L’islamo-gauchisme contrôle l’université française

Publié par le 30 Juin, 2021 dans Blog | 2 commentaires

L’islamo-gauchisme contrôle l’université française

Alors que les Français mesurent désormais avec lucidité le danger de submersion islamique qui les menace, l’extrême gauche continue son travail se sape idéologique dans beaucoup d’organismes publics.

L’université est leur champ de bataille favori !

Voici des extraits d’un article de l’IREF très documenté sur les activités de l’islamogauchisme dans les universités françaises :

Le 19 juin dernier, l’Observatoire du décolonialisme et des idéologies identitaires a rendu public un rapport corrosif concernant les manifestations idéologiques à l’université et dans la recherche. Nommé dans les médias rapport sur l’islamo-gauchisme à l’université, il se substitue à celui que le CNRS a refusé de faire. A la lecture des seules conclusions, on peut comprendre pourquoi ! Au travers d’une revue des thèses en sciences sociales et humaines, des publications et programmes de recherche, des axes des enseignements et des séminaires, et des preuves de « cancel culture », le rapport de L’Observatoire est sans ambiguïté :

l’université publique française est sous la coupe du racialisme, du féminisme radical, de l’intersectionnalité, du décolonialisme, et plus largement de l’islamo-gauchisme.

L’université gangrénée par l’idéologie

Il suffit de lister les thèmes de recherche en sciences humaines et sociales pour être édifié :

Aymeric Belaud

  • Déconstruire la race chez les diplômé.e.s en doctorat de sociologie,
  • Ecoféminisme autochtone par la « cosmologie animaliste décoloniale » en philosophie,
  • Les artistes femmes et « queer » en anthropologie sociale,
  • La menace du stéréotype comme cause des comportements agressifs en psychologie.
  • Le plaisir féminin dans la pornographie,
  • Le choix du prénom chez les transsexuels,
  • La performativité du langage ordinaire dans la construction du genre et des luttes féministes.

Les sujets traités lors des conférences renforcent ce sentiment d’entrisme islamogauchisme :

  • Le Gram (Groupe de recherche sur l’analyse du discours des médias) : Déconstruire le genre.
  • A Lyon 3, on s’interroge sur la cartographie des sexualités et la sexualisation des espaces.
  • A Sorbonne Nouvelle, on se demande si la linguistique est une discipline de combat.

Les revues universitaires et de leurs études vont dans le même sens :

  • L’une d’elle affirme clairement que l’école et l’université discriminent racialement les élèves, et que le racisme y est structurel.
  • Une autre explique que c’est la faute de la France et des Français si les descendants d’immigrés maghrébins ne s’assimilent pas dans notre pays.

Les recrutements se font sur des critères « orientés » :

  • Un maître de conférence en études anglophones à l’Institut national universitaire d’Albi doit par exemple maitriser « les questions de genre, de race et d’intersectionnalité ».
  • Pour postuler à Paris 8, on devra se plier aux directives qui précisent qu’en science de l’éducation, il est nécessaire de développer « les approches dites décoloniales et intersectionnelles en sciences sociales ».
  • à Paris 10, le candidat doit avoir une expérience des « pédagogies qui invitent explicitement à lutter contre la reproduction des inégalités sociales et les discriminations en favorisant la justice globale – sociale et environnementale ».
  • Enfin, pour être professeur de philosophie contemporaine à Toulouse 2, il est nécessaire de travailler sur les « études de genre et du féminisme, la théorie de la race, l’écologie politique, les études postcoloniales et décoloniales ».

Pression idéologique et négationnisme

L’idéologie imprègne donc de plus en plus les travaux universitaires. Certains professeurs et étudiants tentent de résister, mais ils en sont empêchés, non pas forcément par l’université ou le corps professoral, mais par les associations et « syndicats » de l’extrême-gauche étudiante.

Dans ce contexte, la cancel culture est l’arme privilégiée des idéologues gauchistes. Voici une petite recension des actes évoqués dans le rapport :

  • l’attaque subie par des comédiens à la Sorbonne, auxquels ont a interdit de jouer une pièce d’Eschyle, Les Suppliantes, au motif que certains auraient porté des masques noirs ;
  • l’annulation d’un séminaire de formation dirigé par Mohamed Sifaoui sur le thème : « Comment les Frères musulmans veulent infiltrer la France », afin de ne pas stigmatiser les musulmans ;
  • une forte recommandation de l’usage de l’écriture dite « inclusive » dans certaines facultés ;
  • des pressions pour annuler des enseignements de tronc commun et des séminaires à l’EHESS (Ecole des hautes études en sciences sociales) ;
  • la contestation du recrutement d’une enseignante à La Réunion au motif qu’elle est blanche.

La conclusion du rapport est sans appel :

Un jeune étudiant qui entre aujourd’hui à l’Université peut se retrouver pris dans un bain idéologique particulièrement contraignant : à travers les cours qu’il reçoit, le militantisme de certains étudiants, l’orientation politique de certains syndicats étudiants et, dans son environnement immédiat, les nombreuses associations (féministes, LGBTQI+, antiracistes, antipolice, etc.), qui constituent une somme de pressions idéologiques sur des esprits encore fragiles. Ces pressions, qui continuent hors du temps de cours (à travers par exemple des conférences organisées sur le site) poussent certains jeunes à décrocher malgré leur motivation initiale.

L’islamo-gauchisme est en train de détruire l’esprit originel de l’université. Elle doit se libérer de cette emprise, comme de celle de l’Etat, et se transformer. La liberté et l’autonomie des universités et la concurrence entre elles, alliées à la pénalisation des atteintes à la liberté d’expression, seraient les outils le plus aptes pour lutter contre l’autoritarisme du gauchisme universitaire.

Aymeric Belaud pour L’IREF.

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2 Réponses à “L’islamo-gauchisme contrôle l’université française”

  1. Un bon article qui denonce les ravages des ideologies !

  2. Christian 54 dit:

    Depuis des années, on sait que certaines facs (Censier en est le plus bel exemple) sont nulles archi-nulles en matière d’enseignement. Il suffit de les laisser faire si cela les amuse et de ne plus délivrer de diplômes.
    De toute façon, il faudrait être fèlé pour embaucher un étudiant possédant un tel diplôme. Depuis 1968, on sait bien quels sont les diplômes valables et quels sont ceux bidon.
    La seule question à se poser : y en a t’il encore qui soient valables.

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