaise qui a pris 6 mois ferme.

– Monsieur Armand, comment osez-vous vous comparer à ces personnes ? Eux sont des victimes d’une société qui les exclut et de la pauvreté. Vous, vous n’avez aucune excuse. Je ne tolérerai aucun acte de racisme dans ce tribunal, surtout venant d’un blanc !

Et voici la suite de l’histoire toujours postée sur X par Le Crapaud (@Zoltan_47) :

:

France, 2024:

– T’as pris combien toi ?

– 1 an et toi ?

– 5 ans.

– 5 ans ? Putain mais t’as fait quoi ?

– Un soir, alors que tout le monde dormait dans la maison, j’ai entendu un bruit dans le salon, je pensais que c’était ce putain de chat qui avait fait tomber un truc. J’y suis allé pour aller voir et là, à peine en sortant de la chambre, y’a un mec qui m’a foutu un couteau sous la gorge. Il m’a amené dans le salon où y’avait un autre gars. Ils m’ont mis à genoux et ils sont allés chercher ma femme et mes enfants. Ça avait l’air de les faire rire. Quand mes enfants sont arrivés, j’ai vu qu’ils étaient terrorisés…

– Ils ont quel âge tes gosses ?

– 4 et 10 ans. Donc là, ces deux connards ont commencé à leur faire peur, comme si c’était un jeu. Tu vois, au début, j’étais tétanisé, mais quand j’ai vu la terreur dans les yeux de ma petite dernière, j’ai pété un plomb.

– Qu’est-ce que t’as fait ? – Y’avait une paire de rollers Peppa Pig qui traînait à côté du canapé, j’ai profité d’une seconde d’inattention et j’ai réussi à assommer un des deux gars et l’autre s’est jeté sur moi, j’ai pris un coup de couteau dans le bide mais j’ai réussi à le faire tomber, là j’étais dans une rage de malade et je lui ai défoncé le crâne avec les rollers. Le mec est mort avant l’arrivée des secours. Le pire c’est que c’était même pas moi qu’ils visaient, c’était la maison de mon voisin, c’est le maire de ma ville.

– C’est chaud comme histoire. Mais je pige pas, t’étais chez toi, tu t’es défendu, je vois pas ce que t’as fait de mal.

– La juge n’en avait rien à foutre, soit disant que ces deux enfoirés avaient eu une enfance difficile. Bon et sinon, toi, pourquoi t’es là ?

– J’ai imité l’accent africain pendant un repas de famille.