Rennes en pointe dans la promotion du wokisme !

Publié par le 27 Sep, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Rennes en pointe dans la promotion du wokisme !

Mais jusqu’où ira la gauche progressiste ?

La gauche a perdu la seule justification de son existence : son électorat populaire. Elle semble désespérément chercher une cause à défendre en remplacement de la défense des travailleurs exploités par le grand capital !

Elle s’est rabattue sur la défense des minorités et notamment sur les minorités LGBTIQ+ … etc …

Je viens de lire, l’article suivant de Breizh-info, qui pointe une décision consternante de la municipalité PS/EELV de Rennes, consistant à favoriser financièrement les associations sportives qui inclurait des enfants … « non-binaires » !

Prime aux enfants « non binaires ».
Pour Julien Masson, « Rennes est depuis trop longtemps
le terrain des expérimentations délirantes »

La polémique autour de l’attribution de subventions supérieures aux associations sportives rennaises qui déclareront des enfants « Non binaires » dans leurs effectifs ne faiblit pas. La mairie PS/EELV de Rennes vient  en effet de décider que les associations sportives rennaises qui inscriront des adhérents filles/femmes et « non-binaires » (traduire « ni homme ni femme » ce qui n’existe pas ni juridiquement, ni humainement) recevront plus d’argent public que celles qui inscriront des garçons/hommes.

Cette délibération a été présentée par Sélène Tonon, première conseillère municipale transgenre à Rennes, comme étant

l’ambition d’un véritable budget égalitaire qui serait débarrassé des stéréotypes de genre …

Si la droite dite « d’opposition » à Rennes, menée par Charles Compagnon, s’est abstenue lors du vote, n’ayant même pas la moindre once de courage de voter contre, les condamnations de cette folie woke impulsée par la majorité municipale gauchiste sont venus de l’extérieur du conseil municipal (pour rappel, Nathalie Appéré et son équipe sont loin de faire l’unanimité à Rennes, moins de 25% des électeurs rennais ont réellement voté pour sa liste lors des dernières municipales).

Dans un communiqué adressé à la presse, Julien Masson, responsable du RN sur Rennes, dénonce le laboratoire Woke et gauchiste qu’est devenu la capitale historique de la Bretagne :

Si la pratique sportive doit bien évidemment être ouverte à tous sans aucune exception, non, on ne peut pas dire à un petit Rennais qu’il « vaut » moins qu’un « non-binaire »! Il s’agit aussi d’une mesure de déconstruction qui incite à nier la réalité biologique des sexes auprès des jeunes enfants : c’est la consécration de l’obscurantisme woke, idéologie sectaire issue de groupuscules américains radicaux voulant imposer une police de la pensée et du langage. L’idéologie woke pourrit tout, même l’égalité.

Comme souvent, lors du vote de cette mesure au Conseil municipal de Rennes, cette mesure n’a pas rencontré d’opposition puisque les deux groupes macronistes de Mme Gandon et M.Compagnon se sont « courageusement » abstenus. Cours d’écoles « non genrées », burkini islamiste dans les piscines, évènements subventionnés interdits aux hommes … Rennes est depuis trop longtemps le terrain des expérimentations délirantes, communautaristes ou anti-France. Le Rassemblement National condamne fermement cette nouvelle mesure surréaliste et étudie la possibilité d’un recours en justice contre cette délibération.

Selon nos informations, d’autres associations étudient actuellement également tous les recours administratifs possible pour faire sauter cette délibération, qui pourrait bien créer un précédent.

La majorité municipale n’entend toutefois manifestement pas faire marche arrière. Le débat semble même clos, comme souvent avec les gauchistes. Ils avancent leurs pions au nom du « camp du bien et des gentils », qualifient tous les opposants à leurs réformes de fascistes, réactionnaires (ou le therme infamant que vous voulez) , et valident des projets minoritaires qui ensuite, ne sont jamais démolis y compris lorsqu’ils ne sont plus aux commandes.

La folie gauchiste ne progresse et n’infuse les cerveaux que parce que personne ne se lève fermement en face pour mettre fin aux agissements d’une petite minorité organisée et influente qui entend faire de la société et particulièrement de celle de nos enfants un laboratoire et un terrain de jeux.

Julien Masson pour Breizh-info.

Boulevard Voltaire a également consacré un article sur le sujet titré :

À Rennes, un enfant « non binaire » vaut 2 fois une femme et 4 fois un homme

un article dont voici l’introduction :

La très socialiste Nathalie Appéré, maire de Rennes, n’a pas de quoi triompher. Son bilan sécuritaire est catastrophique. Implacable, Le Telegramme, au mois de mai, vendait la mèche : la ville « qui compte près de 200.000 habitants a vu son nombre de faits de délinquance bondir de 81 % en seulement trois ans ». Est-ce pour cela que, à défaut de pouvoir vanter la douceur de vivre de ses habitants, la majorité municipale se lance à corps perdu dans l’aventure woke ?

Avec le tableau qui différencie les adhérents suivant leur genre :

En conclusion

Je reprends ma question initiale : Mais jusqu’où ira la gauche progressiste ?

C’est un monde terrifiant qui se profile pour demain si personne n’arrête ces progressistes qui ont perdu le sens commun !

Merci de tweeter cet article :





3 Réponses à “Rennes en pointe dans la promotion du wokisme !”

  1. Je cite :
     » Si la pratique sportive doit bien évidemment être ouverte à tous sans aucune exception, non, on ne peut pas dire à un petit Rennais qu’il « vaut » moins qu’un « non-binaire »! Il s’agit aussi d’une mesure de déconstruction qui incite à nier la réalité biologique des sexes auprès des jeunes enfants : c’est la consécration de l’obscurantisme woke, idéologie sectaire issue de groupuscules américains radicaux voulant imposer une police de la pensée et du langage. L’idéologie woke pourrit tout, même l’égalité. »
    L’obcurantisme ? non, c’est pire que cela, c’est de maniere delibéré que le wokisme veut s’etendre et detruire la société grace a la gauche, avec la complicité de l’etat qui sait tres bien le danger du wokisme.
    Il y a plusieurs maniere de detruire une société, l’immigration massive et l’ideologie imposé, ou l’etat fait semblant lui aussi de n’y voir aucun probleme.
    Ceux qui tire les ficelles et les executants comme la gauche et l’etat ce declare etre des ennemis, mais cachés pour poursuivre leurs oeuvres de destruction et ont le culot de presenter cela comme une avancée dans la société quand c’est tout le contraire.

  2. C’est quoi un enfant non binaire. J’ai pourtant un peu de vocabulaire, mais je ne comprends pas le sens des nouveaux mots. Suis je le seul ?

  3. On constate que la goche est a la pointe du progres pour rabaisser des categories de personnes.

    De plus elle instaure un climat raciste dans notre pays qui n’en a pas besoin.

    La goche une fois de plus prouve qu’elle est devenue un dechet politique bon pour la poubelle.
    .
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    Ci dessous une lettre d’une defenseuse des droit humains qu’une grande partie de la goche a trahie.
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    Cher lectrice, cher lecteur,

    Je vous préviens, cette affaire est tout simplement hallucinante.
    Vous pouvez légitimement penser que si vous êtes attaqué par des voyous en France, la Justice vous donne 2 choix :
    – soit vous laissez faire, et peut-être mourir.
    – soit vous défendre et alors finir en prison.
    Nous en avons encore eu une confirmation cette semaine…

    « J’ai tiré en l’air, puis au sol. »

    Le 2 septembre dernier, en soirée, un grand festival avait lieu à Mayotte.

    Patrick, 50 ans, a profité des festivités et rentre chez lui à moto en début de soirée.

    Mais en chemin, il rencontre un groupe de jeunes délinquants, comme il en existe tant à Mayotte.

    Selon le journal Ouest-France, ils le désarçonnent de sa moto, puis le poursuivent à pied jusqu’à une clôture en fer. Acculé, l’homme saisit un pistolet de son jean.

    Il tire en l’air, puis au sol. Étant inscrit comme tireur sportif, il a le droit de posséder une arme et il sait viser…

    « J’ai essayé de sauver ma vie, il était hors de question que je reste là, à me faire lyncher. » a-t-il déclaré, selon le média Mayotte la 1ère.

    Par chance, les tirs parviennent à mettre en fuite les 15 à 20 agresseurs.

    Choqué, l’homme enfourche alors sa moto et rentre chez lui.

    Sur le chemin, d’ailleurs, il se fera à nouveau (!) attaquer et détrousser par un autre groupe de voyous…

    Une soirée dont il aurait pu se passer.

    Les 2 blessés ont un profil très particulier…

    Le lendemain, dans la presse, Patrick découvre qu’il y aurait 2 blessés parmi les voyous.

    Rien de trop grave : une blessure à la fesse et une autre à la main.

    D’ailleurs, les deux blessés sont connus de la police. Un d’entre eux est même recherché et inscrit au fichier des personnes dangereuses !

    Il a d’ailleurs pris la fuite après son traitement à l’hôpital.

    De son côté, l’autre blessé a déclaré qu’il était à « un manzaraka (un mariage traditionnel) quand un blanc en scooter a tiré en roulant »…

    Il aurait d’ailleurs été touché « à la fesse » selon l’hôpital… mais « à l’épaule » selon lui !

    Bref, une des « victimes » ne se souvient pas où elle a été touchée et l’autre a pris la fuite de peur de la police : la situation tourne franchement au ridicule…

    Mais, Patrick est un homme honnête qui estime n’avoir rien à se reprocher.

    Il se rend donc tout de même de lui-même à la police. Alors qu’il n’aurait probablement jamais été retrouvé autrement.

    Il va amèrement regretter sa décision…

    Mis en examen pour tentative d’assassinat

    Patrick se rend donc au commissariat de Mamoudzou, le chef-lieu de Mayotte.

    Et ce jour-là, à 50 ans, il s’engouffre, sans le savoir, dans un tunnel sans lumière…

    Lorsque qu’il se dénonce, la police arrête immédiatement Patrick.

    Le procureur de Mayotte le place en garde à vue puis le met en examen pour tentative d’assassinat.

    C’est le pire crime en droit français et Patrick encourt alors la réclusion criminelle à perpétuité…

    On marche sur la tête !!!

    On pourrait croire à une erreur, mais il y a pire, Patrick est ensuite placé en détention provisoire ! Pendant plusieurs jours !

    Puis, enfin, le tribunal vient tout juste de juger Patrick, finalement poursuivi pour « violences avec arme »…

    Le tribunal de Mamoudzou a condamné Patrick à 30 mois de prison, dont 12 ferme. Comment va–il pouvoir faire pour garder son travail ?

    Cette décision révulse tout bon sens. Pour être honnête, en écrivant ces lignes, je sens mes doigts se crisper.

    Quel choix la Justice laissait-elle à Patrick ? Se laisser tuer ou être jeté en prison ?

    Quel choix la Justice vous laisse-t-elle si vous êtes attaqué ?

    Mayotte ?

    Vous pourriez me dire : « oui mais Mayotte, c’est compliqué, on sait qu’il ne faut pas y prendre de risques… »

    Mais je vous répondrais : justement c’est encore pire ! À Mayotte, bien plus qu’en métropole, la légitime défense est fondamentale pour survivre !
    Mayotte connaît une situation sécuritaire catastrophique :
    – il y a 2 fois plus de vols qu’en métropole
    – 4 fois plus de cambriolages
    – Et c’est le département français le plus touché en termes d’agressions…
    Si la Justice n’accorde pas la légitime défense aux citoyens à Mayotte, elle l’accordera encore moins en métropole !

    Vous n’avez pas le droit de vous défendre

    Cette décision est loin d’être isolée.

    Depuis des années, l’institution judiciaire française persécute les victimes qui ont osé se défendre.

    Comme Gilbert Lori, un bijoutier à Lyon, membre du collectif de victimes de l’Institut pour la Justice, qui est accusé d’avoir tiré sur des braqueurs. Il est poursuivi par la Justice depuis 10 ans maintenant et a eu interdiction de quitter le territoire pendant plusieurs années…

    Imaginez : à 64 ans, il n’avait pas le droit de voyager pour profiter de sa retraite !

    Comme Jean-Louis Leroux, agriculteur dans la Marne, qui a tiré sur un voleur de carburant en 2020 et qui a été placé plusieurs jours en détention provisoire… Encore aujourd’hui, aux dernières nouvelles, il a interdiction de rentrer chez lui !

    Ou comme Monsieur D., un homme de 86 ans, habitant seul dans le Sud de la France, qui a poignardé un cambrioleur de 39 ans pour se défendre, puis qui a été persécuté par la Justice pendant 2 longues années…

    Pendant ce temps, il a eu interdiction de vivre chez lui et a dû louer un petit appartement à 100m de chez lui.

    La réalité est que la justice française a tellement inversé les rôles de victime et de coupable, qu’elle en arrive systématiquement à des décisions ubuesques.

    Pourtant, défendre sa vie est la première des libertés fondamentales !!

    Faites-vous entendre… pour une fois !

    En France, vous n’êtes plus maître de votre destin : ce sont les malfrats qui vous entourent qui décident si vous vivez ou non.

    Et la Justice persiste à se ranger de leur côté.

    Si un homme tue un de vos proches (ce qui peut tous nous arriver, comme cela a failli arriver à Patrick), vous pouvez être quasiment certain qu’il passera moins de 15 ans derrière les barreaux.

    Cette idée est insupportable. Mais c’est une réalité.

    Alors, que faire ?

    Vous pouvez vous résigner et abandonner toute résistance ! Je respecte ce choix.

    La situation est tellement grave, qu’il pourrait sembler normal de baisser les bras et de faire profil bas.

    Mais je vous propose autre chose.

    La France a connu des situations plus dramatiques, et elle s’en est toujours sortie. Je pense à nos ancêtres qui ont survécu à des invasions étrangères ou à des guerres civiles sanglantes.

    Aujourd’hui, il est vrai que la Justice française est en complète déconfiture… Que nos rues sont des coupe-gorges.
    Et que la société dans son ensemble est au bord de l’effondrement…

    Mais ce n’est pas insurmontable : les Français restent un grand peuple, qui a refusé la soumission tout au long de son histoire.

    Nous sommes des millions de Français à en être conscients. Il suffirait d’unir nos forces.

    Alors oui, l’espoir existe.

    Aujourd’hui vous avez (encore) le pouvoir de changer les choses. Nous devons saisir cette chance.

    L’Institut pour la Justice mène le combat depuis 2007. Et c’est grâce à votre soutien que nous avons obtenu des victoires concrètes :
    – Plus de 30 amendements parlementaires « IPJ » proposés au Parlement ;
    – Le port d’armes pour les policiers en civil et les policiers municipaux, malgré une grande réticence de la classe politique ;
    – La fin des réductions automatiques de peines pour les terroristes ;
    Et l’Institut pour la Justice a de grands projets.

    Notre équipe compte aujourd’hui 5 personnes. Nous souhaitons recruter 2 autres salariés qui seront affectés directement à l’Assemblée nationale et au Sénat, pour multiplier notre impact législatif…

    Aujourd’hui, l’Institut pour la Justice lance son grand « Référendum pour la Justice 2023 ». Je vous invite personnellement à le remplir dès maintenant, et ce, avec la plus grande attention.

    Votre réponse sera analysée et permettra de donner un poids considérable à nos propositions auprès des députés.

    Le « Référendum pour la Justice 2023 » constitue notre référence pour l’année à venir. Nous le dégainons auprès de tous les parlementaires.

    Il nous permettra de ne pas « tirer à côté » sur un grand nombre de sujets. C’est pour cela que je vous demande de remplir le Référendum pour la Justice 2023 maintenant.

    Un immense merci d’avance.

    Avec tout mon dévouement,

    Axelle Theillier
    Présidente de l’Institut pour la Justice

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