Libre Pensée, à ne pas confondre avec pensée libre !

Publié par le 20 Jan, 2023 dans Blog | 1 commentaire

Libre Pensée, à ne pas confondre avec pensée libre !

« La bêtise la plus crasse au bras
de l’ignorance la plus abyssale ! »

« L’Amicale des Bas du Front, des amateurs de Bérets et des bottes à clous nous aime. C’est incontestable et c’est la rançon de la gloire. Quasiment chaque jour, la « facho-sphère » consacre un petit mot doux à la Libre Pensée. Que la France était belle sous Pétain et la botte des nazis. »

Vous venez de lire le début d’un pamphlet publié dans le Blog de Mediapart par Christian Eyschen, secrétaire général de la Libre Pensée. Ce brûlot s’en prend au vaisseau amiral de la presse de ré-information, Boulevard Voltaire, qui a osé critiquer les actions de la Libre Pensée.

La Libre Pensée est cette officine anticléricale et bouffeuse de curés à qui l’on doit tous ces procès aboutissant à des décisions de déboulonnage de statues sur la voie publique, comme celle de la Vierge Marie sur l’Ile-de-Ré.

On trouve dans ce texte tous les poncifs courants de l’extrême gauche et de la Franc Maçonnerie contre ce qu’ils appellent l’extrême droite : accusation de pétainisme, d’accointance avec les nazis, etc …

Voici la réponse cinglante de Boulevard Voltaire par la plume d’Iris Bridier :

La « Libre Pensée » prend (lourdement)
pour cible Boulevard Voltaire

On a failli se réjouir. La Libre Pensée partait en guerre contre Boulevard Voltaire ! Enfin l’art de confronter les idées semblait renaître. Les homériques débats entre la droite et la gauche, les progressistes et les conservateurs, les libres penseurs et les penseurs libres allaient retrouver de la vigueur… Et patatras ! Le robinet d’eau tiède a repris le dessus, la tribune vu et revue n’était qu’un mauvais post et la main qui tenait la plume n’était que moite et molle…

Iris Bridier

Le pamphlet de Christan Eyschen paru le 18 janvier dans le club de Mediapart, en réponse à nos papiers récemment publiés sur un orchestre militaire ou la défense des crèches, n’aura pas su réchauffer l’hiver ni annoncer le nouveau printemps des idées. Il est tombé par terre, et ce n’est pas la faute à Voltaire. Le nez dans le ruisseau, c’est bel et bien de sa faute, à ce pataud.

Faute d’arguments intelligents, La Libre Pensée se contente de se moquer des prénoms, Christian Eyschen aurait-il un problème avec le sien ? L’anticlérical baptisé comme un disciple du Christ d’ironiser donc sur celui de notre consœur Marie-Camille pour se moquer de son origine sociale : « Comme disait le sketch des Inconnus, cela fait très « old-régime ». » Où est la cohérence s’il est par ailleurs impossible de soulever le voile pudique sur une telle approche dans nos banlieues ? Ce charmant monsieur nous a également affublé du sobriquet de « fleur quelque peu fanée ». Permettez nous de lui répondre gaillardement que l’Eyschen aboie, mais la caravane passe…

Que ce cher franc-maçon, qui prétend pourtant que « c’est toujours de la confrontation des idées que naît la lumière ! », n’hésite pas à passer le Rubicon, à rejoindre nos rédactions à réaction, plus stimulantes pour ses neurones et ses papiers que la médiocrité de ses arguments éculés : « Que la France était belle sous Pétain et la botte des nazis » ; « Dans l’Humour Vert-de-gris, il est parfois difficile de décerner la Francisque méritante » ; « Il vaudrait mieux éviter de lui demander où il place Alfred Dreyfus dans ce passé catholique français.« 

ça ne sent pas trop l’ouverture d’esprit !

Il apprendra alors que la reductio ad hitlerum de celui qui ne pense pas comme lui est dépassée, qu’il n’est pas inutile de sortir pour s’aérer et se renouveler, qu’il est risible et un peu triste d’applaudir l’uniforme ukrainien tout en insultant nos militaires (« vous avez la Musique militaire qui, comme le disait Clemenceau, en la comparant à la Justice militaire, est « en rang par deux, je ne veux voir qu’une tête » ; « car à l’extrême-droite, on sait marcher au pas cadencé en saluant le drapeau et en écoutant les chants militaires » ; « Quoi de plus beau en effet que ces chants martiaux pour embrigader la Jeunesse »).

La libre pensée exige à tout le moins de la liberté et de la pensée. À défaut, on est réduit à n’être, non pas un libre penseur, mais qu’un vil censeur.

Iris Bridier pour Boulevard Voltaire.

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Une réponse à “Libre Pensée, à ne pas confondre avec pensée libre !”

  1. Pour dire des conneries, la goche n’est jamais loin.
    Mais y aller a ce point, ce n’est plus dans la normalité, ca frise l’asile.

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