Si on avait écouté Georges Bensoussan … il y a 20 ans …

Publié par le 4 Juil, 2023 dans Blog | 3 commentaires

Si on avait écouté Georges Bensoussan … il y a 20 ans …

Il y a 21 ans, était publié un ouvrage collectif :

« Les territoires perdus de la République »

Un ouvrage dirigé par Georges Bensoussan qui était sous-titré :

« Antisémitisme, racisme et sexisme en milieu scolaire »

Ce livre fut favorablement accueilli par la droite mais fermement condamné par la gauche.

Ecoutons Dominique Vidal, journaliste au Monde « présenter » l’ouvrage :

L’ouvrage est un ensemble de témoignages d’enseignants évoquant une dégénérescence globale, un malaise à la fois social, culturel et même identitaire, mais qui est utilisé par certains milieux politiques pour amplifier un imaginaire antisémitisme de certains milieux « sensibles ».

La gauche et ses associations qui pratiquent un antiracisme sélectif trainèrent même Georges Bensoussan devant les tribunaux pour incitation à la haine.

Relaxé en première instance, l’historien est de nouveau poursuivi en appel par le CCIF, la Ligue des droits de l’homme, le MRAP … Et le Parquet !

Georges Bensoussan devra aller jusqu’à la Cour de cassation pour être finalement lavé de toute accusation !

A la lumière des émeutes ethniques qui secouent aujourd’hui la France, on ne peut que déplorer le fait que l’ouvrage précédent ait été ignoré par les politiques et les vingt années perdus à cause du diktat de la gauche qui interdit tout débat sur l’immigration.

Voici un article de La Lettre patriote qui résume une récente interview de Georges Bensoussan par le FigaroVox :

Georges Bensoussan : « Le déni nourri par le “gauchisme culturel” est largement responsable de la situation »

L’historien, spécialiste de la Shoah et de l’antisémitisme, avait dirigé en 2002 l’ouvrage collectif Les Territoires perdus de la République, livre alertant sur la situation dans les banlieues. Il a répondu à quelques questions de nos confrères du FigaroVox. Extraits :

Étudiant depuis trente ans l’hyperviolence de préadolescents dont il avait la charge dans son service hospitalier, le pédopsychiatre Maurice Berger a remarquablement analysé ces sociétés qui fonctionnent au «code de l’honneur» et d’où sont issus un grand nombre de ces garçons habités par un sentiment de toute-puissance et d’absence de limites. Et dont la folie rencontre celle d’un monde dont le consumérisme sans limites paraît être la seule transcendance.

Dans Le Harem et les Cousins, l’ethnologue Germaine Tillion écrivait à propos des sociétés maghrébines : «Le garçon – mais plus particulièrement le fils aîné – est un roi fainéant autour duquel convergent les attentions serviles de toutes les femmes de la famille, de 6 à 80 ans. Moyennant quoi, il doit être en permanence une sorte de Cid Campeador, continuellement disposé à égorger tous les hommes et à violer toutes les femmes. (…). En attendant la démonstration, la pression sociale monte régulièrement autour de lui, jusqu’à devenir insoutenable ; elle est d’abord familiale, puis toute la ville s’en mêle.»

Germaine Tillion évoquait l’antinomie entre une «société des cousins» et une «société des citoyens», un affrontement que l’émigration met en lumière quand le «code de l’honneur» heurte frontalement notre culture démocratique. Un choc aggravé par la vision du gouffre qui sépare le discours vainqueur de l’islam d’une réalité géopolitique marquée par d’innombrables échecs. À commencer, par celui, massif, de l’Algérie indépendante.

Sur ce terrain d’analyse, les accusations de racisme pleuvent. Répétées ad nauseam, elles vont non seulement dévoyer le combat de l’antiracisme, mais aussi condamner ce pays à une atrophie du débat public. Nous n’avons pas fini de payer ce mutisme quand pour prévenir le risque de «racisme» («ne pas faire le jeu de l’extrême droite»), cet antiracisme dévoyé a jeté un voile sur des pans entiers d’une réalité sociale qu’on s’interdit de penser, et quand, pour «ne pas stigmatiser des gens déjà stigmatisés» (sic), on travestit la réalité présente et on trafique le passé historique.

