L’Etat profond contre Donald Trump : l’impunité !

Publié par le 19 Sep, 2020 dans Blog | 0 commentaire

L’Etat profond contre Donald Trump : l’impunité !

Les Etats-Unis ont beau être l’une des démocraties les plus abouties du monde, le mandat de Donald Trump prouve que les présidents américains ne sont pas tous respectés de la même façon, par leurs administrations.

Autant, Barack Obama fut accueilli à bras ouvert par ce qu’il est convenu d’appeler l’Etat profond et par les médias, autant Donald Trump fut considéré comme illégitime, et combattu comme tel, dès les débuts de son mandat.

Plusieurs administrations fédérales, dont le FBI, se sont même mobilisées, en toute complicité avec le Parti Démocrate, pour tenter de mettre fin, avant son terme, au mandat de Trump.

L’affaire du RussiaGate qui a vu les démocrates se déchainer contre Donald Trump et l’accuser de complicité avec la Russie pour interférences dans l’élection présidentielle, a empoisonné le début de son mandat. Le directeur du FBI, James Comey, à l’origine de fuites dans la presse pour confondre Donal Trump fut finalement limogé.

Au final, après trois ans d’enquête, le procureur spécial Robert Mueller conclut « qu’il n’existait pas de preuve d’une entente entre l’équipe de Donald Trump et la Russie que l’équipe de Donald Trump lors de la campagne pour l’élection présidentielle de 2016. Et qu’il n’y a pas matière à poursuivre le président pour entrave à la justice. »

La presse française, qui prend toujours systématiquement parti pour le candidat démocrate et contre le candidat républicain, s’est déchaînée contre Donald Trump. Prompte à nous informer des attaques contre Trump, elle fut plus discrète quand ce dernier fut blanchi par la justice !

Ce matin, je vous propose donc, sans aucun état d’âme, des extraits d’un article franchement « pro-Trump », paru dans le Saker francophone, et qui montre l’impunité dont bénéficie l’Etat profond après sa révolte stérile et anti-démocratique contre Trump.

J’ai dû couper de larges extraits qui ne peuvent être compris que si l’on a une connaissance avancée du système politique américain, le texte intégral étant disponible ici en français et dans sa version originale en anglais là.

Quand il n’y a aucune conséquence pour quoi que ce soit

Nous avons été informés il y a quelques heures, que les meilleurs avocats de l’opération Special Counsel de Robert Mueller [sur le RussiaGate] ont effacé [par maladresse (sic) ,NdT] toutes les données de leurs téléphones portables avant que l’inspecteur général du DOJ ne puisse recueillir des preuves de leurs communications dans le cadre de l’enquête de trois ans de l’équipe visant à renverser un Président. En quoi cela ne constitue-t-il pas une obstruction à la justice, et qui en répondra ?

Cela s’ajoute à de nombreux autres éléments de preuve essentiels dans le coup d’État du RussiaGate et d’autres actes perfides qui ont mystérieusement disparu – le document original «302» de l’agent spécial Joe Pientka issu de l’interrogatoire de Flynn, des milliers de messages texto de Strzok-et-Page, des vérifications officielles du Dossier Steele soumis au tribunal de la FISA, les communications du FBI à l’intérieur du «petit groupe» – Comey, McCabe, Priestap, Carlin, McCord, Baker, et Cie. […]

Et maintenant, comme une fièvre qui arrive à son apogée, vient la nouvelle, tout fraîche, que le Parti Démocrate a l’intention de fomenter une insurrection s’il ne remporte pas la prochaine élection présidentielle. Il soutient le siège imminent de Lafayette Square, qui devrait inaugurer cinquante jours de «protestation» en face de la Maison Blanche, à partir du 17 septembre et jusqu’aux élections, comme une mise en jambe pour l’anarchie dans les rues du pays après le vote du 3 novembre.

Qui a financé toutes les émeutes Black Lives Matter ?

Derrière nous, il y a l’été des émeutes, des incendies criminels et des pillages … qui a payé pour soutenir tout cela ? Qui a payé pour trimbaler par avion les militants Antifa et de BLM de ville en ville, les nourrir et les loger, payer pour leurs feux d’artifice « de qualité commerciale », leurs palettes de briques, leurs masques à gaz, leurs lasers, leurs porte-voix, leurs tenues noires anti-émeute ?

Pourquoi est-il difficile de savoir qui a acheté les billets d’avion, qui a réservé les hôtels ? Des mois se sont écoulés depuis que tout cela a commencé. Quelqu’un du Ministère de la justice (DOJ) trace-t-il l’argent ? Et leurs communications, compte tenu notamment des crimes contre les biens qu’ils ont commis ?

Pourquoi Christopher Wray est-il toujours directeur du FBI ? Pourquoi Bruce Ohr émarge-t-il toujours sur la liste de paie du DOJ ? Pourquoi Eric Ciaramella garde-t-il toujours un siège au chaud à la CIA ? Que faisait exactement l’avocat américain John Huber pendant deux ans ? Pourquoi Mark Esper dirige-t-il toujours le Pentagone ? Pourquoi le général James Mattis ne fait-il pas face à une cour martiale pour avoir fomenté un coup d’État contre le président ? Pourquoi le juge fédéral Emmet Sullivan conteste-t-il toujours la requête du DOJ de classer l’affaire contre le général Flynn ? […]

Quel rôle joue Barack Obama ?

Cela peut sembler paranoïaque, mais je me sens obligé de demander : Barack Obama dirige-t-il une sorte de gouvernement fantôme depuis sa forteresse cossue de Kalorama, en émettant des suggestions, ou des instructions, à des dizaines de hauts fonctionnaires fidèles des agences fédérales pour s’opposer et saper tout ce qui le président actuel tente de faire – comme le décret de M. Trump, cette semaine, pour faire cesser les sessions dépravées de séminaires sur la « théorie critique de la race » et le « privilège blanc » organisées à Washington [et ailleurs pour les fonctionnaires des institutions de la République, NdT] par des consultants en «diversité et inclusion» royalement rémunérés ? Et quel rôle Hillary Clinton joue-t-elle dans les coulisses en ces jours pré-électoraux, puisque sa fondation est si fortement investie dans la Direction du Parti Démocrate (DNC) et qu’elle émet des directives pour subvertir l’élection par le biais d’un média d’information complice ?

Quid de Joe Biden ?

Comment diable des adultes responsables peuvent-ils prétendre que la coquille vide de Joe Biden est un candidat plausible à la présidence ? Que fera Joe dans les deux débats programmés, sans prompteur ni oreillette ? Il ne peut pas agir sans eux – et même à peine avec eux, comme on l’a vu ces derniers temps.

À quand remonte la dernière fois que Joe Biden a répondu aux questions impromptues des journalistes ? Quand s’est-il présenté, en direct, devant une foule d’électeurs réels, pas des acteurs choisis par les organisateurs ?

Qui essaie de liquider les États-Unis et qu’allez-vous faire pour les arrêter ?

James Howard Kunstler pour le Saker Francophone.

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