On nous a menti sur la mortalité du Covid. C’est un fait !

Publié par le 11 Nov, 2022 dans Blog | 2 commentaires

On nous a menti sur la mortalité du Covid. C’est un fait !

Toute la stratégie de gestion de la crise du Covid s’est appuyée sur la propagation de la peur dans la population.

Elle a été parfois relayée par un autre mensonge, celui de la saturation des hôpitaux. Il fut démontré par un organisme officiel d’Etat qu’en 2020 les malades du covid avait représenté seulement 2 % des hospitalisations et 5 % des lits de réanimation.

Tous ces mensonges avaient un seul objectif : faire accepter à la population l’injection d’une substance expérimentale. Et ça a marché en grande partie et pendant au moins deux années !

Revenons à la supposée mortalité du Covid-19. L’article suivant paru dans le Saker francophone reprend une publication de The Epoch Times qui rétablit la vérité sur cette mortalité.

Pour ceux qui n’auraient pas le temps de lire ce long article, en voici la synthèse en 6 données et une question :

Retour précis sur les taux de mortalité du COVID

Lors des premières phases de la pandémie, les « experts » se sont particulièrement escrimés à faire forte impression sur le grand public, en affirmant et répétant que le COVID était une maladie extrêmement dangereuse. S’il est clair que pour les personnes extrêmement âgées et les personnes fortement immunodéprimées, le COVID présente bel et bien des problématiques de santé importantes, les « experts » ont fait de leur mieux pour convaincre les gens de tous âges qu’ils se trouvaient en danger.

Au départ, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), dans son incompétence sans borne, a contribué significativement à cette perception, en affirmant que le taux de mortalité du COVID était épouvantablement élevé.

Au mois de mars 2020, sur la base de fort peu de données, l’OMS a crié au loup en affirmant que 3,4 % des personnes ayant contracté le COVID étaient mortes.

CNBC a rapporté qu’au cours d’une conférence de presse réalisée très tôt, Tedros Ghebreyesus, le directeur général de l’OMS, avait comparé le taux de mortalité attendu du COVID-19 avec celui de la grippe :

“Globalement, environ 3,4 % des cas rapportés de COVID-19 sont décédés“, a affirmé Tedros Adhanom Ghebreyesus, directeur général de l’OMS, au cours d’une séance de presse au siège de l’agence à Genève. En comparaison, la grippe saisonnière tue bien moins de 1 % des personnes affectées, a-t-il ajouté.

Ces affirmations marquaient un contraste avec les estimations précédentes, qui dépassaient déjà les 2 % :

Au début de l’épidémie, les scientifiques avaient conclu que le taux de mortalité avoisinait les 2,3 %.

Si l’on peut pardonner aux « experts » des incertitudes sur le taux de mortalité d’une maladie tout juste apparue et sur la base de données extrêmement réduites, les politiques catastrophistes de modification du monde, sur la base de la peur, justifiées par ces estimations, ont provoqué des dégâts considérables.

Le consensus est désormais que ces estimations étaient totalement incorrectes, et ce de plusieurs ordres de grandeur.

Mais un nouvel article, signé par l’un des experts les plus éminents au monde, confirme que les estimations de l’époque étaient encore plus déconnectées de la réalité que ce que l’on pensait jusqu’ici.

John Ioannidis est l’un des experts en santé publique les plus en vue des États-Unis, il travaille pour l’université de Stanford comme professeur de médecine au sein du Stanford Prevention Research of Epidemiology and Population Health, ainsi qu’au sein de Statistics and Biomedical Data Science.

On pourrait penser que ce pedigree impeccable, ainsi qu’un historique faisant de lui l’un des scientifiques les plus publiés et les plus cités du monde moderne le mettraient à l’abri des critiques, mais malheureusement, La Science™ ne fonctionne plus ainsi.

