Même à l’école privée, le wokisme a ses entrées !

Publié par le 14 Mai, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Même à l’école privée, le wokisme a ses entrées !

Ce qu’il y a d’inacceptable avec les progressistes et leur avant-garde violente les wokistes, ce n’est pas qu’ils aient entre eux des théories fumeuses ou des comportements sexuels particuliers, c’est qu’ils veulent les imposer, comme des modèles, à toute la population !

On pourrait même, à la limite, tolérer leur prosélytisme auprès de leurs concitoyens adultes.

Mais ce qui est insupportable c’est leur volonté de corrompre les cerveaux encore malléables de nos enfants dès l’école primaire, voire maternelle, et surtout avec la complicité de l’Education nationale !

La mode actuelle est à l’irruption des drag queens dans les écoles, dans les bibliothèques, des lieux considérés, au moins à droite, comme des sanctuaires !

Voici un article édifiant publié par Boulevard Voltaire :

Quand des associations woke interviennent
à l’école, à l’insu des parents

Scolariser ses enfants dans le privé, débourser plus de 3.300 euros chaque année de frais d’inscription, penser ainsi préserver sa progéniture et découvrir, à une sortie d’école, que non, même dans l’enseignement privé, nos petites têtes blondes sont victimes de la propagande woke.

C’est l’amère surprise qu’ont eue des parents de l’École alsacienne (Paris VIe), établissement élitiste où Pap Ndiaye scolarise ses enfants, avant les vacances de Pâques.

L’école alsacienne à Paris

Activisme trans

Sans en avoir été avertis au préalable – il était, à l’origine, question d’une « invitation à la tolérance » -, les parents des élèves de 4e (13-14 ans) ont appris que leurs enfants ont dû assister à une séance de formation sur la transidentité menée par les militants d’OUTrans. Cette association, qui lutte notamment pour la reconnaissance des droits des personnes transgenres, est connue pour son activisme virulent. Sur son site Internet, OUTrans n’hésite pas à publier des brochures sur la sexualité trans au langage particulièrement cru, à encourager l’autodétermination des mineurs trans et à militer pour lever tous les freins à la conversion de genre. Résultat : à l’issue de la formation qui avait pour but de sensibiliser à la transidentité, les élèves semblent davantage choqués qu’instruits.

On avait vraiment l’impression qu’elles voulaient nous pousser à devenir trans, que c’était super cool de faire une transition,

raconte l’un d’eux, dans un communiqué exhumé ce 11 mai par Laurence Azzéna-Gougeon, conseillère municipale Les Républicains dans le Var. Un autre adolescent ajoute :

Quand on a dit qu’on ne voulait pas d’hommes trans dans les toilettes de filles, on s’est fait traiter de transphobes. Les animatrices parlaient comme si les trans [étaient] une énorme partie de la population, on sait bien que ce n’est pas vrai, et lorsqu’on leur disait cela, elles nous engueulaient.

Propagande LGBT à l’école

Sous-traitance au sein de l’Éducation nationale

Dans cette affaire, les parents n’étaient pas au courant et il est tout aussi possible que la direction de l’établissement n’ait pas non plus été informée, en amont, de la venue d’OUTrans. En effet, l’École alsacienne avait originellement confié à l’association anti-sexisme HandsAway le soin d’organiser cette session de formation. Mais HandsAway, association agréée par la ville de Paris, la région Île-de-France et la Direction générale de la cohésion sociale, a sous-traité cette formation à OUTrans, association partenaire. Ce n’est pas la première fois que HandsAway délègue ses missions auprès des collégiens et lycéens. Déjà, en janvier, elle avait fait appel à l’association féministe controversée Lallab alors même que ce collectif est régulièrement accusé de proximité avec la mouvance islamiste, que ce soit sur la question du voile ou sur la loi de 2004 sur les signes religieux ostensibles à l’école.

Page d’accueil du site web de Handsaway

Sur le fascicule du projet « Collège pour l’égalité » de HandsAway, on découvre ainsi une dizaine d’associations partenaires. Toutes peuvent être envoyées, au nom de HandsAway, dans différents établissements scolaires, sans agrément exprès du ministère de l’Éducation nationale. Si certaines associations s’inscrivent dans la mouvance féministe, la plupart de ces collectifs sous-traitants posent question. On trouve, par exemple, Maydée, qui incite les élèves à dégenrer les tâches domestiques. Ou encore des associations « intersectionnelles » telles que Tant que je serai noire (qui lutte contre les préjugés racistes et féministes) ou Shams France (qui se préoccupe de la visibilité des LGBT maghrébins). Enfin, aux côtés d’OUTrans, Décolonisons le féminisme, un collectif féministe antiraciste qui lutte contre l’islamophobie, propose aux élèves de « créer un espace de discussion bienveillant et inclusif ».

Au-delà de la diffusion de l’idéologie woke au sein des écoles, qui pose en soi un grave problème, la question de la sous-traitance interroge sur le droit de regard dont disposent les parents, le corps enseignant et les autorités publiques sur les intervenants extérieurs aux établissements scolaires. Elle pose aussi la question des possibles dérives qu’elle peut engendrer.

Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.

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3 Réponses à “Même à l’école privée, le wokisme a ses entrées !”

  1. Quand ça part comme cela, c’est le commencement de la fin de la civilisation, le pourrissement qui va en profondeur, qui ne respecte rien ni surtout la jeunesse, l’entrée dans la décadence morale la plus complète en pourrissant tous ceux qu’ils peuvent atteindre.

    C’est bien une attaque contre la morale humaine sous des prétextes humanitaires, la specialité de la gauche avec ses idéologies mortifères de plus en plus envahissantes, et malheur à celui qui s’y opposerait, la justice trancherait à l’avantage de la gauche, parce qu’elle est comme eux, pourrie, pour la plupart.

    Seul, une réaction du peuple cessant de consentir pourra inverser la tendance vers les véritables valeurs afin que l’on retrouve un terrain sain.

  2. macron, les pseudo progressiste, et la goche, bonne serpiliere et bonne lavette pour toute les formes de mediocrité, d’hypocrisie, de manipulation,
    et surtout anti democratique, ne laissant pas le choix reel au personnes par une propagande appuyé au quotidien,
    s’attaquant desormais aux gosses, beaucoup plus influencable.

    Cette forme de debilité mentale qui veut imposer aux plus fragile et aux jeune encore tres inexperimentés et tres influencable, quitte a detruire leur vie, demontrer plus qu’un entrisme, mais une volonté de transformer la ppulation en s’attaquant aux plus jeunes.

    Les sous m… que sont les medias ne defendent pas les gosses,
    encore moins a democratie, et encore moins les valeurs de la democratie et du peuple, a part quelques journalistes.

    C’est en lavant le cerveau, en y mettant de la propagande, meme bati sur du mensonge, que les jeune seront demoli, perverti aux horreurs en tout genre, ce que savent trop bien faire la goche et les pseudo progressistes debiles.

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