L’UNEF, le visage hideux de la haine sectaire

Publié par le 19 Avr, 2019 dans Blog | 0 commentaire

L’UNEF, le visage hideux de la haine sectaire

C’est dans les grandes difficultés, le malheur et les drames, que se révèle la vraie personnalité des gens !

A l’occasion de cette catastrophe qui vient de frapper la France, certains, à gauche nous auront montré le visage hideux de cette gauche sectaire, bouffeuse de curés et pleine de haine pour l’identité française.

Alors que la polémique fait rage à cause des « riches qui ont l’impudence de faire des dons pour la reconstruction de ND de Paris », on relève des déclarations et des tweets répugnants mais Ô combien significatifs du sectarisme de la gauche.

Voici des éléments d’un article paru dans Causeur à ce sujet :

Pour des responsables de l’Unef,
Notre-Dame est un « délire de petits blancs »

Une organisation racialiste subventionnée par l’Etat

Subventionnée par l’Etat, l’Unef s’est une fois encore distinguée par sa haine, sa bêtise et son racialisme. Sur les réseaux sociaux, certains de ses responsables se sont ouvertement moqués de l’incendie de Notre-Dame.

En même temps que les fumées du brasier qui a meurtri Notre-Dame de Paris, se dissipent les dernières illusions que l’on pouvait se faire sur l’Unef, dont l’infamie se confirme une fois encore. Au point qu’il devient urgent de s’interroger sur la légitimité de cette association, qui eut son heure de gloire mais désormais ne fait plus qu’empoisonner la vie universitaire.

Peut-on seulement pleurer Notre-Dame ?

Après le terrible incendie de Notre-Dame, sauvée mais blessée, on voudrait laisser de côté les mille polémiques du moment, prendre un temps pour pleurer, se recueillir, prier peut-être, penser à la fragilité de ce que paresseusement nous croyons acquis, ou bien comme l’écrivait Kipling « sans dire un seul mot se mettre à rebâtir ». Nous avons un devoir de dignité, envers la cathédrale et ce qu’elle représente, envers ceux à qui nous devons ce chef d’œuvre, des humbles ouvriers aux maîtres-bâtisseurs, envers ceux à qui nous devons ce qui en subsiste aujourd’hui, artisans au fil des siècles et pompiers maintenant. Et l’on aimerait d’un revers de la main renvoyer les propos stupides ou abjects au néant et à l’oubli.

« Je m’en fiche de notre Dame de Paris
car je m’en fiche de l’histoire de France »

Edouard Le Bert, membre du Bureau national de l’Unef, croit bon de publier : « Ça y est drame national, une charpente de cathédrale brûle. »

Que Hafsa Askar et Edouard Le Bert ne soient pas spécialement émus par l’incendie de la cathédrale, c’est leur droit le plus strict. Qu’ils le disent l’est également : la liberté d’expression est le droit de choquer et de scandaliser, ou elle n’est pas. Il est donc évidemment inacceptable de les menacer de quelque manière que ce soit en raison de leurs propos. Le problème n’est d’ailleurs pas là, il serait de toute façon vain de vouloir interdire la bêtise. Ce qui est grave, c’est qu’une association se voulant influente dans le monde universitaire se choisisse comme cadres des personnes dont la vision se nourrit manifestement de présupposés idéologiques odieux. C’est dramatique, et c’est révélateur.

Hafsa Aska et Edouard Le bert, les futurs cadres du Parti socialiste !

Les communiqués officiels tardifs et pour le moins maladroits, sinon hypocrites ne changent rien à l’essentiel : Hafsa Askar et Edouard Le Bert sont tristement représentatifs de ce qu’est devenue cette organisation, et de l’écœurante bouillie qui lui tient lieu de pensée. Entre son gauchisme qui a renoncé à tout ce qui faisait la noblesse de la Gauche, son racialisme raciste, son communautarisme, ses compromissions avec l’obscurantisme islamiste, sa trahison du féminisme authentique, et son rejet de toute rigueur intellectuelle pour lui préférer la conformité doctrinaire. Censure violente d’Eschyle, proximité avec la réécriture idéologique de l’histoire de l’Égypte pharaonique, dédain ignare pour les cathédrales gothiques : à chaque fois, l’Unef prend le parti de l’obscurantisme, de la médiocrité revancharde et de la haine déguisée en antiracisme.

Il faut dissoudre l’Unef

Il convient donc de le dire et de le redire : une association qui soutient l’action brutale de milices pour interdire un spectacle, qui est proche de ceux qui brandissent un panneau parlant de « génome criminel, hypocrite, menteur » (le voilà pour de vrai, le relent nauséabond des « heures les plus sombres »), qui qualifie de « délire de petits blancs »  le fait d’accorder de la valeur à un joyau de notre patrimoine, n’a pas sa place dans l’université républicaine (et vous pouvez signer la pétition pour sa dissolution ici).

Les déclarations officielles n’y changeront rien : tant que le gouvernement continuera à tolérer et à subventionner cette association, il sera complice de sa propagande inepte et dangereuse. Les monuments de pierre aux charpentes de bois ne sont pas les seuls dont on oublie trop facilement la fragilité. L’université républicaine est aussi une cathédrale, d’intelligence et de savoir, aussi précieuse que la plus belle des splendeurs gothiques. L’Unef tente d’y mettre le feu pour danser sur ses ruines, et livrer les esprits privés de ce havre à l’emprise des communautarismes et des totalitarismes. Il est grand temps de l’arrêter.

Extraits de l’article d’Aurélien Marq pour Causeur.

Voici un dessin qui parlera beaucoup à tous les vrais républicains?

A lire, pour une réflexion plus profonde, cet article toujours sur Causeur :

Ces citoyens français qui ne sont pas « Notre-Dame »

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