Progressisme, décolonialisme :
Il faut rendre coup pour coup !

Publié par le 3 Juin, 2021 dans Blog | 2 commentaires

Progressisme, décolonialisme :  Il faut rendre coup pour coup !

Ils nous ont déclaré la guerre !

– Les progressistes piétinent nos valeurs,
– Les racialistes ont réintroduit la race et donc le racisme,
– Les indigénistes détruisent la cohésion nationale,
– Les féministes exacerbent les rapports femme-homme,
– les islamistes veulent éradiquer le christianisme.

Bref toutes ces idéologies en « isme » sont un danger mortel pour la France si on les laisse saper les fondations millénaires de notre nation.

Le plus grave, c’est que tous ces adversaires sont des ennemis de l’intérieur !

On ne peut plus leur opposer une simple résistance respectant à la lettre nos valeurs. Il faut les combattre et retourner leurs armes contre eux !

C’est ce qu’a fait l’historien africaniste Bernard Lugan en retournant contre les indigénistes l’arme de l’accusation d’esclavagisme.

Voici un article d’Henri Dubost paru sur Riposte Laïque et dans Dreuz.info et qui présente les travaux de Bernard Lugan :

Oui, les ancêtres d’Obono étaient esclavagistes !

Le 14 avril 2021, le Parquet de Paris donnait suite à la plainte de la députée Danièle Obono à l’encontre de Valeurs Actuelles pour « injure publique à caractère raciste ».

En cause, le numéro du 27 août 2020 de Valeurs Actuelles représentant en page 43 « Obono l’Africaine » dessinée de profil, le corps visiblement nu et le cou enchaîné :

avec ce commentaire sans équivoque :

« Où la députée insoumise expérimente la responsabilité des Africains dans les horreurs de l’esclavage ».

Il s’agissait pour l’hebdomadaire de dénoncer de manière particulièrement imagée l’amendement déposé au mois de juin 2020 devant le Parlement européen par LaFrance Insoumise, le parti auquel appartient Obono, amendement visant à reconnaître comme « crime contre l’humanité » la traite négrière transatlantique tout en occultant – de manière évidemment volontaire – le fait qu’il y eut deux autres traites négrières, beaucoup plus meurtrières : la traite arabo-musulmane (dont anthropologue franco-sénégalais Tidiane N’Diaye a montré qu’elle constitua en fait un véritable génocide), mais aussi la traite intra-africaine, qui, indépendamment de la traite atlantique à laquelle elle est en partie liée, fut plus importante en nombre et en durée.

Un rappel historique qui ne fut évidemment pas du goût du marigot islamo-gauchiste auquel appartient Danièle Obono :

« Ça suffit le harcèlement nauséabond », a ainsi fustigé Jean-Luc Mélenchon, le chef de file LFI.

« Tous les démocrates et républicains devraient se lever unanimement pour dire ASSEZ », a de son côté fulminé Alexis Corbière, également membre de LFI.

Cette affaire Obono – Valeurs Actuelles n’est pas sans rappeler l’appel à suspension à l’encontre de l’historien Olivier Pétré-Grenouilleau lors la sortie de son ouvrage sur les trois traites négrières.

Dans son blog, l’africaniste Bernard Lugan met les choses au point :

« Sans ces partenaires locaux, cette traite eut été en effet, et par définition, impossible puisque les esclaves étaient capturés, transportés, parqués et vendus par des chasseurs d’esclaves noirs. Et comme les acheteurs blancs attendaient sur le littoral ou à bord de leurs navires que les captifs leur soient livrés, il dépendait donc in fine des négriers africains d’accepter ou de refuser de leur vendre leurs “frères” noirs. Une réalité essentielle que je développe largement dans mon livre Esclavage, l’histoire à l’endroit en démontrant qu’une partie de l’Afrique s’est enrichie en vendant l’autre partie… »

Or Danièle Obono est particulièrement fière de ses racines africaines : elle revendique haut et fort sa double appartenance :

  • ethnie Punu [Note 1] par sa mère
  • ethnie Fang [Note 2] par son père.

De quoi être fière, assurément : comme le souligne Bernard Lugan, les Punu et les Fang sont en effet « deux grands peuples conquérants et colonisateurs », dont précise-t-il, « l’expansion est parfaitement documentée » [Note 3]

Un détail cependant : les deux ethnies dont se réclame crânement la députée Obono ont largement profité du trafic négrier

Punu et Fang allaient en effet prospecter à l’intérieur du continent africain afin d’y capturer leurs « frères noirs » et les amener enchaînés sur les côtes où les attendaient les bateaux « blancs » en partance pour les Amériques. Un commerce qui a assuré la richesse et la puissance de ces deux peuples, jusqu’à l’abolition de l’esclavage par… les Blancs.

Ce n’est donc pas en tant qu’esclave enchaînée que Valeurs Actuelles aurait dû représenter Obono, mais en tant qu’esclavagiste enchaînant ses « frères africains »!

En octobre 2003, les évêques africains réunis à Gorée au Sénégal ont publié une déclaration dans laquelle ils demandent « le pardon de l’Afrique à l’Afrique ».

Déclaration dans laquelle on pouvait lire ces mots particulièrement forts :

« Commençons donc par avouer notre part de responsabilité dans la vente et l’achat de l’Homme Noir, hier et aujourd’hui… Nos pères ont pris part à l’histoire d’ignominie qu’a été celle de la traite et de l’esclavage noir. Ils ont été vendeurs dans l’ignoble traite atlantique et transsaharienne [= arabo-musulmane…] »

En 1999 déjà, le président Matthieu Kérékou du Bénin s’était agenouillé devant une congrégation noire de Baltimore afin de demander pardon aux Afro-Américains et à toute la diaspora noire pour le « rôle honteux que les Africains ont joué durant la Traite ».

Valeurs Actuelles sera jugé le 23 juin prochain par le tribunal correctionnel de Paris. Par la voix de Geoffroy Lejeune, son directeur de la rédaction, l’hebdomadaire a déjà annoncé la couleur :

« Ce procès sera l’occasion de démontrer les postures politiciennes de ceux qui nous ont attaqués à l’occasion de cette affaire, de prouver notre bonne foi à ceux qui ont été troublés, et d’expliquer enfin clairement nos intentions dans ce dossier : lutter contre le discours des indigénistes et la guerre des mémoires qui conduit à la fracturation de la France. »

On peut penser que Valeurs Actuelles citera Bernard Lugan comme témoin. Les connaissances de l’africaniste en matière d’histoire du continent noir devraient remettre les indigénistes à leur place…

Henri Dubost

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2 Réponses à “Progressisme, décolonialisme :
Il faut rendre coup pour coup !”

  1. Mais ces gens là se foutent des explications historiques, tout est binaire chez eux, le Blanc est forcément coupable et le Noir innocent, le premier est forcément tortionnaire et le second pacifique, il faut voir tout ça sous un prisme marxiste dont tous sont issus, il y a les oppresseurs et les opprimés, ils ont remplacé la lutte des classes par la luttes des races.

  2. pseudo49 JP dit:

    Aucune honneteté a attendre des vendus qui se foutent de la France et des raisons qui poussent l’honnete citoyen a defendre ses droits et son pays, sur la base de fait exacts qui seront nié par les caprices des pourris !

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