Quel suppôt de l’extrême droite a pu dire ça ?

Publié par le 21 Nov, 2022 dans Blog | 0 commentaire

Quel suppôt de l’extrême droite a pu dire ça ?

« En raison de la présence en France de près de quatre millions et demi de travailleurs immigrés et de membres de leurs familles, la poursuite de l’immigration pose aujourd’hui de graves problèmes.

La cote d’alerte est atteinte.

Il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage.

Je précise bien : il faut stopper l’immigration officielle et clandestine.

Se trouvent entassés dans des ghettos, des travailleurs et des familles aux traditions, aux langues, aux façons de vivre différentes. Cela rend difficile leurs relations avec les Français. »

Alors, avez-vous trouvé l’auteur de cette déclaration ?

La logique voudrait que ce soit Jean-Marie Le Pen ! Vous n’y êtes pas du tout !

Eric Zemmour était encore un peu jeune et pas assez connu à l’époque !

Vous donnez votre langue au chat ?

Pour le savoir cliquez sur lingette ci-dessous :

Alors épaté ?

Mais alors, il y a des leçons à tirer de cette surprise.

Cela nous démontre que les responsables de l’omerta sur le problème de l’immigration ne sont pas à chercher à l’extrême gauche de l’époque et du Parti communiste, mais dans les rangs du Parti socialiste.

C’est François Mitterrand, le grand responsable de cette diabolisation de l’extrême droite et la censure qui a empêché, pendant 40 ans, tout débat sur l’immigration. Avec toutes les conséquences calamiteuses que nous vivons aujourd’hui !

Rappelons-nous que c’est lui qui a créé SOS Racisme, avec Julien Dray qui a son rond de serviette sur CNews. Une officine soi-disant antiraciste qui a tué la notion d‘assimilation à la française pour la remplacer par le droit à la différence qui a abouti au communautarisme d’aujourd’hui.

Peut-on dire que Georges Marchais avait déjà pressenti les prémices d’un Grand remplacement ?

On notera qu’aujourd’hui, 42 ans plus tard, c’est l’extrême gauche qui fait la promotion de l’immigration pour des raisons bassement électoralistes.

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