Ioannidis a commencé par s’attirer les foudres des Gardiens de La Science™ au début de l’épidémie, lorsqu’il avait émis l’avertissement que la société était peut-être en train de prendre des décisions radicales sur la base de données limitées et de mauvaise qualité.

Il avait également participé à l’étude de séroprévalence menés dans le Comté de Santa Clara, menée par le Dr. Jay Bhattacharya.

Cet examen, qui s’intéressait à la prévalence des anticorps dans la région de San Jose, était parvenu à la conclusion que le COVID était d’ores et déjà significativement plus répandu aux mois de mars et d’avril 2020 que ne le comprenaient la plupart des gens.

Cela présente des implications très importantes, mais la révélation la plus importante était que les estimations du taux de mortalité du COVID utilisées par les « scientifiques » et par l’OMS étaient presque certainement bien trop élevées.

Ces estimations ont été créées selon l’hypothèse que les cas de contamination au COVID étaient très facilement détectables ; que les données étaient acquises sur la base de tests, et que le suivi des décès pouvait être réalisé suivant un « taux de mortalité par cas » et non un « taux de mortalité par infection ».

C’est cette erreur que Tedros et l’OMS ont faite il y a deux ans et demi.

Bien sûr, Ioannidis (et Bhattacharya) ont fait l’objet d’attaque de la part de la « communauté des experts » pour avoir apporté des éléments substantiels et des données montrant que le COVID était moins mortel que craint initialement.

Suivant ce qui est désormais devenu une insulte courante, ceux qui avaient mené l’étude ont été diabolisés, décrits comme des minimiseurs du COVID et comme de dangereux théoriciens du complot, qui allaient faire mourir des gens, tués parce qu’ils ne prendraient pas le virus assez au sérieux.

Mais Ionnidis ne s’est pas laissé abattre, et avec plusieurs autres auteurs, il a publié récemment une nouvelle étude du taux de mortalité de l’infection au COVID. Chose importante, l’article considère la période d’avant-vaccination, et couvre les groupes d’âge non-séniors ; les personnes les plus affectées par les restrictions et les mesures sans fin justifiées par le COVID.

Les Chiffres

L’article commence par énoncer des faits restés presque totalement ignorés des « experts » en confinement au cours de toute la pandémie, mais surtout lorsque des restrictions, confinements, et autres mesures avaient culminé au départ.

Il est important d’estimer avec précision le taux de mortalité à l’infection du COVID-19 pour les personnes non-âgées, en l’absence de vaccination ou d’infection préalable, car 94 % de la population mondiale a moins de 70 ans, et 86 % moins de 60 ans.

  • 94% de la population mondiale a moins de 70 ans.
  • 6% de la population mondiale a plus de 70 ans.
  • 86% de la population mondiale a moins de 60 ans.

Voilà qui est important, car les restrictions ont impacté de manière écrasante les 86-94 % de gens de moins de 60 ou 70 ans.

Ioannidis et ses co-rédacteurs ont passé en revue 40 études nationales de séroprévalence couvrant 38 pays, pour déterminer leur estimation du taux de mortalité de l’infection pour une majorité écrasante de gens.

Chose importante, ces études de séroprévalence ont été menées avant que les vaccins aient été distribués, ce qui signifie que les taux de mortalité par infection étaient calculés indépendamment de l’impact des vaccins sur les groupes d’âges plus jeunes.

Alors qu’ont-ils découvert ?

Le taux médian de mortalité par infection pour le groupe d’âge compris entre 0 et 59 ans était de 0,035%.

Ce groupe constitue 86 % de la population mondiale, et le taux de survie pour ceux qui ont été infectés par le COVID, sans vaccination, était de 99,965 %.

Pour le groupe d’âge 0-69 ans, qui couvre 94 % de la population mondiale, le taux de mortalité était de 0,095 %, c’est-à-dire que le taux de survie pour presque 7,3 milliards de personnes était de 99,965 %.

