#PfizerGate : l’omerta des médias !

Publié par le 5 Nov, 2021 dans Blog | 4 commentaires

#PfizerGate : l’omerta des médias !

Certes, il est du devoir de la presse de trier parmi toutes les informations qui circulent et d’écarter les Fake News

Mais, la presse française a été bien au delà et a jugé de la nature des Fake News, non pas à l’aune des faits vérifiables mais à celle de la pensée dominante et des directives sanitaires du pouvoir macronien.

Par exemple, dans le documentaire Hold Up qui avait été descendu en flammes par les médias de grand chemin, tout n’était pas à jeter même si une partie méritait le terme de complotisme. Mais la presse a tout rejeter en bloc alors qu’il y avait des choses très intéressantes, notamment des témoignages de médecins de ville qui avait traité avec succès des centaines de patients avec la chloroquine.

Depuis l’arrivée des vaccins, les médias ont fait l’omerta sur tout ce qui pouvait contrarier la vaccination en censurant toute information émettant un doute sur l’efficacité ou la nocivité des vaccins.

On a appris depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux que des doutes réels existaient sur le sérieux des tests mis en oeuvre par Pfizer sur son vaccin.

Et cette information n’est absolument pas relayée sur les grands médias.

Voici un article du Saker Francophone qui nous rapporte la nature de ces doutes :

Un chercheur dénonce des problèmes d’intégrité
dans les données de l’essai du vaccin Pfizer.

En résumé :

Un directeur régional qui travaillait pour l’organisme de recherche Ventavia Research Group a déclaré au British Medical Journal (BMJ) que l’entreprise avait falsifié des données, pas respecté l’anonymat des patients, employé des vaccinateurs insuffisamment formés et lente à assurer le suivi des effets indésirables signalés dans l’essai pivot de phase III de Pfizer. Le personnel chargé des contrôles de qualité était submergé par le nombre de problèmes qu’il découvrait. Après avoir signalé à plusieurs reprises ces problèmes à Ventavia, la directrice régionale, Brook Jackson, a envoyé une plainte par courriel à la Food and Drug Administration (FDA). Ventavia l’a licenciée le jour même. Mme Jackson a fourni au BMJ des dizaines de documents internes de l’entreprise, des photos, des enregistrements audios et des courriels.

Extraits :

Une mauvaise gestion du laboratoire

Sur son site Internet, Ventavia se présente comme la plus grande société privée de recherche clinique du Texas et énumère les nombreux prix qu’elle a remportés pour ses travaux sous contrat. Mais Jackson a déclaré au BMJ que, pendant les deux semaines où elle a travaillé chez Ventavia en septembre 2020, elle a informé à plusieurs reprises ses supérieurs de la mauvaise gestion du laboratoire, de problèmes de sécurité envers les patients et de problèmes d’intégrité des données. Jackson était une auditrice d’essais cliniques formée qui occupait auparavant un poste de directrice des opérations et est arrivé à Ventavia avec plus de 15 ans d’expérience dans la coordination et la gestion de la recherche clinique.

Des inquiétudes soulevées

Dans son courriel du 25 septembre à la FDA, Mme Jackson écrit que Ventavia avait recruté plus de 1000 participants sur trois sites. L’essai complet (enregistré sous le numéro NCT04368728) comptait environ 44 000 participants répartis sur 153 sites comprenant de nombreuses sociétés commerciales et des centres universitaires. Elle a ensuite énuméré une douzaine de problèmes dont elle a été témoin, notamment :

  • Des participants placés dans un couloir après l’injection et non surveillés par le personnel clinique.
  • Absence de suivi en temps utile des patients ayant subi des effets indésirables
  • Les déviations du protocole ne sont pas signalées
  • Des vaccins qui ne sont pas conservés à la bonne température
  • Des spécimens de laboratoire mal étiquetés, et
  • les employés de Ventavia qui osent signaler ces problèmes sont pris pour cible.

