Quand le progressisme le plus extrême infiltre l’ONU …

Publié par le 27 Sep, 2021 dans Blog | 1 commentaire

Quand le progressisme le plus extrême infiltre l’ONU …

La principale menace qui pèse actuellement sur l’occident n’est pas l’islam radical, mais bien, un ennemi de l’intérieur qui avance masqué : le progressisme.

Son bras armé est constitué par le pouvoir des juges qu’il alimente continuellement en lois dangereuses pour la survie même de la civilisation occidentale.

Le milliardaire George Soros est en pointe dans ce combat.

En février 2020, je dénonçais la main-mise du milliardaire progressiste George Soros sur la CEDH dans deux articles:

Délivrez-nous de la CEDH !
George Soros : une CEDH à sa main !

Ces articles rapportaient les informations accablantes contenues dans le rapport du directeur de l’European Centre for Law and Justice,  Grégor Puppinck.

Aujourd’hui, Grégor Puppinck récidive en s’en prenant cette fois-ci à l’infiltration de l’ONU par le même milliardaire George Soros, comme nous le rapporte cet article de Valeurs actuelles dont voici des extraits :

Financement opaque des “experts de l’ONU” : le rapport Puppinck a l’effet d’une bombe aux Nations unies

Révélé cet été par Valeurs actuelles, le rapport de l’European Center for Law and Justice (ECLJ) qui met en lumière le poids financier considérable acquis par quelques fondations privées sur le système des droits de l’homme de l’ONU, a suscité des débats houleux à Genève. Certains rapporteurs incriminés ont réagi en attaquant directement le lanceur d’alerte Grégor Puppinck.

Grégor Puppinck

Il faut dire que le contenu en est pour le moins explosif : le document met en lumière le poids financier considérable acquis par quelques fondations privées sur le système des droits de l’homme de l’ONU. Il révèle en particulier qu’au moins 37 des 121 experts en fonction entre 2015 et 2019 ont reçu au moins 11 millions de dollars en dehors de tout contrôle de l’ONU, principalement en provenance de la fondation Ford, de l’Open Society de George Soros et de donateurs anonymes. Il montre aussi comment des fondations et des gouvernements agissent pour financer, influencer, et même pour « recruter » des experts. Bien que violant les règles de l’ONU et de toute législation anticorruption, ces pratiques étaient tolérées, les experts étant considérés comme intouchables, protégés par l’immunité diplomatique et une forme d’omerta.

Je passe sur la partie du rapport qui montre que les experts concernés ont réagi en attaquant violemment Grégor Puppinck et son rapport.

Plusieurs États, excédés par l’activisme idéologique de quelques experts, veulent mettre de l’ordre dans le système

Plusieurs ONG – non financées par Soros – sont intervenues durant le débat pour soutenir le rapport, s’interrogeant sur les motifs de cette attaque contre l’ECLJ alors que le rapport expose des faits objectifs, vérifiables, et demande une plus grande transparence financière, ce qui devrait être évident pour tous. Ce fut le cas en particulier de l’Institute for NGO research (ONG pro-israélienne aussi appelée NGO Monitor), du Centre for Health science and Law, et de l’organisation catholique C-Fam. L’un d’entre eux fut interrompu par le président nouvellement élu des experts, le rapporteur spécial sur les droits LGBT, Victor Madrigal-Borloz. Ce dernier tenta en conclusion de discréditer le rapport en essayant d’expliquer que les experts « s’auto-régulent ».

La qualité et la pertinence du rapport ont aussi été reconnues par plusieurs experts qui ont envoyé des messages de soutien à l’ECLJ qui a aussi été remercié par des ambassadeurs auprès des Nations unies. Il est fort probable que ce rapport fasse encore l’objet de vives discussions le 14 septembre, durant la prochaine session du Conseil des droits de l’homme à Genève, car plusieurs États, excédés par l’activisme idéologique de quelques experts, veulent mettre de l’ordre dans le système. Stimulés par ce rapport, peut-être parviendront-ils à imposer l’adoption de règles éthiques et financières plus strictes. L’ECLJ interviendra aussi dans le débat. Il est certain qu’ils vont se heurter à l’opposition farouche du camp mondialiste libéral libertaire dont les fondations Ford et Open Society sont des instruments d’influence importants.

En fait, les fondations Open Society et Ford ne sont pas seulement les principaux financeurs privés des experts de l’ONU. Comme à la CEDH, plusieurs responsables de l’Open Society sont aussi devenus des rapporteurs spéciaux, tels messieurs Pūras, Baldo ou García-Sayán, en plus de Mme Ní Aoláin. Et de très nombreux autres experts sont issus d’ONG également financées par les mêmes fondations.

Il est impossible de prévoir quels seront les effets de ce rapport, mais il a déjà le mérite d’avoir mis en lumière un point central du système de pouvoir et d’influence exercé au plus haut niveau par le réseau tissé par l’Open Society et quelques autres fondations similaires qui constituent l’élite de la gouvernance mondiale actuelle.

La rédaction de Valeurs actuelles.

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Une réponse à “Quand le progressisme le plus extrême infiltre l’ONU …”

  1. Toto soros finance, manipule, installe ces experts qui ont la meme politique que la sienne… ou sont manipulés.

    Le rapport insiste sur des deviations du système de pouvoir et d’influence exercé au plus haut niveau par le réseau tissé par l’Open Society et quelques autres fondations similaires qui constituent l’élite de la gouvernance mondiale actuelle.

    La manipulation doit etre eradiquée.

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