Le chantage à l’extrême droite a rendu impossible la peinture vraie de la réalité française. On taira donc le sort fait dans les cités aux jeunes filles, aux femmes célibataires ou divorcées, on taira l’identité des auteurs des viols collectifs («tournantes»), on gardera un silence gêné à l’évocation du racisme antinoir, antirom et antiasiatique, et de l’antisémitisme, véritable bain culturel d’une partie de ces milieux. On taira dans un silence gêné le départ (la fuite?) de 90 % des juifs de Seine-Saint-Denis en moins de vingt ans. Puis, passé le périphérique et portée par la distinction propre aux «quartiers corrects», on dissertera à l’infini sur nos «valeurs démocratiques».

Que pensez-vous des politiques publiques qui ont été menées. Les plans banlieue n’ont-ils servi à rien?

(…) Comme on a fait taire aussi toute parole dissidente. Des milieux sociaux culpabilisés de vouloir persister dans leur être et qui, très tôt, ont vu dans cette immigration de peuplement qu’ils côtoient au jour le jour, une menace existentielle sur leur identité quand ils ont le sentiment d’avoir été dépossédés de toute maîtrise sur leur destin. Leur identité: leurs habitudes de vie, leurs références culturelles, tout simplement leur France à laquelle l’attachement qu’ils lui vouent est grimé en «racisme». En face, drapé dans la posture du bien, cet antiracisme-là participe à la déconsidération des milieux populaires.

La rédaction de la Lettre patriote.

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3 Réponses à “Si on avait écouté Georges Bensoussan … il y a 20 ans …”

  1. Petite nuance..

    Ce n’est pas pour l’ouvrage  » les territoires perdus de la République » que Georges Bensoussan avait été traîné devant un tribunal par le CCIF et le parquet : il lui était reproché d’avoir dénoncé l’antisémitisme culturel dans les milieux arabo-musulmans, à partir de la métaphore qu’il avait employée.

  2. Il n’a pas pas que les problemes de territoire perdues, mais celui ou l’education nationale veut decerveler les gosses et en faire des pd++ en desorganisant leur sens du raisonnement et du rationnel,
    les gosses disent aux parents comment se conduisent les professeurs et l’education nationale envers eux.

    Deformer les gosses pour en faire des debiles mentals,
    qui ne sauront pas ce qu’ils veulent et ne veulent pas>…
    ne plait pas aux parents dont la culture est de base etrangere a ces debilitées mentales, comme pour la plupart de la population francaise.

    Depuis peu des publicités montrent des gosses de 6 ou 7 ans soi disant intereréé par l’aspects sexuel, alors que leur corps ne repond pas a ces facultées,
    toutes ces degenerecences des debiles et perverts qui abusent les gosses, augmentent aussi les tensions dans la france, et attisent les mouvements separatistes.

    Tous ces elements entre en ligne de compte dans les tensions sociales en frances qui profitent d’un evenements pour s’exprimer ou tout casser.

    Nombre de pub essaient aussi de faire croire a une population qui seraient interessée par les pd+++ alors que ces gens ne representent que 0,002 % de la population, font passer la france pour des fous aupres des populations NON assimilées et les gens normaux.

    Tout ceci emmeme des tensions, dont profitent les mouvements de casseurs et de separatistes et approtent une totale incomprehhension des gens normaux sur ce qui se passe dans le pays.

    Ce qui est assez commun chez les bobo connus pour ça, est differents chez les peuples,
    en france, des fous organisent des destructions chez l’enfant et les adultes en devenir, et participent aux tensions et aux separatisme en devenir.

    La republique de macron doit cesser de modifier les gosses pour en faire des idiots instable, et leur faire croire que des gosses de 5 a 6 ans sont capables d’eprouver comme des adultes
    les effets de la sexualité, alors que leur corps ne sera modifié que des années plus tard.

    Ces deviations doivent cesser dans les pubs et dans l’education nationale qui ne doit s’occuper que de la culture.

    De plus l’etat ne doit pas imposer des pub sur l’orientation sexuelle a la population qui sait tres bien choisir pour elle meme ce qui lui convient, ce n’est pas le role de l’etat.

    Tout ces problemes qui s’infiltrent dans les familles attisent les tensions, et preparent le futur separatisme qui menra a des evenements bien plus tragiques que ceux d’aujourd »hui…

    Les politiciens sont assez avertis de ces problemes pour ne pas les ignorer, ne pas en tenir compte c’est mettre en danger les francais qui seront tous des cibles particulieres pour les etrangers et NON assimilés.

    Faire passer tout un peuple pour des debiles c’est mettre chaque francais en danger.

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