Quelques heures plus tard, Mme Jackson recevait un courriel de la FDA la remerciant de ses préoccupations et l’informant que la FDA ne pouvait pas faire de commentaires sur une éventuelle enquête. Quelques jours plus tard, Jackson recevait un appel d’un inspecteur de la FDA pour discuter de son rapport, mais celui-ci lui a dit qu’aucune autre information ne pouvait être fournie. Elle n’a plus entendu parler de son rapport.

Dans le document d’information de Pfizer soumis à une réunion du comité consultatif de la FDA qui s’est tenue le 10 décembre 2020 pour discuter de la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence de son vaccin covid-19, la société n’a fait aucune mention des problèmes sur le site de Ventavia. Le lendemain, la FDA délivrait l’autorisation pour le vaccin.

En août de cette année, après l’autorisation complète du vaccin de Pfizer, la FDA a publié un résumé de ses inspections de l’essai pivot de la société. Neuf des 153 sites de l’essai ont été inspectés. Les sites de Ventavia ne figuraient pas parmi les neuf, et aucune inspection des sites où des adultes ont été recrutés n’a eu lieu dans les huit mois qui ont suivi l’autorisation d’urgence de décembre 2020.

Les témoignages d’autres employés

Au cours des derniers mois, Jackson a repris contact avec plusieurs anciens employés de Ventavia qui ont tous démissionés ou ont été licenciés de l’entreprise. L’un d’eux était l’un des responsables qui avaient pris part à la réunion de fin septembre. Dans un SMS envoyé en juin, l’ancien cadre s’est excusé, déclarant que « tout ce dont vous vous êtes plaint était exact ».

Deux anciens employés de Ventavia ont parlé au BMJ sous couvert d’anonymat par crainte de représailles et de perte de perspectives d’emploi dans une communauté de recherche très soudée. Tous deux ont confirmé de larges aspects de la plainte de Jackson. L’une d’elles a déclaré qu’elle avait travaillé sur plus de quatre douzaines d’essais cliniques au cours de sa carrière, dont de nombreux essais de grande envergure, mais qu’elle n’avait jamais connu un environnement de travail aussi « désordonné » que celui de Ventavia pour l’essai Pfizer.

Depuis que Jackson a signalé les problèmes de Ventavia à la FDA en septembre 2020, Pfizer a continué à travailler avec Ventavia comme sous-traitant de recherche pour quatre autres essais cliniques de vaccins.

Traduit par Wayan, relu par Hervé, pour le Saker Francophone

Quand on sait que le vaccin Pfizer utilise la technologie novatrice de l’ARN Messager n’était-il pas impératif de mener avec un maximum de rigueur les tests sur ce vaccin ?

Agnès Buzyn et Olivier Véran avaient interdit l’utilisation de l’hydrochloroquine après un simple article totalement bidonné paru dans The Lancet.

Pourquoi aujourd’hui ce silence des autorités politiques et sanitaires sur ce problème de test chez Pfizer ?

Pourquoi la presse de grand chemin se rend-elle coupable de complicité avec ces pouvoirs ?

Où est passée la déontologie journalistique dans notre pays ?

Merci de tweeter cet article :





4 Réponses à “#PfizerGate : l’omerta des médias !”

  1. un seul journal france soir a écrit un article sur le
    PFIZER GATE

  2. Une infos de plus qui denonce de nouveau scandale sur les vaccins…

    Les interets, la malhonneteté, l’hypocrisie, le terrorisme intellectuel pour vendre un vaccin,
    et le terrorisme intellectuel du gouverement pour rentabiliser son achat de vaccin,
    plus les fait cachés sur les effet secondaire, les proces contre ceux qui denoncent ces problemes, ou qui soignent les patient differemment…

    Les hospitalisés vaccinés plus nombreux que les non vaccinés, et avec les formes du covid les plus graves…

    Ca fait beaucoup de scandale, de mensonges, dont les merdias et gouvernement sont les propagateurs.

