Le silence du monde de la culture, après les massacres perpétrés par les terroristes du Hamas, est insupportable !
Où est passé le Mbappé qui s’était ému du sort du jeune Nahel en le qualifiant de « petit ange » ?
Ce jeune délinquant multirécidiviste avait une part de responsabilité dans le sort qu’il a subi alors que les femmes, les grands parents et les bébés massacrés dans les kibboutzs proche de Gaza n’en avaient aucune !
Où sont passés tous ces pétitionnaires, ces sportifs, ces vedettes et ces « cultureux » qui s’étaient épanchés dans les médias pour Nahel ? Faut-il comprendre, que le wokisme les a touchés et qu’ils ne peuvent désormais s’émouvoir que lorsque le malheur frappe un racisé ?
Sur Boulevard Voltaire, Iris Bridier, se pose la même question :
Israël : mais où sont passés tous ceux
qui s’indignaient pour Nahel ?
« Je suis un peu en colère, mes amis du métier sont très silencieux, je ne comprends pas pourquoi, on est là quand il s’agit de toutes les causes, et là, c’est comme le Bataclan, je suis sidéré du silence de mes camarades. » Interrogé, lundi soir, en marge du rassemblement en hommage aux victimes israéliennes, l’animateur Arthur, signataire d’une pétition pour la libération des otages, n’a pas caché son mécontentement et sa déception devant la pusillanimité des people.
Dans une story, dimanche, sur Instagram, ce dernier avait posté la photo d’une des familles massacrées par le Hamas, accompagnée de cette légende : «
À mes amis artistes, comédiens, chanteurs, humoristes, sportifs. Regardez bien ces visages. Ceux d’une famille entière. Massacrée par ces terroristes barbares […] Ne restez pas silencieux, arrêtez d’avoir peur, il est temps de montrer votre humanité et votre soutien. Votre silence les tue une seconde fois !
Limiter l’indignation de celui qui se décrit comme « le Juif le plus vu à la télévision » à son lien avec la cause serait évidemment trop réducteur. Un rapide tour sur ses publications permet de confirmer que ce chevalier de la Légion d’honneur s’est tout autant ému pour la guerre en Ukraine, le tremblement de terre au Maroc ou à « cette barbarie que subit le peuple arménien ». On ne peut malheureusement pas en dire autant de tout le monde et certaines personnalités ne semblent pas si promptes à être « là quand il s’agit de toutes les causes ».
Le silence assourdissant de Mbappé, Omar Sy et Tchouaméni
Son confrère franco-marocain, Jamel Debbouze, n’avait pas non plus hésité à mettre sa notoriété au service de l’aide au Maroc au moment du séisme, mais là, à ce jour, c’est silence radio. On se souvient encore de l’émotion palpable de Kylian Mbappé dénonçant « une situation inacceptable » et adressant ses pensées à « la famille et les proches de Naël (sic), ce petit ange parti trop tôt ». Pas un mot pour ces autres petits anges israéliens décapités ce week-end ou brûlés vifs par ceux que LFI refusent de nommer terroristes, aucun égard pour Eitan, 12 ans et demi, enlevé en moto samedi.
Si l’on peut saluer le tweet d’Omar Sy à « la famille de Dorian Damelicourt. Fidèle à la devise « sauver ou périr » des pompiers parisiens, il est mort au feu. Honorons sa mémoire aussi dignement que son engagement était sans faille », aucun message, encore une fois, à ce jour, en revanche, de l’artiste en soutien aux victimes massacrées ni aux otages retenus. Pourtant, Omar Sy n’avait pas manqué de retweeter les posts des deux footballers internationaux Jules Koundé, qui revendiquait le droit de « s’exprimer sur des sujets de société » (en l’occurrence sur Nahel), ou d’Aurélien Tchouaméni, s’émouvant publiquement d’avoir « le cœur brisé » et que « Nahel aurait pu être son petit frère ». Inutile de préciser que ces deux sportifs n’ont rien écrit, non plus, sur la barbarie de l’opération Al-Aqsa.
Certes, il est regrettable que la dictature de l’émotion de notre ère du tout communication somme chacun de donner son avis et de s’indigner dans l’instantanéité de l’actualité et, surtout, de ne pas se taire. Car le silence est forcément coupable, au détriment même de la retenue et l’intériorité. Mais une fois ces limites posées, soulignons la bien-pensance de ces personnalités qui pleurent contre les violences policières mais, courageusement, ne mouftent pas pour Lola et Israël. On se demande bien pourquoi…
Iris Bridier pour Boulevard Voltaire.
Suivre @ChrisBalboa78
3 Réponses à “Les « Petits anges » seraient-ils forcément musulmans ?”
Ou sont les artistes de goche qui ont si souvent pleurer pour telle ou telle cause et que l’on entend pas actuellement…
On remarque qu’avec l’humanisme de goche si souvent mis en etendart,
il y a souvent deux categories de victimes, les bons ( pour la goche ) et les autres…
qui ne compte presque pas ou carrement pas du tout.
Ces pleureuses ont le deux poids deux mesures, et donc pas l’humanisme universel de la vraies france, il ont l’humanisme de la goche… qui determinent politiquement les bonnes victimes et les autres.
Le petit m bappé aura t’il un moment pour pleurer sur le sort des israeliens dont des enfants decapités a cause de terroristes ???Vas y m bappé, tu vas y arriver, j’ai confiance.
Je pense qu’au dela du racisme dont certains font preuve avec ce 2 poids 2 mesures, qu’il doit y avoir une forte pression dans le milieu des artistes pour les empecher de s’exprimer naturellement.