Ces taux de survie sont de toute évidence extrêmement élevés, ce qui provoque d’ores et déjà une frustration face aux mesures de restrictions qui ont été imposées sur tous les groupes d’âge, alors qu’une protection ciblée sur les personnes âgées de plus de 70 ans et sur les personnes présentant des risques significativement élevés aurait été une mesure nettement préférable.

Mais les choses sont encore pires que cela.

Les chercheurs ont séparé ces données démographiques en groupes d’âge plus petits, qui montrent la montée du risque parmi les populations plus âgées, et réciproquement, à quel point le risque était infinitésimal au sein des groupes les plus jeunes.

  • Ages 60–69, taux de mortalité 0,501 %, taux de survie 99,499 %
  • Ages 50–59, taux de mortalité 0,129 %, taux de survie 99,871 %
  • Ages 40–49, taux de mortalité 0,035 % taux de survie 99,965 %
  • Ages 30–39, taux de mortalité 0,011 %, taux de survie 99,989 %
  • Ages 20–29, taux de mortalité 0,003 %, taux de survie 99,997 %
  • Ages 0–19, taux de mortalité 0,0003 %, taux de survie 99,9997 %

Ils ajoutent qu’« en intégrant les données de 9 autres pays avec une distribution sur l’âge des décès du COVID-19, le taux médian de décès par infection était compris entre 0,025 % et 0,032 % pour les 0-59 ans et de 0,063-0,082 % pour les 0-69 ans. »

Ces nombres sont tellement bas qu’ils sont stupéfiants, tous autant qu’ils sont.

Et le taux de décès est presque inexistant pour les enfants.

Pourtant, aussi tard qu’à l’automne 2021, Fauci continuait de manipuler les peurs au sujet des risques de COVID pour les enfants pour faire monter les taux de vaccination, affirmant au cours d’une interview que la situation n’était « pas bénigne ».

Nous voulons absolument faire vacciner autant d’enfants au sein de ce groupe d’âge que nous le pouvons, car comme vous l’avez entendu, il ne s’agit pas, vous savez, d’une situation bénigne.

Il est presque impossible, pour toute maladie, de faire peser une risque plus faible, ou d’être plus « bénigne », qu’un taux de mortalité de 0,0003 %.

Au mois d’octobre 2021, au cours de la même interview avec NPR, Fauci avait affirmé que les enfants devaient continuer de porter des masques comme « mesure supplémentaire » de protection, y compris après la vaccination :

Et lorsque l’on a ce type de dynamique virale, même lorsque vos enfants sont vaccinés, vous voulez certainement, lorsque vous vous trouvez à l’intérieur de bâtiments, prendre des mesures supplémentaires pour les protéger. Je ne suis pas en mesure de vous donner un nombre exact de ce que cela représenterait dans la dynamique du virus au sein de la communauté, mais on peut espérer en disposer dans un délai raisonnable. Vous savez, les masques, comme on le dit souvent, on ne va pas les porter indéfiniment. Et on peut espérer parvenir à un stade où nous pourrons retirer les masques dans les écoles et en d’autres lieux. Mais je ne pense pas que ce moment soit arrivé.

Rien ne souligne mieux l’incompétence et la désinformation manifestées par le Dr. Fauci que d’ignorer qu’avant toute vaccination, les enfants subissaient des risques extrêmement faibles de la part du COVID, que l’utilisation de la vaccination parmi les enfants était absolument inutile puisqu’elle n’empêchait ni l’infection, ni la transmission, et que l’utilisation du masque est totalement inopérante pour protéger qui que ce soit. Surtout ceux qui n’ont pas besoin de protection au départ.

Le CDC, communauté « experte », l’OMS, les personnes en vue dans les médias — tous ont propagé une terreur selon laquelle le virus tuait les gens en masse, en confondant les taux de mortalité par cas avec les taux de mortalité par infection.