    • Vaccins à ARNm : une usine à monstres
      https://ripostelaique.com/vaccins-a-arnm-une-usine-a-monstres.html

      Être un OGM sur pattes ?

      Les zékolos qui traquent les citrouilles améliorées ne voient pas où est le problème. Mais pour le professeur de médecine Christian Perronne, spécialiste des maladies virales émergentes, président du Haut Conseil de la santé publique avant d’être révoqué par le dictateur psychopathe qui ne supporte pas d’être contredit par des gens infiniment plus calés que lui :

      « Il existe un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants.

      Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. »

      L’ARN messager injecté est un fragment synthétique du coronavirus encapsulé dans des nanoparticules lipidiques pour mieux pénétrer les cellules musculaires lors de l’injection.

      Ces fragments iront ensuite se loger dans les cellules saines du cobaye, y compris dans celles qui ne risquent pas d’avoir été infectées. Cette action reprogrammant les cellules saines pour qu’elles produisent elles-mêmes des copies de fragments du virus réel, dans l’espoir de déclencher des anticorps.

      Ainsi selon le professeur Byram Bridle (Canadien) spécialiste en immunologie virale : « Les vaccins ARNm qui ont été testés pour la première fois sur des animaux ont donné lieu à des études qui n’ont jamais été rendues publiques, montrant que les nanoparticules d’ARNm ne restent pas localement au site de ponction dans le tissu musculaire, comme supposé et revendiqué par les fabricants, mais vont dans les organes avec des concentrations parfois dramatiques, où ils sont transférés de cellules en cellules et absorbés en continu. »

      La protéine Spike du vaccin est une toxine qui ne se limite pas à créer des dommages cardio-vasculaires ou à infecter le cerveau de prions. On croyait que l’injection dans l’épaule restait localisée. Mais les études de Bridle ont montré que la protéine s’accumule ensuite dans le sang, le foie, la moelle, les testicules et les ovaires.

      Ce « vaccin » expérimental interfère avec votre ADN qu’il modifie. Avec, dans le meilleur des cas, aucun effet positif d’anticorps au-delà d’une courte durée. Et dans le pire, la disparition de vos défenses immunitaires naturelles, vous mettant à la merci de la première infection qui traîne. Mais ce n’est pas l’effet le plus dommageable.

      Le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine et de physiologie, s’en est longuement expliqué. Incapables de réfuter ses arguments par une rigoureuse démonstration scientifique, les pitoyables médicastres de cour reconvertis en animateurs télé, l’ont traité de « complotiste ». L’anathème absolu qui clôt toute discussion quand on n’a rien d’autre à dire.

      Il faut reconnaître que, sans un solide bagage scientifique, on a parfois du mal à suivre. Mais il ne manque pas de sites et de vidéos de vulgarisation qui expliquent, de façon compréhensible par tout le monde, les inconvénients des pseudo vaccins dont la seule utilité est d’enrichir Big Pharma, et au passage, de remplir les poches des politiciens véreux qui touchent leur pourcentage.

      Potentiel cancérigène des mixtures vaccinales

      Les perturbations physiologiques provoquées par les pseudo vaccins n’ont pas pour unique désagrément de vous affaiblir, confronté à un simple rhume, ou de modifier votre personnalité. On a remarqué qu’elles ont aussi la propriété de susciter, ou pour le moins de « réveiller » des cancers.

      Ainsi a-t-on observé des cas de personnes considérées depuis plus de 10 ans en rémission, développant des métastases fulgurantes peu après la piquouse. On peut prétendre qu’il s’agit d’une coïncidence, et que le crabe n’était qu’endormi. Soit.

