Saluons le courage de France-Soir !

Publié par le 2 Mai, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Saluons le courage de France-Soir !

On ne rendra jamais assez hommage à l’équipe de France-Soir qui, contre vents et marées, a tenté, tout au long de la crise du covid, de faire émerger un peu de vérité dans l’océan des mensonges produits par le pouvoir et propagés complaisamment pour toute une presse aux ordres !

France-Soir a été conspué, stigmatisé par tous les autres médias et puni financièrement par le pouvoir macronien.

Alors qu’en Allemagne, le scandale de la gestion du covid éclate au grand jour, rien ne se passe en France. Les médias sont allés trop loin dans la servilité et l’indignité de la sorte qu’ils ne peuvent plus reculer et avouer leurs crimes !

Oui, il faut parler de crimes car en France, l’interdiction par le pouvoir des traitements alternatifs aux vaccins ARN, hydroxychloroquine et ivermectine, dont l’efficacité est aujourd’hui prouvée, a probablement entrainé des dizaines de milliers de morts inutiles sans parler des effets dévastateurs du vaccin lui-même.

France-Soir vient de publier un sorte de synthèse de ce qui s’est passé durant cette crise. Je vous encourage à lire ce long mais édifiant article dont voici seulement un extrait :

Autopsie de la crise et d’une « escroquerie » :
Covid-19 (diagnostic, traitements, vaccin)

J’ai choisi un extrait de l’article dédié à la presse  et à son manque d’éthique :

Les médias mainstream capturés et muselés, des experts sélectionnés et autorisés

Les médias mainstream, détenus par quelques milliardaires, se retrouvèrent ainsi au service du pouvoir oubliant au passage le premier devoir de la charte de Munich « dire la vérité quoiqu’il en coute en raison du droit qu’ont les citoyens de savoir ». 

Ces médias et journalistes ont globalement délivré un message qui correspondait peu ou prou aux déclarations du gouvernement. En soutien, Céline Pigalle, directrice de la rédaction de BFM expliquait en 2022 

qu’« il ne faut pas trop aller à rebours de la parole officielle, puisque ce serait fragiliser un consensus social! »

De son côté, Marc Olivier Fogiel, directeur général de BFM, expliquait qu’il y avait des « experts sélectionnés ou autorisés », certains avaient donc droit de cité sur les plateaux télévisés, tout en laissant calomnier des personnes sans même respecter la charte de déontologie de BFM ou celle de Munich en respect du contradictoire. Il a laissé attaquer France-Soir, omettant de mentionner que le Monde avait été condamné pour concurrence déloyale par dénigrement

D’un point de vue juridique, le Conseil d’Etat a confirmé la décision de l’ARCOM contre la chaine CNEWScomme quoi Ivan Rioufol, journaliste, aurait dû opposer un contradicteur au professeur Perronne, alors que la Chambre disciplinaire de l’Ordre des médecins a jugé 

« qu’eu égard à ses états de services, le professeur Perronne avait le devoir de parler. »

Il devient évident que l’expression est conditionnée à une analyse à géométrie variable avec l’imposition d’un usage constant du deux poids deux mesures

les experts autorisés qui suivent la parole officielle pour ne pas fragiliser le consensus social auraient un droit de parole sans limites et sans besoin de contradicteur, alors que ceux qui s’opposent à la parole officielle nécessitent un contradicteur.  

Un début de contradiction évident.
Les messages délivrés par les mainstream se sont avérés en totale contradiction avec la charte de Munichet les devoirs des journalistes de délivrer la vérité quoiqu’il leur en coute en vertu du droit à savoir des citoyens.

Ces médias ont contribué à biaiser l’information et par là même vicier un des droits fondamentaux qu’est le consentement libre et éclairé des français.

 

De la censure des opposants « quoi qu’il en coute » aux messages autorisés

Durant cette période et encore aujourd’hui, peu de médias agréés et de journalistes ont fait leur travail.  France-Soir en est un, ainsi qu’André Bercoff. Ils se comptent sur les doigts d’une main ceux à avoir fait que le débat se tienne dans le respect de la jurisprudence Hertel :

« en science, peu importe qu’une hypothèse soit minoritaire, il faut qu’elle puisse exister ». 

France-Soir a vu son agrément non renouvelé par une faute de la CPPAP (Commission Paritaire des Agences de Presse et Publications). Le Tribunal Administratif, le 13 janvier 2023, a jugé que la décision de la CPPAP n’était pas fondée et a donc rendu son agrément à France-Soir, qui dans les faits n’a jamais eu d’interruption dans son agrément depuis 2017. Le Ministère de la Culture, ayant fait appel, a été débouté par le Conseil d’état qui a considéré que la CPPAP n’avait pas respecté les droits de la défense.  En 2023, Le Monde a aussi été condamné en première instance pour concurrence déloyale envers France-Soir. Le Monde n’a pas réussi à prouver au tribunal que France-Soir publiait de fausses informations malgré de nombreux articles versés au dossier. 

De son côté, le tribunal judiciaire de Nancy a relaxé en première instance Xavier Azalbert suite à  la plainte du Dr Barraud directement en lien avec la tribune du 22 aout 2021.

Au risque de perdre leur place dans la société et de se faire critiquer sans limites, certains ont œuvré besogneusement alors que d’autres étaient capturés dans une démocratie restrictive de libertés, un système dans lequel la pensée est dictée vers une convergence des dogmes uniques. Que ce soit sur la covid ou certains autres sujets, les institutions, les réseaux sociaux ou des ordres (CNOM, ARS, GIEC …) imposent la vérité de masse dans une forme de pensée unique. Seul le narratif officiel a droit de cité et d’être cité.

Dans les médias, la censure a pris sa place avec des chaines YouTube fermées pour non-conformités décrétées avec un règlement intérieur à géométrie variable dans le temps. Des milliers de personnes ont été censurées de X (anciennement twitter) dès que leurs dires  amenaient une quelconque opposition aux messages « autorisés ».  Peu importe que le message fût délivré par des sommités en science, s’il n’était pas conforme, il fallait le faire disparaitre ou ne pas lui donner de visibilité – le fameux « shadow banning » ou invisibilisation.

Le mensonge pris les habits de la vérité à force d’être inlassablement répété par le ministre de la Santé Olivier Véran et ses successeurs, soutenus par quelques médecins peu précautionneux ou peu soucieux de respecter leur serment tel le Dr Peiffer-Smadja ou le Dr Marty dont le compte X a fait l’objet d’avertissements pour contenus sensibles. Ces personnes ont été identifiées dans l’enquête sur la harcelosphère autour de l’IHU Méditerranée et le Pr Raoult – qui a été rappelé dans une longue série de tweets par Xavier Azalbert.

France-Soir.

Je vous engage vivement à lire tout l’article. C’est par ici !

Merci de tweeter cet article :





 

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *