Résistons au grand verrouillage de l’information

Publié par le 28 Mar, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Résistons au grand verrouillage de l’information

Outre le COVID-19, d’autres virus nous menacent.

Celui du progressisme aveugle est l’un des plus dangereux, car les élites françaises et européennes, contaminées depuis longtemps, le diffusent à l’envi, servies par des moyens puissants dont la plupart des médias !

Ces élites préparent une grande offensive contre la liberté d’expression notamment en contrôlant les informations circulant sur les réseaux sociaux.

C’est l’objet d’un communiqué de Boulevard Voltaire que je relaye ce matin :

Cher lecteur, chère lectrice,

La crise du coronavirus est prétexte à un dangereux durcissement de la censure.

Et sans le soutien massif de citoyens engagés tels que vous, il n’est pas sûr que nous pourrons continuer longtemps à vous apporter la contre-information absente des médias classiques.

En cette période de pandémie mondiale, il n’y a pas que notre santé qui est mise à mal, en danger.

Les institutions et systèmes de pensée au sommet de la doxa bien-pensante sont soudain mis à mal, remis en cause du fait de l’épidémie : la mondialisation bien sûr ; mais aussi l’Europe et son évident  manque de coopération pour gérer la crise sanitaire ; l’Elysée, avec ses atermoiements et son refus obstiné de fermer les frontières pour limiter la circulation du virus, de peur de donner raison aux « populistes » ; ou encore la toute-puissance étatique avec son étrange incapacité à stocker et fournir les masques indispensables pour endiguer l’épidémie…

Dans ce contexte, la nécessaire chasse aux informations farfelues, risquant de mettre en danger la santé de milliers de personnes, est une occasion inespérée pour les tenants du pouvoir médiatico-politique de reprendre le contrôle de l’information, pour être les seuls à vous donner les éléments qui vous permettront de vous forger une opinion. Ce qui se trame est une gigantesque opération de verrouillage de l’information :

1 – La mise à l’index du professeur Raoult par le Décodex en est emblématique.


Sa publication relatant les espoirs liés à la chloroquine pour soigner le covid-19 a été marquée de la mention « partiellement fausse » par les journalistes du Décodex, jugement immédiatement suivi de sa sanction médiatique : l’invisibilisation de l’information sur Facebook.

Pour ce service du Monde, qui se targue de séparer le bon grain de l’ivraie, ce professeur de microbiologie, infectiologue et directeur de l’institut hospitalo-universitaire Méditerranée Infection, maintes fois couronné et auteur de nombreuses publications reconnues et saluées, mais par ailleurs réputé climato-sceptique, n’est visiblement pas digne d’avoir voix au chapitre !

La poignée de journalistes qui anime le Décodex, elle, est omnisciente. Elle détient LA vérité…

Le brevet de « bonne conduite » qu’a délivré le Decodex à votre serviteur …

Sans la phénoménale force de conviction déployée dans la vidéo du professeur Raoult, devenue virale en dépit des obstacles, l’information serait encore au purgatoire, marquée de la pastille rouge du Monde. Et la chloroquine, qui vient d’être autorisée par l’Etat pour tenter de soigner les personnes infectées, l’aurait peut-être été beaucoup moins rapidement.

Et l’on peut se poser la question : combien d’autres précieuses publications sont ainsi mises à l’index par le grand ordre du Décodex ?

2 – Dès la fin de la crise sanitaire, la loi Avia sera votée, renforçant encore les pouvoirs de censure de Facebook et des autres réseaux sociaux.

3 – Google et Youtube profitent de la période pour « automatiser » encore plus la censure. Doux euphémisme pour dire « renforcer » la censure, par des algorithmes peu enclins à faire dans le détail…

4 – Et la Cour des comptes européenne vient de lancer un audit pour vérifier les efforts de l’Europe pour lutter contre la désinformation, motivant ainsi son initiative : « des sujets sensibles, tels que les migrations, le changement climatique et la santé, sont souvent utilisés pour diviser la société« .

Si les technocrates européens veulent s’attaquer aux risques de division de la société, on peut leur suggérer quelques sujets d’étude pas inintéressants, comme la guerre des sexes menée par des féministes déchaînées, ou encore le communautarisme attisé par les décolonialistes…

Là, en tout cas, c’est clair et sans détour : pour l’Europe, la désinformation, c’est tout ce qui dévie de la pensée unique !

Et l’on ne serait pas étonné qu’elle cherche à relancer le logiciel PHEME, initié en 2014, un système d’homologation de l’information destiné à séparer la « bonne » information de  la « mauvaise », reléguée au rang de « controverse », « spéculation », etc.

Une sorte de super Décodex, mais à l’échelle européenne…

Toutes ces offensives ont un seul but : rendre suspectes et inaudibles les informations n’apparaissant pas sur un site officiel ou dans un grand journal et, à terme, empêcher de sortir des informations gênantes ou remettant en cause la doxa, et surtout de les diffuser à grande échelle…

… pour verrouiller l’information, disqualifier et museler les médias alternatifs qui diffusent une information libre, non passée au crible du politiquement correct !

L’espace de liberté d’expression et d’information que nous avons réussi à créer ensemble sur Boulevard Voltaire, avec le soutien financier de citoyens engagés et la confiance de nos lecteurs toujours plus nombreux, est la cible-type dans le collimateur de toute cette censure.

Et aujourd’hui, le seul espoir pour que nous soyons toujours en mesure, dans les mois et les années à venir, de préserver la liberté de la presse et la liberté d’expression dans ce pays, c’est que notre média indépendant, Boulevard Voltaire, devienne très vite suffisamment puissant pour ne pas être emporté par la vague le jour où tous leurs systèmes de censure seront généralisés.

Nous devons toucher trois fois plus de lecteurs et, si possible, doubler notre budget pour étoffer l’équipe, renforcer notre capacité d’investigation et avoir les moyens techniques d’une diffusion encore plus massive.

Et avec votre aide, ça n’a rien d’impossible.

Vous êtes lecteur de Boulevard Voltaire. Vous savez à quel point il est important d’avoir accès à une information alternative de qualité où la censure n’a pas sa place. A quel point c’est vital pour préserver la diffusion des idées, la confrontation des points de vue, le débat, ce dont tout pays libre a besoin pour aller de l’avant et offrir un avenir digne de ce nom à ses citoyens.

Alors, aujourd’hui, j’espère que nous pouvons compter sur vous pour nous aider à nous renforcer suffisamment pour résister à la censure galopante.

Pour faire connaître notre média indépendant à 100.000 personnes supplémentaires pour leur diffuser notre contre-information, il faut que nous arrivions à collecter un budget de 75.000 euros.

C’est une somme considérable, bien sûr. Mais c’est dérisoire par rapport au budget des journaux « officiels », et aux subventions qu’ils touchent chaque année, payées par vos impôts : 5 millions d’euros pour Le Monde et ses Décodeurs qui orchestrent la censure.

Alors permettez-nous de vous le demander : pouvez-vous soutenir Boulevard Voltaire par un don de 30 euros par exemple ? Vous pouvez aussi décider de vous engager plus avant dans notre action pour la liberté d’information, et de donner 50 euros, 100 euros, 200 euros ou même plus.

C’est vous seul qui décidez du montant que vous souhaitez dédier à ce combat pour contrer la censure et préserver la liberté d’expression et d’information en France.

Nous avons préparé une page où vous pouvez choisir de faire un don par carte bancaire ou Paypal, par chèque ou prélèvement, du montant de votre choix.

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Vous êtes totalement libre de choisir de soutenir Boulevard Voltaire ou non. Si vous ne souhaitez pas apporter votre soutien financier, personne ne vous en tiendra rigueur, et vous continuerez à recevoir chaque jour dans votre boîte mail l’information alternative que vous ne trouvez pas ailleurs.

Mais quand on voit les efforts déployés par le pouvoir politico-médiatique pour démolir la liberté d’expression et d’opinion, difficile de dire combien de temps nous serons capables de tenir sans le soutien de nos lecteurs.

Alors, si c’est possible, aidez-nous à renforcer Boulevard Voltaire, et mettre notre média à l’abri pour pouvoir continuer à diffuser massivement une information alternative, résister aux attaques et faire barrage à la censure qui avance au galop.

Merci par avance pour votre soutien.

Bien cordialement,

L’équipe de Boulevard Voltaire

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