      On a observé des personnes en parfaite santé qui ont connu une multiplication de cellules malignes, en particulier dans le foie ou le pancréas, cellules privilégiées dans les athanors des sorciers de Big Pharma en quête de débris humains à injecter. On peut dire qu’il s’agit d’une coïncidence et que le cancer existait déjà à l’état latent. Mais alors, il faut admettre que la mixture à ARN messager a constitué le fait déclencheur du passage au crime.

      Enfin, grâce à la médecine préventive, de plus en plus de gens se font tester pour détecter d’éventuels cancers à leurs débuts. Ainsi pour les cancers du sein, de l’utérus, de la prostate, colorectal ou les mélanomes. Lorsque le dépistage conclut que la personne ne risque rien au moins pour une durée de un à deux ans, et que quelques semaines après la piquouse, un cancer se déclare et se développe de façon fulgurante… Peut-on encore parler de coïncidence ?

      En tout cas, ce n’est pas une coïncidence si les vrais médecins qui dénoncent cette situation sont mis à l’amende par le conseil du désordre, puis interdits d’exercice en cas de récidive.

      Génotoxicité et risques tératogènes

      Les chromosomes et les cellules, cibles des prétendus vaccins à ARNm, disposent de mécanismes naturels de réparation de l’ADN ou d’élimination des cellules mutantes défectueuses. Mais si la « réparation » est mal faite ou incomplète, les lésions de l’ADN conduisent à des mutations permanentes et irréversibles, souvent délétères. Or c’est souvent le cas avec les perturbations apportées par les pseudo-vaccins.

      Quand ces mutations affectent des gènes impliqués dans la prolifération ou la survie cellulaire, celles-ci peuvent être la source de tumeurs et de cancers divers. Mais il n’y a pas que ça. Lors de ces chamboulements dans l’organisme où les codes génétiques sont altérés, les spermatozoïdes et les ovules n’échappent pas aux expérimentations des pervers détraqués.

      Quand l’ADN des gamètes (spermatozoïdes et ovocytes) est concerné, si la mutation est délétère mais viable, elle pourra être transmise à la descendance, même si elle demeure à l’état latent et survient plus tard durant l’embryogenèse ou le développement ultérieur de l’organisme. Ainsi risque-t-on de produire des monstres. Sur plusieurs générations.

      Quand on recherche les substances malformatives qui augmentent le risque de malformations du fœtus, ou fœto-toxiques, qui peuvent altérer le développement embryonnaire et la santé du futur bébé, on découvre, atterré, de nombreux médicaments approuvés par les autorités sanitaires « préoccupées avant tout de votre santé © Le Varan à la langue fourchue. » Médicaments fabriqués par les mêmes multinationales qui veulent faire injecter leurs poisons au monde entier.

      Parmi les plus connus : l’isotrétinoïne contre le traitement de l’acné, la dépakine généreusement prescrite comme neuroleptique, la thalidomide interdite dans les sixties et aujourd’hui à nouveau prescrite, pour ses propriétés antitumorales, malgré plus de 20.000 victimes dans le passé. Ajoutez-y, pour faire bonne mesure, les prions qui ramollissent le cerveau, générés par les protéine Spike.

      Futurs parents, vous savez que votre enfant risque de ne pas tirer le meilleur numéro à la loterie des chromosomes. C’est la loi de la vie.

      Mais si la roulette est truquée, parce que vous vous êtes fait injecter une préparation des docteurs Frankenstein, le risque est très important d’avoir un gamin « hors normes » et pas dans le meilleur sens du terme : Phocomèles à divers degrés, hyperdactyles, achondroplases, mongoliens, débiles mentaux, siamois et même hypertrichoses, cette aberration génétique rare à l’origine de la légende des loups garous.

  3. https://www.youtube.com/post/UgkxDvggZBNbS2nCLWUX-3YfcGDCKageVJc6

    QUELLE ANALYSE PLEINE DE BON SENS ! Le Dr. Louis Fouché vous dit tout sur cette crise et les dérives d’une société aux mains des multinationales !

    À ne pas louper : https://lactudissidente.com/le-dr-lou

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