Mais nous avons un autre élément pour suggérer que les estimations initiales de l’OMS étaient fausses à 99 % pour 94 % de la population mondiale.

Pour apporter un peu de perspective, voici la différence illustrée de manière visuelle entre ce que l’OMS a affirmé, et ce qu’Ionnidis a découvert :

Même si les confinements, les mesures de port du masque, les limites de capacité des établissements recevant le public et les fermetures des espaces de jeux avaient fonctionné, les dangers induits par le virus étaient tellement minuscules que les dégâts collatéraux l’emportaient immédiatement sur tout bénéfice potentiel.

La destruction économique, l’augmentation des taux de suicide induite par un isolement apparemment sans fin, les taux terrifiants de déficit d’enseignement, l’augmentation de l’obésité chez les enfants, la chute spectaculaire des réussites aux tests, l’augmentation de la faim et de la pauvreté, les problèmes d’approvisionnements, l’inflation rampante ; tout cela est un débouché direct de politiques imposées par des « experts » terrifiés et incompétents.

Leurs estimations étaient catastrophiquement fausses, mais ils ont conservé des années durant leur sens de l’autorité, sans contestation, et ils continuent de recevoir des récompenses, des louanges, de plus en plus de financements, et un sens de l’infaillibilité règne parmi les politiciens et les décideurs.

Si la raison et l’honnêteté intellectuelles existaient encore, ces estimations feraient les gros titres de tous les grands médias du monde.

Au lieu de cela, comme les médias et leurs alliés dans les classes technologiques, du monde de l’entreprise, et politiques promulguent et encouragent les confinements et les restrictions en censurant toute pensée divergente, ces faits restent ignorés.

Il n’y a pas plus COVID que cela.

Ian Miller

Traduit par José Martí, relu par Wayan, pour le Saker Francophone

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2 Réponses à “On nous a menti sur la mortalité du Covid. C’est un fait !”

  1. Nous sommes dirigés par des ordures qui ne respecte meme pas la vie avec les milliers de morts qu’ils ont causés, assassinent 30 000 retraités avec le rivotril et cause des centaines de milliers de morts car non accepté aux urgences ( vu sur ce blog ) parce que non vaccinés… et auraient pu intervenir…

    Humain ? non, des sans ames qui n’eprouve rien des morts qu’ils ont causé.
    C’est pourquoi si le peuple ce revolte, qu’ils l’ecraseront sans pitié, la seule voie EST PACIFIQUE pour ne pas leur donner l’occasion d’agir.

    N’oubliez pas qu’ils sont plus dur avec le peuple qu’avec la racaille, non par faiblesse car tous les gouvernements ont fait de meme, et le fait qu’ils nous remplace et baillonne le peuple avec la bien pensance prouve que l’on ne compte plus.

    Le fait de mettre l’huile sur le feux pour pousser a la guerre avec la russie, refusant la negociation, montre que ce sont des psychopates qui nous dirigent, la preuve, les milliers de morts qu’ils ont causé ne les empechent nullement de bien dormir et d’agir comme d’habitude.

  2. Si on se refere a l’expert en europe tel que von der layen, qui a acheté pour des milliards les vaccins a son copain,
    on peut penser que d’autres expertsdans le monde ont ete sous influence ou directement plus ou moins interessé par les interets du bug pharma.

    Ces animaux ont travaillé a la destruction de la civilisation, tout en ayant connaissance du peu d’effet du covid sur la plupart des gens.

    Les grands de ce monde ont demontré depuis longtemps, le peu d’interet qu’ils accordent aux peuples, qui n’est qu’un pion pour eux,
    le covid,
    la variole du singe,
    celle du crapaud,
    etc…

    Tout un systeme est mis en place pour tendre a une vaccination qui a l’evidence cache un vrai but.

    Detruire l’economie, pour modifier le monde a la convenance des zigotos bobo pd ++, et probablement pour les pedophiles.

    Le peuple aura encore moins qu’avant.

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