Plenel : la première erreur majeure de Macron ?

Publié par le 14 Avr, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Plenel : la première erreur majeure de Macron ?

De Jean-Pierre Pernaut à Edwy Plenel,
la chute est vraiment vertigineuse !

De la France profonde, à la boboïtude bornée …

De l’identité française la plus assumée
à l’islamogauchisme le plus radical …

Mais comment Emmanuel Macron – Jupiter soi-même – a t-il pu se commettre avec un si triste sire ?

Je viens de tomber sur le fil twitter de Pascal Pointud, président départemental de CPNT (Chasse, Pêche, Nature et Traditions), qui propose une édifiante liste des « erreurs » commises par Edwy Plenel au cours de sa carrière :

Plenel et ses nombreuses « erreurs »

Depuis que l’affaire de Septembre Noir remonte à la surface, impliquant Edwy Plenel et son apologie au terrorisme en soutenant l’action du Fatah lors des JO de Munich en 1972, il déclare aujourd’hui que son écrit dans Rouge n’était qu’une pure erreur due à ses 20 ans d’alors, donc je me suis amusé de répertorier les quelques erreurs significatives du sieur Plenel qui je dois le dire les accumule et pas seulement à cause de ses 20 ans

A 20 ans, il s’était trompé pour Septembre Noir.

A 34 ans, il s’était trompé sur l’affaire des écoutes de l’Élysée notamment sur celle concernant selon Plenel Carole Bouquet en fait il s’agissait de son mari Jean Pierre Rassam qui à l’époque avait produit un film compromettant sur Kadhafi, le Ben Laden des années 90 et du financement du terrorisme.

A 39 ans, il s’était trompé pour les narcos trafiquants du Panama et le financement campagne Mitterrand en produisant déjà des faux en écriture très grossiers.

A 41 ans, il s’était trompé pour le prêt Bérégovoy, déchaînant alors lors des obsèques de cet Homme d’État, dont la Justice démontrera toute la légalité de la procédure, le célèbre « l’honneur livré aux chiens » qui lui était directement dédié par François Mitterrand.

A 49 ans, il s’était trompé pour l’affaire Clearstream et Denis Robert en oubliant de mentionner la vérité pour Denis Robert et en le chargeant dans Le Monde alors qu’il en était le directeur.

A 61 ans, il s’était trompé pour la lettre de Mandela lue en Jordanie dénonçant l’Etat d’Israël et son système d’apartheid, sauf que cette lettre était reconnue comme étant un faux depuis 2002, écrite par un journaliste palestinien exilé aux Pays Bas qui reconnaîtra « son exercice de style ».

A 62 ans, il s’était trompé sur Tariq Ramadan, insistant malgré les plaintes, contre l’instruction judiciaire du criminel présumé, n’hésitant pas à braver les plateaux TV engoncé dans ses mensonges.

Par contre de 2008 à 2014, il ne s’est pas trompé, il bel et bien fraudé le FISC en s’imposant un taux de TVA pour Médiapart ne correspondant en rien à la légalité et depuis 2015 il doit rembourser et on attend toujours comme les faits précités et ce dernier que Mr Edwy Plenel SOIT CONDAMNE pour « l’ensemble de son oeuvre »

Voilà pourquoi, venant de sa part, je ne crois en rien ses écrits à l’encontre de Nicolas Sarkozy.

Pascal Pointud
Président Départemental
CPNT 63

On pourra aussi lire l’article d’Elisabeth Lévy paru récemment dans Causeur.fr :

Macron choisit Plenel: sale temps pour Charlie et le camp laïque !

Extraits :

Or, en adoubant Plenel, il intronise un homme qui, il y  quelques mois, quand les menaces de mort pleuvaient sur le journal de Charb pour cause de lèse-Ramadan (Tariq), a cru bon d’en rajouter en écrivant que Charlie menait « une guerre contre les musulmans ». 

Au moins sera-t-on d’accord avec lui sur un point, le patron de Mediapart n’est pas n’importe quel journaliste. Il est doublement idéologue, animé par une vision robespierriste du monde et de son métier. On suppose qu’il sera poli et se gardera de rappeler à son partenaire d’un soir, Jean-Jacques Bourdin, sa condition de salarié de Patrick Drahi. Convaincu d’incarner le seul et vrai journalisme, Plenel adore faire la leçon au reste de la profession et citer Mediapart comme l’étalon de la vertu. Mais on dirait que ce qu’il aime par-dessus tout, c’est faire peur.

Plenel défend en outre une conception particulière de la France et du monde, qu’il a lui-même définie comme une forme de trotskisme culturel et qui est à la croisée du nuitdeboutisme et de l’indigénisme, le tout noyé dans un fond de sauce anticapitaliste et tiers-mondiste. Ainsi, depuis le 7 janvier 2015, s’évertue-t-il à nous expliquer que le principal danger qui menace la France, c’est l’islamophobie …

Alors que la question de la laïcité et de la capacité de l’islam à s’y conformer organise un clivage bien plus existentiel que le clivage droite/gauche, alors que le séparatisme islamiste, et l’antisémitisme qui va avec, continuent à progresser, choisir comme interlocuteur un homme qui refuse de les nommer, c’est adresser un signal déplorable à l’ensemble du camp laïque.

Et c’est une insulte à la mémoire de Charb, Cabu et de tous les morts de Charlie Hebdo.

Elisabeth Lévy pour Causeur.fr

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